Bangui, le 09 janvier 23
Quel est le vrai sens de la politique pour les leaders d’opposition en Centrafrique ? Avons-nous à faire avec des vrais hommes politiques ou des ennemis du pays tapis dans l’ombre pour clouer les Centrafricains ? C’est vraiment exagéré avec ceux-là qui, durant leur parcours, n’ont semé que la honte au nez de tout le monde. Et pour cause ?
Tous ceux qui braillent aujourd’hui dans l’opposition, parlant de l’intérêt du peuple qu’ils défendent, ne sont que des diables qui font semblant de porter le manteau des anges. Chacun d’entre eux ont eu à participer à la gestion des affaires de l’Etat à un certain moment. Le résultat ! C’est la gabegie, la corruption à outrance, le régionalisme, le clientélisme, le clanisme et l’enrichissement illicite. Ce n’est pas à ceux de nous donner des leçons alors que le pays s’est retrouvé dans le désarroi durant un temps, à cause de leur mauvaise façon de gérer le pays comme leur patrimoine personnel. Diantre !
L’honnêteté intellectuelle quitte déjà la conscience de nos hommes politiques qui se regroupent dans une plateforme qui mènent des actions lugubres contre l’intérêt du pays. Lorsque le pays s’est retrouvé à certain moment dans la crise imposée par les ennemis de la paix, tous ceux qui s’agitent actuellement contre le régime du président Touadéra se sont recroquevillés, sans apporter une solution aux problèmes confrontés par leurs compatriotes.
A son arrivée à la tête du pays en 2016 par la volonté de son peuple, le Président Faustin Archange Touadéra, les mains sur le cœur, a pris le ferme engagement de rebâtir avec toutes ses énergies. Ses promesses pourtant minimisées, font l’objet de grande satisfaction de tout le monde de par les actions réalisées sur le terrain.
Durant sa présence à la tête du pays, le numéro Un Centrafricain a mis toutes les batteries en marche pour que le pays retrouve sa notoriété, sa lettre de noblesse d’antan. Du jamais, les leaders d’opposition qui n’apportent jamais du concret aux Centrafricains, ne lèvent aucunement leurs petits doigts pour apprécier les efforts déployés par le Président Touadéra dans la reconstruction du pays. N’est-ce pas là la sorcellerie ou c’est la politique à la formule de ces opposants vêtus de la méchanceté ?
Le Président Touadéra et son gouvernement a remis le pays sur les rails en un laps de temps. Le pays est libéré entre les griffes des tueurs à gage qui sont pourchassés sur l’ensemble du territoire. L’embargo est levé partiellement sur les armes à destination du pays. Les infrastructures publiques poussent comme des champignons. Des réponses sont données aux problèmes sanitaires, de la formation, de l’éducation, de l’emploi et autres…
Autant d’actions que le régime de Touadéra met en exergue et cela se poursuit sur le droit chemin. L’opposition politique en Centrafrique est synonyme de la méchanceté, de jalousie, de malhonnêteté voire l’ingratitude. Ces opposants ne proposent à jamais et n’apportent rien de bon pour le vécu des Centrafricains. Autrement dit, ces derniers sont toujours prêts à jeter l’opprobre sur les bonnes choses qui se font pour l’intérêt du pays.
Ces opposants inscrivent dans leur plan d’action, la contradiction par pure méchanceté pour dépeindre les actions gouvernementales.
En vérité, en vérité, les deux premières années du second quinquennat du Président Touadera, sont effectivement une grande réussite, telle que convenues : La pacification du territoire national, la sécurité, la cohésion sociale, la reconstruction, la montée en puissance de l’économie, le renforcement de la coopération et la diplomatie… grâce à la réussite de la vision politique du Président Touadéra que mettent en œuvre certains dignes fils et filles du pays qui font preuve de loyauté.
En cette nouvelle 2023, cap est désormais mis sur les autres offensives concernant le redressement du secteur fiscalo-douanier; la relance des firmes para-etatiques; le développement du secteur minier ; forestier et hydraulique ; la mise en œuvre des projets intégrateurs; et le développement l’agro-business. Le chantier est vaste et les actions se poursuivent toujours.
@Koko Mbéréti
