Qui sont ces ministres qui font preuve de réussite durant ce second mandat de Touadéra à mi-parcours?

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Le président Faustin-Archange Touadéra a entamé en 2016 son premier mandat présidentiel pour redresser la situation du pays qui se trouvait dans un piteux état. Suite à la confiance qui lui est placée par son peuple, l’homme a fait l’essentiel en hissant le pays au seuil de son développement grâce aux actions salvifiques menées par certains ministres.

Pour diriger le pays, Le Chef de l’Etat Faustin-Archange Touadéra s’est entouré des personnalités qui n’ont pas grande chose en commun, si ce n’est leur fidélité à son égard, voire leur loyauté à sa vision politique.  Pour la première fois, lepotentielcentrafricain.com, qui suit les choses depuis le début de l’année, propose la mise en éclairage des 20 personnalités qui incarnent le mieux cette effervescence.

Avec beaucoup d’humilité, nous rendons compte au travers de cette sélection de la place que chacun occupe à nos yeux dans une effervescence, qui s’est encore accentuée à la faveur de la crise sécuritaire,  sanitaire et économique qui secouent la RCA.

Pour étalonner nos personnalités choisies parmi une liste de noms, nous avons retenu une série de critères, qui vont de la capacité d’innovation, de patriotisme, en passant par le soutien à la vision politique du président Touadéra, le leadership et la notoriété, en valorisant au premier chef les actions visant à contribuer à la reconstruction du pays depuis 2021.  Bien sûr, ce choix ne saurait prétendre à un vœu absolu de la part de certains, mais il présente la vision de notre Rédaction d’une révolution que nous suivons depuis.

Pour réussir la « bataille » qui fonctionne à merveille en ce moment, le numéro un centrafricain a fait appel à certains compatriotes qui l’accompagnent dans la lourde tâche qui lui est confiée par son peuple face à qui, il rendra compte lors de la célébration de son deuxième anniversaire de son second quinquennat. C’est ainsi que ceux qui n’ont pas pu réussir  à leurs missions doivent être mis à la porte automatiquement. C’est-à-dire que la place des incompétents n’est pas dans le gouvernement.

Ainsi de Henri-Marie Dondra en passant actuellement par Felix Moloua à la tête du gouvernement, les consignes  ont été données à ces deux locataire de l’immeuble de PETROCA par le président Touadéra de veiller sur les actions gouvernementales. C’est dire que l’homme fort de Bangui veut accélérer ses actions à la tête du pays. Pour réussir, il faut des hommes qu’il faut à la place qu’il faut. Le top est ainsi donné pour qu’aucune erreur ne glisse dans la mise en œuvre des actions pour le succès de son second quinquennal.

Touadéra reste toujours dans la logique de réussite de sa vision politique selon les promesses faites au peuple. D’autres ministres ne comprennent pas encore son engagement et veulent trainer les choses pour ainsi coller un résultat mitigé à la gouvernance de Touadéra. Mais nous devons témoigner sur des faits que certains ministres font preuve des « bons élèves » qui mettent en action les grandes orientations du président Touadéra pour le bonheur du peuple centrafricain.

Le problème qui se pointe en cette phase du second mandat du président Touadéra que le peuple lui accorde, c’est la question de changement de la Constitution que le peuple sollicite pour que cette loi « mère » cadre avec les réalités des Centrafricains. Même si certaines langues braillent contre le vœu du peuple souverain, il va sans dire que ce sont les ennemis de la nation. Autrement dit, le peuple veut obtenir une loi qui cadre avec ses réalités. Dans cet élan de reconstruction, de stabilité et du développement intégral de la RCA, le président Touadéra a ouvert le bal des actions pour que sa vision atteigne les objectifs escomptés.

