Centrafrique : Le chef Suprême des armées Faustin Archange Touadéra en position de guerre contre les rebelles de la CPC

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Bangui, le 25 févr. 21

Ce n’est que normal au regard de cette thèse si chère aux hommes d’Etat : Qui veut la paix prépare la guerre. Telle est la posture de Faustin Archange Touadéra.

Le monde témoignera cette date historique du 23 février 2021 où le président Faustin Archange Touadéra a décidé de renforcer ses effectifs en matériels roulants dans le but de donner la chance aux FACA d’être plus actifs sur le terrain des combats : « Ce qu’un civil est en train de faire dépasse au loin ce que les généraux n’ont pas pu faire depuis des décennies. Le président Touadéra est vraiment l’homme de la parole. Il y a un temps pour chaque chose sur cette terre », a affirmé une source.

On se souvient lorsque le président Touadéra décide de conduire son équipe à Khartoum en position de faiblesse, c’était parce que l’armée qui est un instrument de la souveraineté nationale était inexistante. Il ne pouvait pas exposer ses compatriotes en les envoyant au front sans matériel de guerre : « Certains jugements ont accusé le président Touadéra dans sa politique de la main tendue sans toutefois savoir qu’un mathématicien est un homme de la dernière heure qui prend son temps pour mieux sauter. Aujourd’hui, sort de son sommeil dogmatique et s’engage dans une guerre malgré l’embargo sur les armes, minutions et autres matériels de guerre à destination de son pays. La victoire est au bout des secondes », témoigne une source militaire.

La montée en puissance ne permet plus de dialoguer avec des criminels qui doivent maintenant se mettre en position de faiblesse et demander aussi un dialogue avec le gouvernement comme cela fut le cas lorsque le régime de Bangui était en position de faiblesse. Telle est la dialectique du maître et de l’esclave.

@Hervé BINAH, 

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