De PGC à AIGC : évolution de la production de contenu axée sur la technologie dans le secteur des médias chinois et ses influences sociales », tel est le thème qu’a exposé Di Zhang, professeur à l’École de journalisme et de communication de l’Université Renmin de Chine (RUC) et titulaire d’un Doctorat en communication de masse de la S.I. Newhouse School of Public Communications à l’Université de Syracuse.
Dans le domaine de la production de contenu, la Chine a fait un grand bond en passant du Plan Général de Coordination (PGC) à l’Artificial Intelligence Global Company (AIGC). A noter que les recherches du Professeur Di Zhang se concentrent sur les relations publiques, la communication sanitaire et la communication internationale. Avant sa carrière académique, il a travaillé comme reporter pour le bureau d’affaires du China Daily et pour la chaîne anglaise de la télévision centrale de la Chine.
Ce qu’il faut retenir, c’est le modèle de progression vers le développement du contenu généré aussi bien par des professionnels des médias, du contenu généré par l’utilisateur que du contenu d’intelligence artificielle dans le contexte des développements technologiques et du contexte social en Chine. Il s’agit d’un exercice pour explorer également les conséquences socio-politiques des nouveaux médias en Chine.
Il faut noter que la voie chinoise de développement est un processus graduel, expérimental et simultané d’industrialisation, de développement du marché et de mondialisation sous la direction de l’Etat avec un processus de libéralisation économique.
A l’occasion, les professionnels des médias africains ont été édifiés sur le parcours des médias chinois notamment la presse écrite, radio, télévision et cyberespace inter croisés. Mais surtout, une innovation technologique portant vers l’expérimentation du média hybride (recombiné).
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