Pour cela, le numéro un centrafricain a jugé mieux d’ajuster à ses stratégies de gouvernance, un nouveau système d’attirance des investisseurs dans le pays. C’est effectivement la formule avec SANGOCOIN. Aussitôt avec le lancement de ce projet, on enregistre déjà plusieurs entrées financières qui prouvent à suffisance que le président Touadéra ne prêche pas dans le désert. Il a engagé une nouvelle formule d’investissement et de capitalisation des financements extérieurs, et les retombées n’ont pas tardé à jaillir.

Il s’agit bien entendu du ministre d’Etat à la justice, Dr Arnaud Djoubaye Abazene qui fait ses preuves dans sa lettre de mission. Ce juriste est toujours loyal à la vision politique du président Touadéra. C’est suite aux actions du ministre d’Etat Dr Djoubaye Abazene que la question que la machine judiciaire est en marche. Car si la justice va bon train, la stabilité sociale est une évidence et que la paix puisse régner dans le pays. Car dit-on, point de développement possible sans justice pour tous.

La question des Droits humains est une réalité et la bonne gouvernance aussi s’installe progressivement. Le bilan à mi-parcours du ministre d’Etat est salutaire et c’est la raison qu’il reste déterminé à poursuivre les actions afin d’accompagner le président Touadéra dans son élan de reconstruction nationale. Juriste de carrière, Docteur Arnaud Djoubaye Abazene est celui qui durant son parcours professionnel, est toujours loyal à son travail et surtout fidèle à la vision politique du président Faustin-Archange Touadéra depuis son accession à la tête de la magistrature suprême de l’Etat.

De la parole à l’acte, l’impunité prônée par le président Touadéra est en marche avec le ministre d’Etat Dr Djoubaye Abazene qui traduit les engagements dans les faits. On peut résumer que le ministre d’Etat Dr Djoubaye Abazene a fait de la lutte contre l’impunité son cheval de bataille comme l’a voulu le président Touadéra. Pour preuve, les sessions criminelles se tiennent régulièrement voire les premières audiences de la CPS qui traduisent l’engagement des autorités centrafricaines à faire de la RCA un pays dont l’impunité n’a plus sa place selon le vœu exprimé par le peuple centrafricain du Forum de Bangui au dialogue républicain en passant par la constitution du 30 mars 2016.

On ne doit pas perdre de vue que les acteurs de la justice qui se dérobent à la déontologie de leur métier sont réprimés afin qu’ils deviennent des modèles dans ce vaste chantier. Les maisons carcérales de Bangui voire celles des provinces sont construites et appuyées avec l’aide des partenaires, notamment la Minusca et autres sous le regard très attentif du chef de ce département. Le Dr Djoubaye Abazene est à l’œuvre et il s’attache aux instructions gouvernementales concernant la question du Droit de l’Homme, d’où sa participation à la rencontre régulière des Nations-Unies à Genève en Suisse. Le ministre d’Etat Djoubaye Abazene a toujours été félicité à travers les différents rapports présentés au niveau international et même international.

Le président Touadéra et le ministre d’Etat Djoubaye Abazene, deux hommes qui se reconnaissent par cœur dans les actions visant à rétablir la paix dans le pays à travers la justice. Ils parlent le même langage : celui de l’impunité zéro, la paix dans le pays, surtout dans le grand Nord-Est.

Le ministre Herbert Gontran Djono Ahaba s’aligne également dans cette logique de réalisation. A la tête du ministère des Transports et de l’aviation, civile, le ministre Djono Ahaba concilie toujours la parole aux actions. Là où il passe, ce dernier laisse toujours de bon témoignage de par sa manière de diriger un département ministériel. Ne dit-on pas que chaque homme doit marquer son histoire positivement ?

