Bangui, le 27 décembre 2022
Tout compte fait, le gouvernement Moloua aura totalisé bientôt dix mois d’exercice de la gestion de la politique de la nation. Nommé en Février 2022 en remplacement de l’ancien Premier ministre Henri-Marie Dondra dont il fut son ministre d’Etat en charge de l’Economie, du Plan et de la Coopération internationale, l’actuel Premier ministre Félix Moloua a jugé opportun de reconduire dans sa nouvelle équipe gouvernementale l’ensemble des ministres de la précédente équipe gouvernementale. A la seule exception près, le département de l’Economie, du Plan et de la Coopération internationale qu’il a conservé tout en le cumulant avec les fonctions du Premier ministre Chef du gouvernement.
Le moins que l’on puisse dire est que c’est tout de même l’ossature du premier gouvernement mis en place par le Président de la République, Chef de l’Etat Faustin-Archange Touadera après sa réélection qui est resté intacte à la seule différence qu’il a juste changé de tête. Comme le dit un adage populaire, « On ne change pas une équipe qui gagne », c’est du moins l’esprit qui a animé les deux têtes de l’Exécutif à savoir le Président de la République Faustin Archange Touadera et son Premier ministre Félix Moloua pour procéder de la sorte en reconduisant les anciens membres du gouvernement Dondra dans leur quasi-totalité.
Tout comme son prédécesseur et selon la tradition républicaine, après le vote de confiance que les élus de la nation lui ont accordée à la suite du débat général suite à la présentation de sa Déclaration de Politique Générale, l’Exécutif a organisé un séminaire gouvernemental afin de doter les membres du gouvernement aux outils nécessaires à la bonne exécution de leurs missions à la tête des différents ministères. Une sorte d’école qui a été sanctionnée par la remise des lettres de missions à chacun des membres du gouvernement. Lesquelles lettres de mission ne sont entre autres que la déclinaison du projet de société du Président de la République Faustin-Archange Touadera en plusieurs points selon les domaines de chaque ministre. D’autant que c’est sur la base de ce projet de société que ce dernier a été brillamment réélu dès le premier tour de la dernière présidentielle.
Ainsi comme l’a souligné le Président de la République dans son discours lors de la clôture du séminaire gouvernemental, c’est sur la base de l’exécution de ces lettres de mission que chaque membre du gouvernement devrait être évalué.
C’est eu égard à ces dix mois durée de ce gouvernement que notre Rédaction voudrait se faire le devoir d’éclairer la lanterne de ses lecteurs en mettant un coup de projecteur sur les membres du gouvernement Moloua qui se sont distingués par leur travail remarquable et qui ont déployé des efforts pour que le gouvernement puisse répondre un tant soit peu aux attentes de la population. Il s’agit bien évidement de ceux qui ont su mettre en œuvre la vision politique du Président de la République Faustin Archange Touadera sur plusieurs plans après avoir soumis chaque ministre à la grille de la transparence.
Cet éclairage est en quelque sorte, une évaluation sélective à mi-parcours qui devrait guider le choix des deux têtes de l’Exécutif dans le choix des personnalités pour le remaniement dont l’écho se répande ces derniers temps. Au rang de ses ministres, il y a :
Le ministre Herbert Gontran Djono Ahaba :
Il figure sur la liste de ceux qui font preuve de grandes réalisations après quelques mois de la tenue du séminaire. A la tête du ministère des transports et de l’aviation, civile, le ministre Djono Ahaba met toujours les actions avant la parole. Tout ce qu’il fait c’est pour réussir la mission qui lui est confiée pour l’intérêt du peuple centrafricain, et surtout les actions du département qu’il dirige. Quelques mois après le séminaire gouvernemental, on peut dire sans hésitation que Djono Ahaba est un ministre qui fait preuve d’excellence. Il a rendu palpable les recommandations concernant son département qui avancent très bien et cela n’est pas à démentir. Son passage à la tête de chaque ministère est synonyme de succès et ce dernier bénéficie toujours du soutien voire la confiance de ses collaborateurs qui ne tarissent pas d’éloge à son propos par rapport à sa manière de gérer les choses. Durant l’année 2022 qui s’écoule dans les jours qui suivent, Djono Ahaba, à travers les recommandations du séminaire gouvernemental parle de lui qu’à travers des actions voulues par le président Faustin Archange Touadéra et le premier-ministre Félix Moloua. Ces admirations sur sa personne le galvaniseront davantage à poursuivre les efforts déjà matérialisés. Autrement dit, le ministre Djono Ahaba a encore sa place dans le gouvernement. Chapeau !
