Centrafrique : Les ministres sont dans la loupe du président Touadéra pour leur évaluation d’ici peu

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Bangui , le 06 sept.-21

Après sa brillante réélection pour mener son second mandat à bon port, le président Touadéra a nommé ses ministres qui disposent des feuilles de route afin de mettre sa vision politique en exécution. Le compteur tourne actuellement et les ministres seront évalués après cent jours passés dans le gouvernement. Commis a promis le président Touadéra, aucune chance sera laissée aux ministres dormeurs.

Dans nos précédentes publications, plusieurs points ont été mis sur l’évaluation trimestrielle des ministres. C’est la seule exigence du peuple Centrafricain et cela pourrait exciter, disons, pousser les ministres à mieux travailler pour l’intérêt national au lieu de se servir pour faire grossir leur ventre. « On doit être ministre pour servir le pays et non pour se servir », Dira une personnalité politique africaine.

Au moment où nous mettons cet article sous presse, certains ministres que nous citerons leurs dans nos prochains articles, n’avancent aucunement dans la mise en œuvre de leurs feuilles de route. Une seule activité n’est réalisée, ni un projet. Les choses dorment dans ces Ministères et le personnel est déçu de ces ministres qui font la honte de leur entité politique dans le gouvernement.

Selon certaines sources sûres, ces ministres indexés n’atteignent même pas 01% de l’avancement de leur lettre de mission. Comment comprendre que le pays peut avancer avec ces gens qui font reculer le travail acharné de Touadéra. Le numéro un Centrafricain met le pays actuellement en chantier alors que certains personnes malintentionnées qui l’entourent et nommés dans le gouvernement brillent dans l’incompétence notoire et le pillage de l’Etat.

L’objectif fixé par Touadéra est connu de tous. Il faut transformer l’image du pays d’ici 2022 dans tous les domaines. Ce qui se fait actuellement, n’arrange pas certains ministres qui sont à la mangeoire pour leur propre intérêt. Le pays dispose d’un Premier ministre en la personne de Henri-Marie Dondra qui est reconnu pour son sens de bosseur. Le PM effectivement est en quelque sorte le « délégué de la salle » pour ne pas dire le Chef du gouvernement.

Donc, il doit veiller scrupuleusement sur le travail donné à ces ministres. C’est-à-dire le suivi de la mise en exécution de la vision politique du président Touadéra voire son propre programme de politique générale. Ce qui est sûr, les cent premiers jours des ministres approchent et le président Touadéra va reprendre son stylo de correction pour évaluer les ministres afin de foutre à la porte les mauvais élèves qui seront mis à la disposition de leurs familles politiques.

@NGBA DOUROU , 

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