Tout ce qu’il fait c’est pour réussir la mission qui lui est confiée pour l’intérêt du peuple centrafricain. Après quelque reconduit dans le gouvernement que dirige Felix Moloua, on peut dire sans hésitation que le ministre Djono Ahaba est un ministre qui fait la fierté du pays. Tout ce qu’il fait c’est pour rendre palpable sa feuille de route qui avance très bien et cela n’est pas à démentir. Sa présence à la tête d’un Ministère est synonyme de succès et les témoignages de ses collaborateurs à son propos nous rassurent. Durant la récente crise que le pays, le ministre Djono Ahaba fait partie de ceux-là qui ont engagé toutes leurs énergies pour que la paix revienne progressivement dans le pays. On peut déjà brosser au passage que le ministre Djono Ahaba est celui qui contribue efficacement à la bonne gouvernance du président Touadéra. Concernant le transport aérien, la sécurisation de l’aéroport Bangui-M’poko est un succès avec les réformes engagées. Tout ceci c’est pour réussir aux normes internationales, notamment l’action de l’aviation civile et la collaboration fructueuse avec l’ASECNA. Actuellement les travaux de balisage de l’aéroport de Bangui-M’poko réussissent pour que le pays renoue avec les vols de nuit qui n’existaient plus depuis belle lurette. La RCA vers une nouvelle vision ? Le temps nous le dira !

Le transport terrestre est aussi pris en compte avec la modernisation des gares-routières au niveau des provinces (Bambari, Sibut, Bouar…) et que ceux-ci contribuent à la mobilisation des ressources financières pour le pays car la route est fille du développement.

Concernant la voie fluviale, des actions sont également engagées et la gestion du port Amont de Bangui est confiée actuellement à des partenaires turcs pour faciliter les échanges internationaux à partir du Congo voisin. Des perspectives sont également en cours avec la schématisation du transport urbain dont plusieurs milliards sont estimés pour la dotation du pays avec des bus modernes pour le transport urbain et qu’un terme sera mis à la circulation des taxi-motos dans la ville de Bangui en vue d’éviter les accidents de circulation qui sont légion. La fin de la récréation a sonné. Autrement dit, ces moyens de transport seront autorisés dans les périphéries de Bangui. Dans cet élan, un projet de construction d’un nouvel aéroport en dehors de la ville de Bangui est en perspective. Ce projet sera exécuté par des partenaires turcs qui ont construit les aéroports de Dakar au Sénégal et Niamey au Niger. Sa présence actuelle à la tête du Ministère des Transports, Djono Ahaba parle de lui qu’à travers des actions voulues par le président Touadéra et le peuple centrafricain en particulier. Ces admirations qui vont à son encontre le galvaniseront davantage à poursuivre les efforts déjà matérialisés.

Le ministre de l’environnement et du développement durable, Thierry Kamach (TK) est vraiment un ministre qui mérite sa place à la tête de ce département surtout en cette période où le pays est en guerre contre le changement climatique. Sa présence à la tête de ce Département démontre que l’homme fait bien son travail et les résultats sont probants actuellement.

La réussite des actions du ministre Kamach est l’œuvre de sa détermination à mettre en exergue la vision politique du président Touadéra, surtout ses orientations visant à réussir les actions de son département. Les choses marchent à merveille au Ministère de l’environnement et du développement durable. Avec son air de ne pas y fléchir dans ses actions gouvernementales, il gravit progressivement tous les échelons pour se placer là où il se trouve. Lentement mais sûrement,  il s’est imposé comme une évidence incontournable. À ses détracteurs qui l’ont toujours qualifié d’éternel second, Thierry KAMACH (TK) peut désormais répondre qu’il est un homme politique de poigne. Lorsqu’il est engagé aux côtés du président Touadéra pour la cause de son pays, la RCA, une certaine fierté se lit sur son visage. Sans en faire trop ou trop peu bien sûr, comme d’habitude… L’homme aime la mesure et continue de faire ses preuves, lui qui est disponible à servir son pays.

Le ministre Thierry Kamach a été toujours celui qui fait preuve d’un bon élève de Touadéra à travers les réalisations. C’est pour dire que le ministre Kamach mène des actions salutaires qu’il faut le reconnaitre. Grâce à ce que fait le ministre Kamach, le pays dispose d’un document national concernant la protection de l’environnement, appelé Contribution Déterminée Nationale(CDN). On peut noter qu’au niveau du Parlement, plusieurs textes présentés par le Ministère ont été adoptés par les élus de la nation. C’est de dire que le ministre Kamach reste engagé à aider le président dans la lourde tâche qui lui est confiée par le peuple Centrafricain.