Le ministre de l’Environnement et du Développement durable, Thierry Kamach :
Il fait partie des ministres qui méritent leur place dans le gouvernement, surtout suite à l’évaluation des ministres après la tenue du séminaire gouvernemental. Sa présence à la tête de ce département démontre que l’homme est pragmatique et fait bien son travail. Les résultats sont probants actuellement après quelques mois de la mise en œuvre des recommandations concernant son Ministère. La réussite des actions du ministre Kamach est l’œuvre de sa détermination à mettre en exergue la vision politique du président Touadéra, les orientations du premier-ministre Félix Moloua visant à réussir les actions du Département.
Les choses marchent à merveille au ministère de l’Environnement et du développement durable avec la détermination de tout le personnel qui ne veut pas faillir à sa mission. Après quelques mois de la tenue du séminaire gouvernemental, le ministre Kamach ne fléchit toujours pas dans ses actions, et gravite progressivement pour se placer au-dessus de la tâche qui lui est confiée par les hautes autorités du pays. Thierry Kamach, appelé TK par ses collègues ministres, peut tenir toujours sa tête haute, car il reste un homme politique de poigne qui met au pas la vision du président Touadéra.
On peut dire sans hésitation qu’un sentiment fierté se lit sur le visage du ministre qui bénéficie du soutien indéfectible de ses collaborateurs. Sans en faire trop ou trop peu bien sûr, comme d’habitude… L’homme aime la mesure et continue de faire ses preuves, lui qui est disponible à servir son pays, surtout la réussite des recommandations du séminaire gouvernemental concernant son département. En tout cas avec TK, c’est l’action qui compte toujours !
Le Ministre des Finances et du Budget : Hervé NDOBA
C’est l’argentier du gouvernement Moloua qui, durant ces dix mois au sein du gouvernement Moloua s’est révélé être un bosseur hors-pair en dépit des difficultés liées à la suspension des aides budgétaires par certains partenaires financiers internationaux notamment, la France et les Institutions de Bretoon-Woods à savoir le FMI et la Banque Mondiale. Cet auditeur de renommée internationale qui tient actuellement le cordon financier du régime de Touadera, se démène comme un beau diable pour permettre au pouvoir en place de faire face aux dépenses régaliennes notamment le paiement régulier des salaires, bourses et pensions. Il faut dire qu’Hervé Ndoba a accompli avec maestria la lettre de mission qui lui a été confiée par le Premier ministre. En commun accord avec le gouvernement, le ministre des finances et du budget a axé sa stratégie de viabilité des finances publiques sur certains points dont celui de la revitalisation des recettes. Cette mesure a pour objectif d’accroitre significativement le revenu intérieur. Les négociations menées par l’argentier national auprès des partenaires bilatéraux notamment les institutions financières internationales leur ont permis de revenir au bon sentiment avec la promesse renouer les discussions avec le gouvernement centrafricain.
Le Ministre d’Etat à la Justice, Garde des Sceaux : Dr. Arnaud DJOUBAYE ABAZENE
C’est l’un des ministres qui ont battu le record en termes de longévité comme membre des gouvernements successifs sous le magistère du Président Faustin-Archange Touadera. Cette longévité s’explique par ses bilans élogieux à la tête des différents départements qu’il a eus à diriger. Dr Arnaud Djoubaye Abazène est magistrat de carrière. Il fait bouger les lignes depuis qu’il a été nommé à la tête du ministère de la Justice. Le démarrage effectif des audiences de la Cour Pénale Spéciale et la tenue régulière des sessions criminelles sont les faits d’arme du ministre d’Etat Djoubaye Abazène. Il a contribué largement à traduire dans les faits la promesse d’un Etat de droit qui se traduit par la lutte implacable contre l’impunité qui est la colonne vertébrale de la politique chère chère au Président de la République en poursuivant tous ces compatriotes qui veulent enfreindre aux lois de la République. C’est une personnalité qui assume avec engagement la mission que lui a confiée le Président de la République.
