Bangui, le 09 janvier 23
La douane centrafricaine reste la seule institution qui contribue à l’accroissement de l’économie centrafricaine, ceci, à travers la mobilisation des recettes fiscalo-douanières qui permet à l’Etat de faire face à ses charges régaliennes. La RCA est un pays post-conflit et il est indispensable pour les autorités de mettre toutes les stratégies en place afin de le sortir de sa situation financière qui a connue à un certain moment, des difficultés sans précédent. Pour mieux réussir le pari, l’Etat compte sur la douane centrafricaine afin d’assumer certaines de ses charges avant d’espérer un appui extérieur.
Pour que la douane centrafricaine réussisse la mission qui lui est confiée, il faut des hommes qu’il faut, capables de traduire dans les faits leurs rôles, des « soldats» économiques qui assument leur responsabilité en tout professionnalisme. Depuis sa présence à la tête de la Direction Générale des Douanes et Droits Indirects (DGDDI), Frédéric Théodore Inamo, en compagnie de ses collaborateurs, incarne le dynamisme et le triomphe. Respectueux et respectable, le Directeur Général de la Douane Frédéric Théodore Inamo n’est pas un inconnu en raison de ses prouesses.
Au sein de la Douane centrafricaine, point n’est besoin de faire la littérature car ce sont les chiffres qui parlent. En un mot, chaque trimestre, tous les efforts se font pour que les recettes connaissent sans cesse une amélioration croissante. L’on peut dire sans hésitation qu’au regard de son expérience et de la bonne renommée qu’il draine auprès de ses collègues, des autorités du pays ont bien voulu lui confier cette importante institution en tant que Directeur Général. Chose que les partenaires de la douane centrafricaine apprécient à leur juste titre. Méthodique et bien structuré, l’inspecteur des douanes de classe exceptionnelle est l’un des partisans des records sur le plan de la mobilisation des recettes douanières.
C’est donc, grâce à lui et par sa rigueur, que la douane centrafricaine a fait plusieurs exploits dont les actions ou plus exactement les réalisations sont visibles tous les jours avec pour objectif l’atteinte d’un niveau de recette exponentielle. Le DG Inamo sait manager les choses pour que cette institution retrouve sa noblesse auprès des autres partenaires voire les organisations continentales et mondiales. Pour réussir ces actions, l’équipe technique de la douane centrafricaine est présente dans toutes les rencontres internationales, dans le but de partager les expériences, d’en bénéficier et d’acquérir des solides stratégies afin de lutter efficacement contre les manœuvres omniprésentes de fraude et de contrebande et in fine de mobiliser les recettes au niveau interne.
Dans cette optique, une priorité est accordée à la préparation et à la formation des douaniers centrafricains où de manière rotative, ils participent à des diverses formations à l’extérieur, et prennent régulièrement part à des séminaires de renforcement de capacité, etc. Ce n’est pas au hasard que l’Organisation Mondiale des Douanes (OMD) ne cesse d’adresser à la douane centrafricaine des lettres de félicitations, sans oublier tout naturellement le DG Inamo et certains de ses collaborateurs qui bénéficient des certificats d’encouragement pour leur dévouement à atteindre des résultats satisfaisants.
Sourire toujours aux lèvres, comme signe distinctif et d’approche, et principale caractéristique, le sérieux dans le travail, comme le slogan de la douane l’a formellement consacré, « vigilance et loyauté », Frédéric Théodore Inamo reste un cadre loyal et vigilant. Ceux qui ne le connaissent pas, pensent que sa nomination, après les élections de 2016 relève d’une quelconque récompense politique. Loin s’en faut, l’inspecteur des Douanes de classe exceptionnelle, Frédéric Théodore Inamo est une perle rare qui se distinguait par son sérieux dans le travail. Il n’est pas de même étoffe que ceux qui déploient armes et bagages pour conquérir ou arracher un poste de responsabilité.