Virginie Baikoua, une femme qui donne le meilleur d’elle-même pour la cause du pays. C’est-à-dire que la ministre de l’Action humanitaire et de la réconciliation nationale a fait des prouesses depuis sa présence à la tête de ce département. Sa feuille de route est accompagnée par les actions qui parlent à sa place. La ministre Virginie Baikoua n’aime pas s’asseoir dans les quatre coins du mur. Autrement dit, elle veut se rendre toujours sur le terrain pour s’occuper des questions humanitaires et surtout la réconciliation nationale qui est une réalité en ce moment. Car, après une longue période de déchirure, les Centrafricains sont tenus de vivre ensemble afin de bâtir leur pays. La ministre Baïkoua a fait plusieurs réalisations concernant la gestion des catastrophes naturelles et autres problèmes liés à la situation humanitaire. Le retour des réfugiés en passant par celui des personnes déplacées est une réalité. Ces derniers sont accompagnés par certaines mesures pour leur résilience.

Femme battante et engagée pour la cause de son pays depuis son entrée dans le gouvernement suite au choix du président Touadéra elle s’impose activement. La principale intéressée vante les efforts inlassables du président Touadéra pour le développement d’une démocratie participative et apaisée. Aux côtés du président Touadéra, elle mène depuis un combat politique pour accompagner le « champion » Touadéra dans la lourde mission qui lui est confiée par son peuple. Touadéra a certes besoin d’une femme engagée qui maitrise le système politico-social centrafricain et le pays compte sur elle pour sa contribution à l’essor de sa réconciliation nationale.

Eric Rokossé Kamot, le ministre de l’Agriculture et du développement rural fait son travail avec détermination dont les fruits sont positifs. Diriger un Département aussi stratégique pour l’intérêt du pays démontre que le ministre Eric Rokossé Kamot mérite là où le président Touadéra l’a mis. C’est-à-dire qu’on reconnait en lui un vrai qui est au pied du mur. Dans un passé récent, ce Ministère était lâché par les partenaires au développement pour des motifs que la mise en œuvre des projets trainait. PRADAC, PREPAS, PRAPAM…ce sont des projets qui sont mis à l’œuvre actuellement et les impacts sont positifs sur la population. Tous les secteurs qui concernent l’agriculture se développent actuellement. Le paiement des arriérés des coton-culteurs, la remise des matériels agricoles aux différents acteurs agropastoraux, sans oublier l’accompagnement technique des populations rurales sont autant des actions du ministre Rokossé Kamot.

Dès son arrivée, le ministre Rokossé Kamot a mis toutes les batteries en collaboration avec les techniciens du Département pour que les choses évoluent. Du coup, la confiance des partenaires a repris sa place de noblesse pour que les projets soient mis en œuvre. La terre centrafricaine est agricole et le ministre Eric Rokossé Kamot a compris l’enjeu sur les directives du président Touadéra, de mettre au pas plusieurs projets dont les résultats à mi-parcours sont à saluer.

Toujours dévoué à accomplir la mission qui lui est confiée, le ministre Eric Rokossé Kamot reste dans la droite ligne de ses actions dont l’évolution est à la hauteur des attentes. Le pays a connu une crise profonde et pour s’en sortir, il faut appuyer le secteur agricole dans son ensemble. C’est ainsi que plusieurs projets sont en marche actuellement et nous ne pouvons que saluer l’action louable du ministre Rokossé Kamot qui est au four et au moulin. Touadéra doit être fier de lui ! C’est dire que le succès de ce département réside dans l’agriculture. Suite à la vision politique du président Touadéra, le ministre Rokossé Kamot met en action plusieurs activités qui boostent le secteur agricole en vue des populations rurales à combattre l’insécurité alimentaire dans le pays dont l’objectif est d’arriver à « zéro Faim » d’ici 2030. Les moyens de production sont importés sur les moyens de l’Etat en partenariat avec les partenaires techniques et financiers.

