Bangui, le 04 juillet 22
Dès son arrivée à la tête du pays en 2016, le président Faustin-Archange Touadéra faisait face aux groupes armés qui contrôlaient la majeure partie du territoire centrafricain, accompagnée d’une situation sécuritaire volatile. En bref, le pays était dans un mauvais état, subissant toutes les formes de violences et d’hostilités.
Même avec la présence des casques bleus de la Minusca, les forces européennes n’a pas été en mesure d’affronter les groupes armés qui bénéficient d’une importante logistique militaire venue des pays voisins.
Le président Touadera a compris qu’il avait besoin d’une armée forte pour protéger son peuple, prêt à arrêter toute force du mal interne ou externe. Avec l’aide des alliés russes, ils ont formé les Forces armées centrafricaines (FACA), renforcé leurs capacités militaires et développé les capacités de défense du pays à un niveau supérieur, afin de vaincre tous les dangers auxquels elles se sont confrontées à l’avenir.
Le numéro un centrafricain et son gouvernement ont commencé à mettre en œuvre le plan visant à rétablir la stabilité sur toute l’étendue du territoire national dont les preuves ne sont plus à démontrer, malgré que d’autres forces du mal continuent leurs exactions dans certaines parties du pays.
Le gouvernement a réussi à sécuriser la plupart des zones importantes de la République centrafricaine. « Cela a permis aux citoyens de se sentir en sécurité avec la présence de FACA dans leurs villes pour la première fois depuis longtemps », A témoigné un habitant de Kabo joint par lepotentielcentrafricain.
Les efforts du gouvernement et le courage des forces de FACA, appuyés leurs alliés ont contribué au retour du calme dans le pays, permettant ainsi à la population de mener ses activités quotidiennes en toute quiétude. Un membre du gouvernement de souligner que, la République centrafricaine est du moins stable et sécurisée. Malheureusement, l’embargo de l’ONU à travers le Conseil de sécurité qui pèse sur les armes à destination des FACA, reste le nœud du souci à enrayer pour que le rétablissement de la sécurité soit une réalité et définitive.