Tous ceux qui ont pu le rencontrer retiennent une chose : son grand dévouement à son travail. Partout où il a servi, en plus de vingt ans de parcours à la douane, il s’est forgé le respect en raison de sa ponctualité, son assiduité et sa maîtrise des dossiers. Très ouvert à son personnel, il est doté d’un vif esprit à l’analyse de n’importe quel dossier. Jamais il ne mord à l’hameçon de l’argent facile. Au-delà de sa conduite exemplaire, ses atouts afin de réussir son challenge relèvent de son professionnalisme et de son commerce agréable.
Il connaît la direction des douanes comme les traces de sa paume pour y avoir servi des années durant au niveau de nombreuses sous-directions et présente une parfaite connaissance de tous les rouages de l’administration douanière, tant sur le plan national où il a beaucoup servi qu’à l’international par sa participation à des d’importants fora sur la Douane.
Au niveau de la Douane centrafricaine, les actions et les réalisations parlent d’elles-mêmes. Cela à travers la construction de nouvelles brigades de dédouanement, dignes de ce nom, la valorisation du dédouanement en ligne avec le logiciel sydonia ++ et actuellement sydonia word, mais aussi en tirant les recettes de ces bureaux vers le haut. Depuis USA, Japon, Chine, Angleterre, Afrique du Sud, Brésil…l’on a point besoin d’acheminer les marchandises pour les dédouaner. Il suffit tout simplement de faire les déclarations en ligne de ses marchandises et autres pour que cela arrive en temps réel à destination, sur le territoire national par exemple.
A la tête des douanes, Directeur Général Frédéric Théodore Inamo très rigoureux et amoureux du travail bien fait et ses collaborateurs connus sous le nom de soldats de l’économie continuent de pulvériser des records de mobilisation de recette jamais égalés. Pour preuve alors que les prévisions du gouvernement pour l’année 2021 étaient de 52 milliards comme recette douanière, avec ses collaborateurs, ils ont réussi à mobiliser 62 milliards en dépit de la pandémie de la Coronavirus et la crise sécuritaire qu’a connue le pays. Cependant celles de 2022 étaient de 64 milliards mais la douane centrafricaine a pu engranger 70 milliards comme recettes. Ce sont des efforts louables pour un pays enclavé comme la RCA qui fait face encore à certains défis au niveau de ses postes douaniers qui se situent aux frontières de certains pays.
En dehors de leur mission de mobilisation des recettes, le Directeur Général des douanes et droits indirects et ses hommes sont engagés implacablement dans la lutte contre la contrebande. C’est fort de cela qu’ils multiplient les saisies. Disponible à des heures les plus tardives quand il s’agit de l’intérêt supérieur de la nation, Frédéric Théodore Inamo est d’une religiosité exemplaire et de bonhomie à revendre, surtout avec les partenaires principaux des douanes : opérateurs économiques, déclarants en douane, chargeurs… dont il compte sur le soutien de tous pour relever le défi.
D’autres réalisations que nous pouvons mettre à la disposition de nos lecteurs sont celles concernant les réformes administratives. La douane centrafricaine a ainsi tablé sur la performance de chaque douanier qui assume son travail avec loyauté. Pour réussir ces missions ô combien difficiles, le DG Inamo se soucie du cadre décent de travail afin de permettre à ses collaborateurs de réussir les tâches qui leur sont confiées. La construction de la plateforme douanière à Béloko, à la sortie Ouest du pays en allant à Garoua-Boulaï (Cameroun), la construction du port sec de PK 26, la construction de l’hôtel des douanes qui sera bientôt opérationnel, et bien d’autres réalisations à Mongoumba, au port Beach, au BARC, à Berberati, Bambari pour ne citer que ceux-ci, il y a autant de chose que la Douane centrafricaine réalise pour permettre à la RCA de faire face à ses charges régaliennes sans compter sur un quelconque appui financier.
@Bienvenu ANDALLA,