Bruno YAPANDE, Ministre de l’Administration du Territoire et de la Décentralisation

Nommé dans le gouvernement que dirigeait le Premier Ministre Henri-Marie Dondra,  et reconduit dans le bateau de Felix Moloua, Bruno Yapandé est celui dont les témoignages le qualifient d’une personnalité politique responsable qui se veut loyal et patriotique. Il n’aime pas la démagogie et surtout la politique politicienne, le ministre Bruno Yapandé, fait toujours un bain de la politique malgré les moments durs que le pays traverse depuis 2021. Il se traduira par l’autorité qui règne au sein du Département qu’il dirige et que grâce à son sens élevé, les choses s’améliorent. Pour Yapandé, l’avenir se dessine sous la gouvernance de Touadéra et « il faut toujours tenir à l’écart des querelles partisanes pour mieux faire avancer le pays ».

Homme intègre pour la cause de son pays depuis son entrée dans le gouvernement suite à l’appel du président Touadéra il ne fait que donner une valeur ajoutée dans la vision politique du président Touadéra. Pour preuve, d’ici le 22 janvier 2022, les élections locales verront le jour. C’est dire que la RCA connaîtra la nomination des gouverneurs une première fois dans l’histoire de ce pays, sans oublier la nomination des préfets, sous-préfets et secrétaires des sous-préfectures qui vont se faire dans les jours à venir. Plusieurs réformes sont engagées dans le cadre de la décentralisation et l’appui au développement locale$. L’autonomisation des collectivités locales et les échanges, voire, la collaboration inter-régionale est autant des actions que le ministre Yapandé se penche là-dessus en ce moment car, malheur à l’homme seul. Pour y arriver, les partenaires sont mis à contribution où environ 32 milliards sont sollicités pour réussir ses réformes. Le ministre Yapandé est un ministre qui fait ses preuves dans la mise en œuvre de la vision politique du président Touadéra et les résultats parlent à sa place.

Michelle Annie MOUANGA, Ministre du Travail

Le milieu du travail, de la formation professionnelle et de la prévoyance sociale, l’adore bien, loue son sens de management, sa rigueur et surtout sa manière de conduire le Département qu’elle a la responsabilité de diriger. En arrivant à la tête de ce Ministère, elle qui disposait déjà d’un parcours professionnel élogieux dans le secteur privé, qui a profité effectivement à la mise en œuvre des orientations de son Département. Très pragmatique au travers, sa méthode de mangement, la ministre Annie Michelle Mouanga se donne à fond pour que la mission qui lui est confiée réussisse.

S’il est question de brosser ces quelques réalisations, on doit parler d’une manière laminaire des réformes administratives, le partenariat avec les structures d’emploi public-privé, sans oublier la prise en compte des préoccupations qui s’inscrivent dans le cadre de la prévoyance sociale.

Le résultat à mi-parcours de la ministre Mouanga est appréciable à tel enseigne que l’opinion ne l’a pas reprochée des dérives. Sauf que ce serait des détracteurs malintentionnés qui pourraient lui inventer des griefs inutiles.  Si elle prend un dossier en charge, on est sûr qu’elle arrivera à son terme. Elle sait prendre le temps de la réflexion, avant d’agir. Elle est un artisan de réussite. Respectée par les partenaires, elle l’est aussi envers ses collègues ministres, même si certains lui reprochent d’efforts dans la communication sur ses actions. Le président Touadéra doit compter sur cette compatriote battante qui est au four et au moulin.

