Centrafrique : Les récentes agitations de la CPC ne la donne pas droit de participer au Dialogie Republicain

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Bangui, le 13 oct. 21

Ces attaques ont pour seul but, de forcer la main du président de la République Faustin-Archange Touadéra pour leurs participations au dialogue républicain qui se pointe à l’horizon. 

Ces derniers temps il ne se passe pas un jour que des positions des FACA et des convois des véhicules et certaines villes de nos provinces soient attaquées à l’intérieur du pays par des ennemis de la paix qui ne sont autres que des rebelles de la coalition des patriotes pour le changement CPC.

Selon une source digne de fois proche du général de brousse François Bozizé, ces multiples attaques orchestrées ces derniers temps à ces éléments contre la population civile et des forces loyalistes, s’expliquent du refus par le peuple centrafricain qui a organisé des marches pour protester contre la participation des leaders de la CPC au prochain dialogue dit républicain qui s’annonce clairement.

Le centrafricain en a marre de voir ses bourreaux marcher sur le tapis rouge, occuper des postes dans des hautes institutions  du pays. C’est ainsi que plusieurs marches de protestations ont été organisées par la population civile pour dire non un à quelconque participation des rebelles de la CPC dans ce dialogue. Et puisque les autorités centrafricaines, ont été choisies par ce peuple, celles-ci ne doivent que respecter la souveraineté de son peuple. C’est-à-dire le président Touadéra n’a pas droit à l’erreur.

Plusieurs dialogues, fora et concertations ont été initiés ici à Bangui ainsi qu’en dehors du territoire centrafricain avec les leaders des groupes armés, mais aucune solution n’a été trouvé, donc il n’est plus question de dialoguer avec des gens qui ont le sang entre les mains.

L’heure n’est plus au partage du gâteau comme ça s’est dans le temps jadis, où après les concertations et dialogues, des postes de responsabilités ont été donner aux bourreaux du peuple.

Aujourd’hui le gouvernement n’a que seule option, répondre à ces rebelles par la force pour leur dire qu’on ne s’amuse plus à un Etat.

Pour dire vrai, il n y a plus de place pour les bourreaux des centrafricains dans cette République.

Le centrafricain souhait voire ceux qui ont pris les armes pour des raisons non fondées et injustifiées devant les bars et dans des voitures de commandement qui ont été acheté par l’argent du contribuable. Cette pratique doit cesser.

Pour faire face à ces multiples attaques, l’état-major des FACA a rassuré la population que des stratégies sont déjà prises pour repousser des éventuelles attaques barbares et lâches, nous a relayé une source militaire. Des renforts des éléments en effectif supplémentaire sont en train d’être déployés pour contrecarrer les stratégies de ces mercenaires patentés, a indiqué cette même source.

@ABASS Ibrahim,

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