Ministre des mines et de la Géologie : Rufin BENAM BELTOUNGOU
Un jeune cadre centrafricain jugé très compétent et efficace pragmatique. Cadre du ministère des mines et de la Géologie, il a été responsabilisé très tôt dans ce département sous le régime de l’ancien Président François Bozizé comme Directeur Général de la Sodeca. Il était aussi membre de l’Assocuation Africaine de l’Eau. Soutien du Président Faustin Archange Touadera Rufin Benam Beltoungou est aussi membre du Mouvement Cœurs-Unis, le parti au pouvoir. Auparavant Conseiller en matière des ressources minières de 2016 jusqu’à sa nommation au sein du premier gouvernement du second quinquennat du Président Faustin-Archange Touadera. Il s’est révélé rapidement à la hauteur de sa mission et par la maîtrise de son département qui est stratégique. Le ministre Rufin Benam Beltoungou est l’un de ces ministres qui ont pu mettre en œuvre la lettre de mission que le Premier ministre Chef du gouvernement lui a confiée après son entrée en fonction.
Ministre chargé du Travail, de l’emploi, de la protection sociale et de la formation professionnelle : Michelle MOUANGA
Ancien cadre du secteur privé notamment en charge de des ressources humaines, de la communication interne, les relations publiques, les relations clients et la RSE au sein de la filiale du groupe Orange Centrafrique, Mme Michelle Mouanga est nommée ministre dans le premier gouvernement du second quinquennat du Président Faustin Archange Touadera. Très efficace dans la gestion de ce département en charge de l’emploi et de la formation professionnelle, elle est sur les fronts de l’insertion des jeunes diplômés centrafricains et la formation des fonctionnaires de l’administration centrafricaine et le personnel des sociétés paraétatiques et privées à travers à l’ACFPE qui est sous tutelle du département qu’elle dirige. La question de la réduction de la fracture numérique à travers la formation et l’employabilités des jeunes centrafricains est au cœur des actions de ce membre du gouvernement appelé Dame de fer.
Ministre de l’Administration du Territoire, de la Décentralisation et du Développement Local : Bruno YAPANDE
Depuis sa nomination au sein gouvernement que dirige le premier-ministre Félix Moloua, Bruno Yapandé est celui qui fait preuve de réformes considérables. Ce dernier traduit dans les faits la vision politique du président Touadéra concernant le retour de l’autorité de l’Etat sur toute l’étendue du territoire, la mise en œuvre de la politique de la décentralisation qui va bon train, et la question du développement local. Bruno Yapandé n’aime pas la langue de bois et surtout la fainéantise au sein du Département qu’il dirige. Cela se traduit par le bon fonctionnement des affaires administratives qui règne au sein du Département qu’il dirige grâce à son sens élevé dans le management des affaires publiques, les choses s’améliorent avec le soutien le système des Nations-Unies qui apportent leur soutien à ce département à travers des formations et autres. Pour Yapandé, la réussite des actions de son département se dessine sous la clairvoyance du président Touadéra avec le suivi du premier-ministre Moloua.
Homme battant et engagé pour la cause du pays depuis son entrée dans le gouvernement suite à l’appel du président Touadéra. Aux côtés du président Touadéra, le ministre Bruno Yapandé mène un combat politique pour accompagner le « champion » Touadéra dans la lourde mission qui lui est confiée par son peuple. Et Touadéra a certes besoin d’un homme capable pour traduire dans les faits les recommandations du séminaire gouvernemental pour que les actions se poursuivent car si le président Touadéra reste toujours à l’écoute de son peuple, il a intérêt à maintenir le ministre Yapandé dans le gouvernement. C’est l’action dans la continuité avec le ministre Yapandé !
Le Ministre de l’Energie et du Développement des Ressources Hydrauliques, Arthur Bertrand Piri
Avec lui, point n’est besoin de tergiverser sur plusieurs points de doute après quelques mois de la tenue du séminaire gouvernemental. Il est toujours pragmatique et déterminé à mettre en actif la feuille de route de son département, notamment. La preuve en est que depuis sa présence à la tête de ce département, les choses bougent car il veille personnellement sur les dossiers au sein de soj cabinet. C’est ainsi que dans sa démarche visant à mettre les recommandations concernant son département en pratique, plusieurs réalisations sont enregistrées en quelques mois. Il va sans dire que le ministre Piri reste toujours engagé aux côtés du président Touadéra afin de poursuivre les œuvres de la reconstruction nationale. Son bilan à mi-parcours après la tenue du séminaire gouvernemental est élogieux. Les œuvres du ministre Piri dans le gouvernement sont parlantes, et il doit bénéficier de la confiance du président Touadéra pour les poursuivre.
