Alexandre-Ferdinand Nguendet se fait parler encore de lui en mal ces derniers temps. Ce politicien qui met ses pas là n’y pas l’intérêt du peuple Centrafricain, donne son avis qu’il s’aligne derrière ceux-là qui veulent déstabiliser le pays par tous les moyens.
Comme il a toujours l’habitude de prêcher pour le mal, le président du parti RPR et allié au BRDC/COD20 se permet de faire le procès du régime du président Faustin-Archange Touadéra. Dans une interview accordée à un média de la place, a déclaré officiellement que le pays va sombrer dans une crise dont il en est l’un des instigateurs. Cette personnalité qui dispose d’un parcours politique mitigé est-elle mieux placée pour intoxication les Centrafricains à travers des mensonges grotesques ?
Les militants du parti RDC sont mieux placés pour nous cracher des vérités sur Alexandre-Ferdinand Nguendet qui, pour des raisons malhonnêteté politique, a quitté ledit parti pour créer le RPR qui est une coquille vide. Il suffit de faire une rétrospection sur la période de transition en Centrafrique pour comprendre que Nguendet n’est pas digne d’un homme politique qui peut duper les Centrafricains.
N’est-ce pas ce Nguendet qui a organisé une grande marche de soutien aux séléka au lendemain de leur coup d’Etat de 2013 ? Combien des Centrafricains ont été massacrés comme des animaux ? Parlons du passage de Nguendet à la tête du CNT. Qu’est-ce que ce dernier a-t-il fait de positif ? Les Centrafricains ne sont pas naïfs et il ne faut pas jouer à l’intérêt du peuple qui est souverain.
Alexandre-Ferdinand Nguendet doit être reconnaissant des efforts engagés par le président Touadéra pour le redressement national. Sous le régime de la Transition, Nguendet a été la deuxième personnalité du pays après Catherine Samba-Panza. C’est pour dire que Nguendet fait également partie de ceux-là qui ont reconnu l’élection démocratique du président Faustin-Archange Touadéra en 2016, puis réélu encore pour un second mandat. Si le président du parti RPR s’aligne derrière ceux qui conspirent contre les Centrafricains, c’est pour dire lui-même a mis l’avenir de ses militants en danger.
Nguendet et ceux qui ont géré la transition savent très bien l’état lequel le président Touadéra a trouvé le pays. C’est dans la logique de sa vision éclairée que plusieurs réalisations ont été rendues possibles. Malheureusement en Centrafrique, c’est la politique de la haine qui caractérise les politiciens. Les Centrafricains ne tiennent plus compte des discours et autres réactions qui visent l’instrumentalisation. Il n’est pas donné à n’importe quelle personne de diriger un pays. Le pouvoir, c’est Dieu qui donne à travers la volonté du peuple. Les propos avancés par Nguendet concernant la gouvernance du président Touadéra, sont des vrais coups d’épée dans l’eau. Ne dit-on pas que le chien aboie la caravane passe ?
@Jacko
