Centrafrique : La Cour constitutionnelle désavouée par les assoiffés du pouvoir de l’opposition

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Bangui, le 21 janv.-21

Parmi ceux qui s’agitent de nos jours au nom de l’opposition démocratique en mal de repère, on retrouve ceux qui ont les mains sales dans la gestion des affaires de ce pays. Et comme la Rupture a été une expression volontaire du peuple centrafricain, la Cour constitutionnelle a décidé de dire le droit et rien que le droit sans complaisance d’où les hurlements de l’opposition.

Une nation, une histoire, une date, c’est le 18 janvier 2021 où la cour constitutionnelle centrafricaine a décidé de dire le droit et rien que le droit sans complaisance.

Juste après la confirmation de l’élection au premier tour « CHAO », les leaders de l’opposition qui sont les éternels assoiffés ont trouvé des boucs-émissaires d’abord, le Représentant Spéciale de l’ONU Monker Ndiaye et ensuite la cour constitutionnelle qui n’a dit que le droit rien que le droit. La Cour constitutionnelle a rendu sa décision selon les différents rapports à sa disposition en référence à la volonté du peuple souverain qui veut changer la donne en mettant le pays sur les rails de la rupture des vieilles recettes qui ne sont que le lot des malheurs au quotidien de la population. Malheureusement, cette décision n’est pas acceptée par une partie de l’opposition dit démocratique. Rien d’étonnant car, ce n’est pas pour la première fois que cela se passe dans ce pays malade de sa classe politique.

Les démocrates authentiques se sont pliés à cette décision non contestable. Les putschistes qui ont perturbé les élections attendent leur « président » qui a pris le maquis pour les mettre au pouvoir. Ils n’ont jamais dénoncé nommément Bozize et la CPC. Aujourd’hui on parle de dialogue. Mais avec qui ? Avec ceux qui vivent avec le sang des Centrafricains dans leur conscience ? Surement pas ! Sauf si on veut crucifier la mémoire de Barthélémy Boganda.

Il est donc impossible de dialoguer avec l’aile politique de la CPC. Le dialogue ne peut se faire qu’avec les démocrates. Et ceci après la fin du processus électoral en cours. Le peuple reste vigilant et n’acceptera jamais les putschistes au pouvoir de l’État. Rendez-vous est donné dans 5 ans. L’orateur a parlé.

@Thomson,

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