Le Vendredi 20 janvier dernier restera une journée de victoire gravée dans la tête des centrafricains qui, finalement ont vu leur volonté prise en compte par la Cour constitutionnelle qui a donné l’avis favorable suite à la saisine du gouvernement qui veut répondre à la volonté de son peuple en procédant à la réforme Constitutionnelle.
Pour la petite histoire, vent débout le Bloc Républicain pour la Défense de la Constitution, était contre le vœu de la population centrafricaine qui a demandé au Président Touadéra la modification de la Constitution. Les opposants dits « démocratiques » ont d’ailleurs utilisé tous les moyens pour empêcher ce projet dont le seul but selon eux, serait de chercher le maintien du Président Touadéra au pouvoir.
Une fausse conception qui ne cadre pas à la volonté du peuple. Ces opposants qui, à cause de leurs intérêts personnels et égoïstes veulent s’opposer à ce projet, savent très bien qu’il y a des irrégularités dans cette Constitution mais ils n’ont pas la volonté de tenir compte de la souffrance du peuple Centrafricain. « Ces opposants qui ont voulu s’opposer au projet de la modification de la Constitution ne méritent pas d’être appelés dignes fils du pays et ne sont que de piètres politiques dans ce pays. Ils n’ont jamais appris qu’il y a eu modification d’une Constitution sous d’autres cieux ? Pour le moment, la RCA doit obligatoirement adapter les dispositions de sa loi constitutionnelle aux réalités actuelles. A mon sens, ceux qui se sont retrouvés dans le BRDC sont ceux-là qui ne veulent pas que le pays avance. Dans cette Constitution adoptée pendant la transition de Sampa-Panza, il y a des verrous exprès imposés par des mains externes qui empêchent la RCA de prendre son élan du développement », souligne un diplomate accrédité en Centrafricain qui a participé à la rédaction de la Constitution du 30 mars 2016.
Depuis qu’il est élu à la magistrature suprême de l’Etat, le Président Touadéra a tenu au strict respect de cette Constitution pour réussir sa gouvernance, et surtout aux décisions rendues par les juges de cette Cour. C’est dans ce sens qu’après l’adoption de la loi sur la procédure référendaire par les députés, il a saisi la Cour constitutionnelle pour voir si elle est conforme à la Constitution. C’est ainsi que le vendredi 20 Janvier dernier la Cour constitutionnelle a finalement donné un avis favorable à ladite requête. Un échec cuisant pour les hommes de BRDC de Ziguélé, Tiangaye, Mbolingoumba, Dologuélé.
Le résumé de la décision de la cour constitutionnelle du vendredi 20 janvier dernier donne ce qui suit :
Article 1 : la cour est compétente
Article 2 : la requête est recevable
Article 3 : la procédure d’élaboration de la loi fixant les procédures du référendum en République Centrafricaine est conforme à la Constitution
Article 4 : La présente décision notifiée au Président de la République, au Président de l’Assemblée nationale, au premier ministre, au ministre en charge des institutions de la Républiques et publiée au journal officiel de la République.
Que diront alors ces opposants de BRDC qui agissent comme des hommes sans foi ni lois qui veulent s’opposer à la volonté du peuple du fait que la haute cour de justice a déjà tranché net ? La place est désormais laissée à l’organisation du referendum constitutionnel.
Il est temps que comme un seul homme, les Centrafricains puissent se lever pour barrer la route à ceux qui se disent opposants et qui veulent par tous les moyens écourter le mandat de Touadéra. Ce n’est pas en mettant terme au mandat du Président Touadéra que les Centrafricains auront à manger, à se vêtir, à sa soigner à s’éduquer…
Que ces « pourvoiristes » regroupés dans le BRDC sachant que les Centrafricains ne sont plus dupes pour que le pays soit toujours par les mêmes personnes qui ont eu à plonger ce pays dans la chao. Avant de se regrouper dans cette organisation criminelle, tous ceux qui se disent « opposants » ont occupé des hautes fonctions et ont des mains souillées. Que la volonté du peuple se fasse pour que la paix revienne de manière définitive en République Centrafricaine.
