Bangui, le 27 mars 23
Reconstruire un Etat comme la République Centrafricaine qui fait face à des turbulences de soubresauts militaro-politiques, n’est pas une chose aisée. Un Etat ça meurt à défaut ne meurt jamais comme dirait homme politique et écrivain centrafricain. Mais c’est la bonne volonté des hommes politiques qui peuvent développer un pays pour que son peuple ait le bonheur.
Ceci dit, la République Centrafricaine a traversé un moment sombre à un certain moment suite à l’amour abusé du pouvoir de certaines filles et fils du pays. Le résultat a été ce que nous connaissons tous avec les tueries de masse, le pillage de l’Etat et autres crimes gravissimes qui n’échappent à personne. Bref, point n’est besoin de revenir sur les atrocités dont les prémices sont là dans le pays.
Comme Dieu a toujours un plan pour sauver ses enfants face à une situation malaisée, il a envoyé pour ne pas dire placer dans les cœurs des Centrafricains de porter leur choix sur l’un de leurs. Il s’agit bien entendu de Faustin Archange TOUADERA qui vient de nulle part comme David dans la Bible, pour asseoir l’espoir dans les cœurs de ses compatriotes, en engageant des stratégies qui ont valu au pays, sa stabilité et son développement qui se fait de manière progressive.
Un pays qui vient sortir d’une crise militaro-politique, ne dispose presque de rien. Il lui faut quelqu’un qui dispose d’une vision claire afin que sa mise en œuvre soit une réalité. C’est ainsi que le premier mandat accordé a été une phase de déclenchement de plusieurs chantiers, notamment la paix, la sécurité, la cohésion sociale, la justice, la restauration de l’autorité de l’Etat, la relance de l’économie, et bien d’autres.
Parmi les piliers énumérés, le numéro un centrafricain a ainsi engagé toutes ses énergies pour réussir le pari et il a su donner des réponses aux préoccupations de ses compatriotes qui retrouvent enfin, la paix du cœur, la stabilité et le bien-être qui se manifestent dans tous les domaines. Le premier quinquennat du président Touadéra a donné le résultat que personne ne nier. C’est-à-dire, le numéro un centrafricain a atteint le pourcentage de ses engagements.
La RCA après la crise qui l’a touché est devenue du coup une terre où tous les investisseurs et autres partenaires font la course pour y mettre leurs pieds pour des investissements multiformes. Tellement que le chantier est vaste, les Centrafricains ont jugé mieux d’accorder leur quitus à Touadéra afin qu’il continue l’œuvre de la reconstruction. La mission confiée à Touadéra pour le développement intégral du pays, poursuit son bonhomme de chemin.
Les choses se font progressivement pour l’intérêt du peuple. Dans cet élan, Touadéra a lancé toujours un vibrant appel à ses compatriotes à rester souder pour que sa vision politique se traduise dans les faits. Et c’est ce qui se passe actuellement les réformes qui s’amplifient et que le chantier est encore en exploitation.