Le Ministère des Travaux publics et de l’entretien routier que dirige Guismala Amza fait partie des Ministères clés qui contribuent effectivement au développement du pays. Car dans un pays où les infrastructures publiques sont dans de bon état, le développement y est également. Le ministre Guismala Amza n’a pas démérité là où il se trouve. Tous les signaux sont au vert au sein du département en charge des travaux publics. Dans cette logique, on peut dire que le ministre Guismala Amza a observé les consignes du gouvernement en mettant les choses au pas. C’est l’un des ministres exemplaires suite à ses actions rentables qui témoignent de son attachement à la réussite de la gouvernance du président Touadéra. La RCA doit son développement par la construction des infrastructures routières. C’est la vision du président Touadéra que le ministre Guismala Amza traduit dans les faits. Plusieurs routes sont construites à l’intérieur du pays voire la ville de Bangui qui est en chantier et les ponts sont réhabilités. Tout cela, c’est grâce à l’action du ministre Guismala Amza.

Le ministre Hassan Bouba est au four et moulin depuis sa présence dans le gouvernement. Avec sa présence à la tête de ce Département plusieurs actions réussissent et actuellement il dispose d’un bilan élogieux que personne ne saurait contester sauf mauvaise foi. D’abord il vous souviendra que depuis 2008 l’Assemblée générale de la Fédération nationale des éleveurs centrafricains (FNEC) n’a pas eu lieu. Au temps du ministre Hassan Bouba, cela s’est tenue avec la mise en place d’un bureau et que les actions vont bon train en ce moment : « On ne peut pas continuer de travailler dans l’anarchie. Il fallait mettre en place une coordination des éleveurs afin de donner la chance aux Centrafricains d’avoir de la viande de bœuf comme dans les temps glorieux de ce pays » réaffirme le membre du gouvernement.

Suite aux actions engagées dans le cadre de la sécurisation des couloirs de transhumance, plusieurs éleveurs sont de retour dans le pays, et certains qui constituaient des menaces sont désarmés. Les conflits intercommunautaires liés aux problèmes des agriculteurs et éleveurs sont gérés pour qu’aucun souci ne soit enregistré dans ce secteur. Dans la suite logique des actions, certains pays voisins sont mis à contribution avec la tenue régulière des réunions tripartites entre la RCA, le Cameroun et le Tchad. Concernant la santé animale, des programmes sont réalisés avec la vaccination engagée dans des régions d’élevage voire à Bangui dans la lutte contre la rage.

Pour les réformes administratives, c’est une réalité avec le ministre Hassan Bouba qui, avec la contribution de ses collaborateurs qui s’appliquent à la feuille de route de son département. La SEGA connaitra dans les jours à venir des améliorations techniques avec l’appui de certains partenaires extérieurs. Les marchés à bétail du pays seront appuyés en termes  de la logistique. Il suffit de faire un tour au parc à bétail de Bouboui situé au Pk45 sur la route de Boali pour comprendre les acteurs de secteur disposent d’un cadre qui réponde aux normes de leurs activités. Il ne faut pas perdre de vue le fonds de développement animale qui est en marche et que le ministre Hassan Bouba se déploie constamment sur le terrain pour mener des sensibilisations à l’endroit des éleveurs dans le but du respect de l’APPR. C’est de dire que le ministre Hassan Bouba est loyal à la mission qui lui est confiée par le président Touadéra, celle servir le pays et de contribuer aux actions de développement national.

D’ailleurs, l’histoire retiendra que ce digne fils du pays a joué un rôle primordial dans la sensibilisation des combattants de l’UPC qui sont aujourd’hui revenus dans l’APPR-RCA afin de parvenir à la reconstruction de ce pays : « Ma mission n’est pas seulement de diriger ce ministère. Je dois aussi apporter ma modeste contribution au retour de la paix dans mon pays car sans la paix, point de fruits de l’élevage pour le bonheur des populations », rassure le ministre Hassan.

Arthur Bertrand Piri, on le surnomme PAB le patron de l’énergie et de l’hydraulique. Avec lui, point n’est besoin de tergiverser sur plusieurs points de doute. Il est toujours pragmatique et déterminé à mettre en actif les consignes de son Département.

