Bangui, le 04 janvier 20
Au fur et à mesure, les visages des ennemis du peuple centrafricain commencent à tomber les uns après les autres. A l’heure où certaines personnalités malintentionnées se proposent à replonger le pays dans une crise interminable, la justice du pays ne baisse pas les bras à travers les informations judiciaires qui s’ouvrent déjà.
Anicet-Georges Dologuélé, le président du parti URCA et membre actif de la COD-20, qui a signé un accord politique avec François Bozizé dans son fief à Bossangoa, en est également l’une des personnalités faisant partie de cette démarche judiciaire.
Selon les informations de sources concordantes qui nous sont parvenues, le Parquet de Bangui vient d’ouvrir une enquête judiciaire contre Anicet-Georges Dologuélé. Les raisons de cette démarche sont simples.
A en croire cette même source, c’est suite à son accointance avec certains leaders de la Coalition des Patriotes pour le Changement (CPC) dont François Bozizé en est le numéro un que la justice a ciblé Dologuélé dans sa mire afin que ce dernier s’explique dans quel intérêt a-t-il conclu des accords louches avec ceux qui veulent déstabiliser le pays en ce moment.
D’aucuns diront que c’est le pouvoir en place qui en veut à Dologuélé alors qu’en réalité, c’est l’affaire de la justice qui ne fait que jouer son rôle au moment où certains quidams se permettent le luxe de destituer les Institutions de la République. On sait tous que du Forum de Bangui à la constitution en vigueur, l’impunité est proscrite. On ne peut pas se prétendre Centrafricain alors qu’on exerce dans les plans machiavéliques pour déstabiliser les institutions républicaines.
Si la justice centrafricaine qui est indépendante ne compte plus assister aux bavures perpétrées contre le peuple, ce n’est que normal et il est temps que Dologuélé se confesse clairement à ses compatriotes pour le malaise qu’il entend créer dans le pays. A suivre…
@THOMSOM
