Centrafrique : La puante COD-2020 ce coronavirus centrafricain éclaboussé par ‘’Talitha Koum’’ de Blaise D. Kossimatchi

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Bangui, le 03 mars 20

Blaise Didacien KOSSIMATCHI

Blaise Didacien Kossimatchi revient encore à la charge pour éclabousser la coalition de l’opposition démocratique (COD-202), ce coronavirus centrafricain (COVID 2020). Dans une déclaration faite ce 03 mars 2020, le Coordonnateur de TALITHA KOUM a éclairé les lanternes du peuple centrafricain sur les propos mensongers de tout genre du coordonnateur de la COD-2020, Anicet-Goeges Dologuélé et ses complices, qui vise à semer les troubles dans le pays. Ce dernier n’a manqué de dire au Cardinal Dieudonné Nzapalainga de faire la part des choses en ce qui est de ses propos tenus à l’endroit des autorités actuelles du pays. Puisque, la Bible souligne bel et bien qu’il faut laisser à Dieu ce qui l’appartient aux hommes ce qui leur appartient…

 DECLARATION DE TALITHA KOUM CENTRAFRIQUE RELATIVE A AUX AGISSEMENTS DE CERTAINS LEADERS POLITIQUES D’OPPOSITION ET LEADER DU CLERGE

Centrafricaines, centrafricains, très chers compatriotes,

Depuis quelques jours l’opinion nationale suit avec attention les agissements et déclarations laconiques infondées de certains compatriotes sur des points d’actualité aux fins de désinformer les centrafricains et entretenir un climat de tension à la veille du démarrage du processus électoral déjà amorcé.

En effet nous avons suivi la déclaration du chef de file de l’opposition, le tristement célèbre alias 10% Anicet Georges Dologuele sur les antennes de RFI, dans une posture pleurnicharde et d’éternel insatisfait, soutenir des allégations infondées sur les soi-disant dérives du régime qui interdirait l’opposition (COD ou COVID 2020) à accéder aux médias d’Etat. Il soutient entre autres que l’équipe de TOUADERA serait déjà en campagne avant l’heure et plus grave entrevoit déjà le glissement du processus électoral pour fait de retard accusé par l’ANE dans certaines activités préalables encore non réalisées.

Il accuse par ailleurs le Gouvernement d’être impliqué dans la crise interethnique qui sévit à Birao.

Il revient enfin sur le départ des trois fonctionnaires de la MINUSCA demandé par la population et le Gouvernement en accusant ce dernier de manipuler les jeunes manifestants contre cette institution onusienne.

De telles allégations montrent les limites d’une opposition aux abois, déboussolée et qui n’est plus guidée que par une seule obsession à savoir manipuler l’opinion nationale et internationale à travers des contrevérités et des allégations infondées dans l’optique de nuire aux efforts du chef de l’Etat qui commencent déjà à produire des effets positifs sur le retour de la paix et de l’unité nationale.

Il est en effet indigne et irresponsable qu’un leader politique fasse de telles déclarations sur des ondes internationales sans qu’aucune preuve ne puisse étayer ses allégations. Nous savons tous que l’opposition, ce corona virus centrafricain s’est allié avec le diable et mène des actions sous-marines de subversions en lien avec les organisations criminelles que sont certains groupes armés.  Les liens des Dologuélé, Meckassoua, Nguendet, Mboli-Goumba, Tiangaye, Adouma, Kamoun et autres avec certains responsables des groupes armés n’est plus à démontrer. Le jour viendra où l’opinion sera saisie des éléments pertinents que nous avons en notre possession sur ces fossoyeurs de la démocratie centrafricaine.

Il est par ailleurs à déplorer la déclaration de certains membres du clergé qui, au lieu de s’occuper de leurs affaires pastorales, s’immiscent dans le jeu politique de l’opposition et se laissent instrumentaliser contre le pouvoir en place qui déploie des efforts inlassables pour sortir le pays des affres de la crise qu’elle a connue.

En effet comment comprendre que le Cardinal NZAPALAINGA tienne un discours truffé d’accusations injustifiées contre le gouvernement qu’il accuse d’avoir détourné les fonds alloués à l’entretien de certains axes routiers du pays. En a-t-il les preuves ? Non le rôle de l’église n’est pas de nourrir les querelles politiciennes mais d’œuvrer à la cohésion nationale (Cf. Accords de LATRAN de 1929 qui précise la séparation entre le pouvoir temporel et le pouvoir religieux).

Nous rappelons au passage que la plateforme religieuse dont fait partie le Cardinal NZAPALAINGA a reçu des milliards pour soutenir les centrafricains dans le contexte de crise que le pays connait. Qu’est-ce qui a été fait de ces importantes sommes d’argent ? En a-t-on fait un compte rendu de la gestion ? Nous nous réservons le droit de revenir sur les dérives de la gestion de ces fonds ultérieurement au vu des agissements du leader catholique que nous observons ces derniers temps.

Il faut laisser la politique aux politiciens.

Pour ce qui est des leaders politiques de l’opposition dite COVID 2020, il ne nous reste plus que peu de temps pour les mettre à nu et brandir à la face de l’opinion nationale et internationale les dossiers chauds et les boules puantes qu’ils trainent derrière eux pour l’avancement de notre jeune démocratie.

« VERBUM ES SALUS » autrement dit à bon entendeur salut.

 

Fait à Bangui, le 03 Mars 2020

Le coordonnateur national de TalithaKoum Centrafrique

Blaise Didacien KOSSIMATCHI

 

 

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