La preuve en est que depuis sa présence à la tête de ce Département, les choses bougent car il veille personnellement sur les dossiers du Cabinet. C’est ainsi que dans sa démarche visant à mettre sa feuille de route en pratique, plusieurs réalisations sont enregistrées concernant le développement des ressources hydrauliques du pays. On pourrait noter que depuis plusieurs années le pays ne dispose que de 28 mégawatt avec l’ENERCA. Sous le président Touadéra, un ajustement de 10 mégawatt qui est une réalité avec le grand chantier de Sakaï dont les travaux sont à son terme et que la phase de test est en cours prouve que le secteur énergétique n’est pas à la traine dans ce pays. Le chantier du champ solaire de Danzi prendra fin au premier trimestre 2023. Aujourd’hui la question de l’électrification rurale est en marche avec le projet de construction des mini-centrales hydrauliques dans les provinces.

Dans les actions engagées par le ministre Piri, la prise en compte de la situation hydraulique en milieu urbain est une réalité avec des réformes au niveau de la station de pompage et captage de la SODECA. Les actions se poursuivent également avec l’intensification de réseau de distribution dans la ville de Bangui et ses périphéries. A Bambari et Berberati, la SODECA est en œuvre et d’autres villes du pays sont concernées par ces réformes pour que les populations bénéficient d’eau potable.

Concernant les actions au niveau rural, la cartographie des réseaux de distribution d’eau est effective et des forages sont construites dont on estime à plus 4100 réalisations et cela se fait de manière équitable pour toute la population. Il va sans dire que le ministre Piri reste toujours engagé aux côtés du président Touadéra afin de poursuivre les œuvres de la reconstruction nationale.

Hervé Ndoba, c’est lui l’argentier du pays. Dès son entrée au gouvernement, le ministre des Finances et du budget a mis la machine en marche pour que les finances publiques se restructurent. C’est-à-dire qu’il faut faire face à des défis pour mieux mobiliser les recettes financières dans la mesure où certaines institutions financières internationales se montrent réticentes dans l’appui budgétaire à la RCA.

Le ministre Hervé Ndoba a su donner une réponse à l’équation afin que la RCA ne soit pas asphyxier pour l’intérêt de son économie. Ndoba a donné des consignes à ses collaborateurs et les choses marchent actuellement.

Sylvie Baïpo Temon, c’est elle la dame de la diplomatie qui a fait bouger le monde entier concernant l’actualité du pays. La ministre Baïpo Temon qui gère le Département des Affaires étrangères et des Centrafricains de l’étranger, a su résister à toutes les menaces diplomatiques qui pèsent sur la RCA. En suivant les directives du président Touadéra, la patronne de la diplomatie démontre qu’elle est nationaliste et ne peut aucunement fléchir dans sa feuille de route. Tous ces exploits sont appréciés à tel enseigne qu’elle est devenue une ministre qui sait tenir le coup. Dans sa logique de réussite, elle compte toujours diversifier la diplomatie centrafricaine afin que le pays puisse tailler une place dans le concert des grandes nations. A cela s’ajoute dans le lot de ses actions, une réforme profonde au sein du Département, l’efficacité des Représentations diplomatiques de la RCA et des réponses données aux problèmes des Centrafricains de l’étranger à chaque fois qu’une difficulté se présente.

Pierre Somsé, l’homme qui a su maitriser la Covid20 qui est affaiblie actuellement. En dirigeant le Ministère de la Santé et de la Population, Dr Pierre Somsé est conscient du poids de la responsabilité qui lui confiée. Professionnel en la matière, ce ministre traduit dans les faits sa feuille de route. Sachant que la question de santé fait partie des dix domaines d’impulsion du président Touadéra, le ministre Pierre Somsé fait l’objet des témoignages positifs qui le fortifient à persévérer dans sa mission.

