POURQUOI MANIGANCER POUR REPLONGER LE PAYS DANS LE CYCLE INFERNAL D’INSTABILITE ?

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Un pays ne peut pas se développer tant qu’un terme n’est pas mis aux manigances de tout genre, sources l’instabilité. Il faudrait comprendre que certains malintentionnés veulent à ce que la RCA ne fasse que surplace. Pourquoi orchestrer les manigances afin de replonger le pays dans le cycle infernal d’instabilité ? C’est la question que tout le monde se pose.

Durant trois décennies, le pays ne fait que plonger dans des crises militaro-politiques qui ne disent pas leur nom. Les conséquences fâcheuses de ces crises récurrentes sont palpables et le souhait de tous et que cela cesse. Pour la majorité des Centrafricains le pays ne doit plus replonger dans la crise et, le slogan de « Plus jamais ça » doit se traduire dans les faits.

C’est une vérité que le pays ne peut pas avancer tant que les gens continuent à orchestrer des troubles qui leur sont profitables, alors que le bas peuple continuent de grincer les dents. A la tête du pays, le président Touadéra a engagé des actions afin de donner de l’espoir à son peuple. On ne comprend pas pourquoi les gens veulent maintenir le pays dans l’instabilité constante.

Face au constat malheureux auquel nous assistions, on doit se dire que le pays doit amorcer son élan vers le développement. C’est justement à cause de ces crises récurrentes que l’ONU maintient sa présence dans le pays. Mais le résultat nous laisse comprendre que cette présence onusienne n’apporte aucun acte positif faute de mise en œuvre effective de son mandat.

Avec toute cette kyrielle des soldats qui sont déployées sur le sol centrafricain, la MINUSCA n’arrive pas ramener la paix. C’est qui veut dire qu’il revient c’est au centrafricain de décider  de la question de stabilité de leur pays. Les Centrafricains doivent savoir que le développement de leur pays ne viendra pas de quelqu’un d’autre.

Si les Centrafricains accordent leur confiance à quelqu’un qui doit les conduire, dans ce cas toutes les manigances doivent cesser pour que le pays se développe de manière progressive. Le président Touadéra qui se trouve à la tête du pays fait des efforts incommensurables pour l’intérêt de ses compatriotes.

Après sept ans de gouvernance, il faudrait reconnaître que des actifs positifs ont été posés par les autorités dirigeantes du pays.

Malheureusement, les ennemis de la paix veulent coûte que coûte laissent prospérer la calamité des Centrafricains. Actuellement l’élan de la reconstruction du pays est bon, alors que les auteurs des crises ne compter pas lâcher. Il suffit de faire la rétrospection de ce qui se passe dans les provinces, à travers les violences meurtrières pour comprendre que le progrès de la RCA n’est pas voulu par ceux qui profitent des troubles dans le pays.

Voyons les choses en face et nous pouvons avouer clairement qu’il y a des gens qui alimentent toujours les violences pour que le pays ne soit stable. Les acquis de la paix doivent être sauvegardés pour que les actions enclenchées en faveur de développement se poursuivent. Après quelques années de gouvernance,  les opinions se convergent sur la manière où le président Touadéra conduit le pays.

C’est dire que toutes les actions engagées ne doivent pas être sabotées par les ennemis de la nation. Avec cette allure de la marche vers le développement, il faut que les Centrafricains soient unanimes en contribuant à la reconstruction de leur pays.

Tout le monde a vu ce que la division, le tribalisme et l’égoïsme ont causé dans notre pays : un retard chronique de développement socio-économique faisant du pays faisant de lui l’un des plus pauvres au monde ; de milliers de pertes en vies humaines et des biens publics et privés, des déplacements massifs des populations, ajouté à cela de crises humanitaires aigues, des pillages de nos ressources naturelles, l’insécurité généralisée du fait de l’introduction dans notre pays des mercenaires étrangers pour la conquête brutale des pouvoirs de l’Etat à des fins égoïstes, pour ne citer que ces malheureux exemples.

Il est donc temps de mettre collectivement fin à ces maux identifiés comme les principales causes de notre malheur, si nous voulons hisser la République Centrafricaine au rang des pays émergents.

Ce  n’est pas un fardeau. Il suffit seulement de revenir à la tolérance, à l’inclusion, à la concertation permanente et au dialogue afin de garantir l’unité nationale, la paix et la sécurité durement ébranlées ces dernières décennies.

 

 

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