Bangui, le 13 avr. 22
Reconstruire un pays qui sort d’une crise militaro-politique, n’est pas une chose aisée. Il faut se disposer d’une vision étincelante et réalisable. Le président en tant que bon pédagogue, a trouvé les formules qu’il faut pour rebâtir son pays et donner la chance à ses compatriotes de vivre dans l’opulence. Ce « combat » voulu par le numéro un Centrafricain ne peut qu’être possible que par le succès de l’unité nationale et le respect des principes de la démocratie qui s’accompagnent avec le développement.
Face à ses engagements, le Père de la Nation Centrafricaine a pris son bâton de pèlerin pour mettre au pas les actions. D’abord, le défi de l’unité nationale est une réalité sur toute l’étendue du territoire national où toute la communauté vit dans la convivialité. Le format proposé par Touadéra à ses compatriotes a toujours marché et continue de suivre son chemin.
Même ce dernier est mal compris par certains leaders politiques vêtus de la mauvaise foi, l’hypocrisie, la méchanceté et que sait-on encore…Les observateurs avertis pensent pour leur part que Touadéra a réussi là où les autres échouent. C’est pour dire que Touadéra fait de la démocratie son cheval de bataille et il incarne l’image de celui qui va transformer la RCA. Bâtir la RCA autrement, ce serait son slogan.
C’est le respect de la démocratie qui permet à un pays de se stabiliser politiquement et économiquement. Touadéra a compris l’enjeu et tout ce qui se passe dans le pays est accompagné du respect des principes de la démocratie, surtout le respect de la Constitution qui trace les règles de fonctionnement d’un pays. « On ne veut pas des hommes forts mais des institutions fortes », Avait déclaré l’ancien président américain Barak Obama.
En accédant à la magistrature suprême de l’Etat, le Président Faustin-Archange Touadéra a pris le taureau par les cornes pour conduire le destin du pays qu’il a trouvé aplatit. Après la réussite de son premier mandat, Touadéra a entamé le second dans l’objectif de pousser très haut les actions réalisées. Pour les réussir, la stabilité s’invite dans le défi afin d’aboutir au développement intégral.
Le développement est le vœu de tous les Centrafricains qui veulent y assister. Progressivement la RCA se transforme et personne ne peut dire le contraire, sauf s’il est l’ennemi du pays comme les membres de la COD20 qui s’associent avec ceux de la CPC pour mener la lutte politico-criminelle. Au moment où ils s’activent dans des actes visant à freiner l’avancée du pays vers un lendemain meilleur, les Centrafricains se rangent derrière le Président Touadéra afin de vivre une vie aisée.
@Hervé BINAH