On le surnomme Monsieur vainqueur de Coronavirus. Ça fait rire mais c’est une réalité avec les dispositions pratiques engagées avec ce ministre et ses collaborateurs pour affronter et anéantir la pandémie à coronavirus rangée dans les tiroirs des oubliettes.

C’est ainsi qu’aujourd’hui, le président Touadéra doit lui faire confiance afin que les bonnes actions s’amplifient davantage et que les partenaires internationaux qui œuvrent dans ce secteur apportent leurs appuis sans faille à la RCA, et surtout dans l’intérêt de la population. Touadéra doit compter sur le ministre Somsé pour booster les choses afin que les problèmes du pays en matière de la santé soient bannis totalement.

Gilbert Toumou Deya, c’est lui le ministre délégué en charge du DDRR. En entrant dans le gouvernement, une feuille de route lui a été clairement donnée à ce ressortissant du Grand-nord qui a fait ses preuves en tant qu’un compatriote qui se donne à fond pour soutenir le président Touadéra dans ses actions. En s’alignant derrière la vision politique du Chef de l’Etat Centrafricain qui tend la main à ses compatriotes pour la reconstruction nationale, le ministre Gilbert Toumou Deya a su comprendre qu’il faut s’attacher derrière la démarche du Père de la nation en menant des actions.

Tout ceci, c’est pour clore avec les soubresauts militaro-politiques pour que règnent la stabilité sur toute l’étendue du territoire national. Dans les différentes actions entreprises par le ministre Gilbert Toumou Deya, il faut reconnaitre que les résultats sont probants avec le retour progressif de la quiétude dans l’arrière-pays où plusieurs éléments appartenant aux groupes armés sont désarmés. Contrairement à certains groupes armés qui ne s’alignent pas au processus DDRR, on peut noter que les groupes armés tels que le MLCJ, RPRC, FPRC, antibalaka, 3R sont démobilisés et que les éléments profitent de l’appui du gouvernement et des partenaires pour leur réinsertion. Dans la région sud-est, les éléments de la LRA se rendent aux autorités pour être rapatrié dans leurs pays respectifs. C’est pour dire que le ministre Toumou Deya dispose actuellement d’un résultat très satisfaisant qu’on doit saluer et encourager.

Il vous souviendra qu’à un moment donné, la région du nord-est sombrait dans une crise intercommunautaire où les communautés de ladite région s’entredéchiraient pour des raisons qu’on ne peut pas étaler dans ce présent dossier. En tant que ministre résident de cette localité, Gilbert Toumou Deya a eu à contenir ses compatriotes à travers des sensibilisations pour qu’ils s’accordent et que la paix et la sécurité soient une réalité dans la région. Disposé d’un résultat satisfaisant comme en témoigne ses performances présentées durant le séminaire gouvernemental qui sera clos ce jour 22 août 2022, le président Touadéra doit compter sur ce compatriote qui a fait ses preuves en contribuant efficacement dans la réussite de la gouvernance du président Touadéra.

Pour le reste du lot des ministres qui s’engagent véritablement pour le développement du pays aux côtés de Touadéra, se trouve les ministres, Claude Rameaux Biro, Nicole Nkouet, Moukadas Noure, Maxime BALALOU. Ils sont excellents dans leurs démarches à la tête des Départements qu’ils dirigent. Ils n’aiment pas fléchir dans les missions qui leur sont confiées. C’est pourquoi, ils mettent toutes les stratégies en marche afin de réussir là où ils sont mis. Le résultat de ces ministres sont parfaits et le président Touadéra doit compter sur eux pour la réussite de sa gouvernance à la tête du pays.

Tout ce que l’être humain  fait, n’est pas du tout parfait. Mais à voir de près dans les actions entreprises par ces ministres susmentionnés, il y a question de dire qu’à côté de Touadéra, se trouvent certaines personnalités qui ont su comprendre sa philosophie de redressement national. C’est dans cette droite ligne que Touadéra doit tendre ses mains à celles ou ceux qui l’aident à rebâtir la RCA.

La suite au prochaine publication,

 

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