Bangui, le 03 mai 22
Le travail est l’unique option qui peut rendre l’Homme libre. Si on atteste cette hypothèse c’est-à-dire que c’est à travers le travail qu’on peut parvenir à son développement intégral, et de faire face à son destin les Centrafricains doivent se souvenir de ce pilier de la devise pour espérer une sortie durable de la crise. Même les récits divins mentionnent que le prix de la réussite c’est le travail.
Dans sa vision politique fondée dans sa profession de foi, le Président Faustin-Archange Touadéra a inscrit dans ses priorités, le travail. C’est ce travail sans relâche qui va permettre à la République Centrafricaine de connaitre son vrai développement au lieu de toujours tendre la main vers l’extérieur. Ce n’est que normal ! Dans un pays où la population est à majorité jeune, et qui se voit freiner à cause de multiples crises militaro-politiques, c’est le travail qui peut garantir son avenir dans la mesure où l’homme naît homme que de lui-même.
La jeunesse centrafricaine est victime de son propre malheur. Les jeunes centrafricains qui sont exposés aux manipulations politiques et autres actes visant la destruction du pays, doivent revoir la copie de son comportement et de prendre conscience de son destin puisque seuls les idiots ne changent pas.
Le Président Faustin-Archange Touadéra à son arrivée au pouvoir avec la volonté populaire de son peuple, a su comprendre l’enjeu de ce qui pourrait parvenir à la stabilité et au développement du pays. C’est le travail, rien que le travail que le Président Fondateur Barthelemy Boganda a bien voulu s’inscrire dans la devise de notre pays.
La vraie vérité que tout le monde réclame réside dans le travail. C’est ce travail qui fait l’honneur, la fierté, le bonheur voire le succès d’une personne. La Bible a même mentionné que : « Que celui qui ne travaille pas, ne mange pas non plus ».
N’est-ce pas là le mot d’ordre qui doit guider tous les Centrafricains à se mettre résolument au travail afin de sortir leur pays du marasme économique ?
La question du travail ici soulevée, ne concerne pas seulement le bureau voire la fonction publique. Chaque personne doit se contenter de ses activités personnelles pour faire face à son destin, et de contribuer au développement de son pays. Sous d’autres cieux, c’est le secteur privé voire l’entrepreneuriat qui fait la force d’un pays. Les grandes puissances qui nous apportent aujourd’hui leurs appuis multiformes, ne font pas de miracles pour en arriver là.
La RCA dispose de potentialités naturelles qui restent encore non-exploitées. Il suffit que les Centrafricains s’entendent et regardent dans la même direction, la transformation intégrale de leur pays ne sera pas une utopie. Pour cela, les efforts doivent être conjugués par tout le monde et pour l’intérêt de tous.
La célébration du 1er mai marquant la journée dédiée aux travailleurs, est un signe qui symbolise l’intérêt particulier mis sur le travail. Sans le travail, les Centrafricains ne peuvent assister à un avenir radieux de leur pays. Après années de crise militaro-politique, il est temps que les Centrafricains prennent le destin de leur pays en main. Personne ne viendra développer la RCA à leur place ou alors aucun miracle divin ne se fera pour transformer ce pays.
Pour obtenir sa liberté totale, seul le travail qui est le prix à payer. C’est pour dire que les Centrafricains doivent se mettre dans le rang, celui de se mettre résolument au travail comme le président Touadéra a tracé la ligne directrice, pour que les générations futures en bénéficient.
Les Centrafricains sont alors appelés à travailler pour leur pays où qu’ils se trouvent. Le chantier est encore vaste et il y’a de la place pour tout le monde, si on paraphrase ainsi le Numéro Centrafricain.
Un opérateur économique Centrafricain a souligné que la terre ne ment pas. Si chaque personne se met à développer une activité pour sa propre survie, c’est qu’elle contribue à l’essor de sa Nation. C’est sur le travail que Touadéra a misé pour que la transformation intégrale de la RCA ne soit plus une utopie. Suivons alors le guide !
@Bienvenu ANDALLA