La Ministre des Affaires Etrangères et des Centrafricains de l’Etranger : Sylvie Baïpo Temon :
C’est elle la dame qui traduit dans les faits la politique de la diplomatie qui a fait bouger le monde entier, notamment les pays qui sont s’oppose à la diversification de la diplomatie et la coopération de la RCA. La ministre Baïpo Temon a su résister à toutes les menaces diplomatiques qui pèsent sur la RCA, en suivant les orientations du président Touadéra. En suivant les directives gouvernementales, la patronne de la diplomatie centrafricaine démontre qu’elle est à la hauteur de sa tâche et ne peut aucunement fléchir dans les recommandations du séminaire gouvernemental concernant son Département. Tous ses exploits sont appréciés à tel enseigne qu’elle est devenue un membre du gouvernement qui sait tenir le coup à travers les réformes. Dans sa logique, elle compte toujours diversifier la diplomatie centrafricaine afin que le pays puisse tailler le concert des nations. A cela s’ajoute dans le lot des actions qui se poursuivent actuellement pour donner des réponses aux problèmes des centrafricains de l’étranger et les difficultés éprouvées par les Représentations du pays à l’extérieur. Du courage !
Le Ministère des travaux publics et de l’entretien routier que dirige le Ministre Guismala Amza :
Le département qu’il dirige fait partie des ministères clés qui contribuent effectivement au développement du pays. Ne dit-on pas que le développement d’un pays passe nécessairement par la construction des infrastructures routières et autres. Car dans un pays où les infrastructures publiques sont dans de bons états, le développement y est également. Le ministre Guismala Amza traduit dans les faits les recommandations du séminaire gouvernemental. C’est pour dire que le ministre Guismala Amza ne démérite pas là où il se trouve. Après quelques mois de la tenue du séminaire gouvernemental, tous les signaux sont au vert au sein du département en charge des travaux publics et de l’entretien routier. Dans cette logique, on peut dire que le ministre Guismala Amza a observé à la lettre les recommandations du séminaire gouvernemental concernant le département qu’il dirige. Ses collaborateurs lui sont fidèles toujours. C’est l’un des ministres exemplaires, un « bon élève » suite à ses actions qui témoignent de son attachement à la réussite de la gouvernance du président Touadéra. Le Ministre Guismala Amza reste dans la droite ligne de la réussite des recommandations du séminaire gouvernement concernant son département. Les actions continuent et le ministre Guismala Amza a encore sa place dans le gouvernement que le président Touadéra projette à son changement dans les jours à venir.
Ministre de l’Agriculture et du Développement Rural Eric Rokossé Kamot
Il fait son travail avec détermination et en toute loyauté en mettant au pas les orientations gouvernementales, notamment les recommandations du séminaire gouvernemental. Depuis sa présence à la tête de ce département aussi stratégique, le ministre Eric Rokossé Kamot mérite là où le président Touadéra l’a mis et le premier-ministre Félix Moloua. C’est-à-dire qu’on reconnait en lui un vrai maçon qui est au pied du mur. Dans un passé récent, ce ministère est lâché par les partenaires au développement pour des certains motifs. Mais peu de temps avec l’arrivée de l’actuel ministre, la confiance est rétablie et plusieurs projets (PRADAC, PREPAS, PRAPAM…) sont mis en œuvre actuellement.
Concernant le bon fonctionnement de l’administration, il n’y a rien à dire. Dès son arrivée, le ministre Rokossé Kamot a mis toutes les batteries en marche avec ses collaborateurs du département pour que les choses évoluent. Eric Rokossé Kamot a compris l’enjeu sur les directives du président Touadéra, de mettre en oeuvre plusieurs projets dont les résultats à mi-parcours sont à saluer, disons après quelques mois après la tenue du séminaire gouvernemental, les actions s’amplifient de plus en plus.
Toujours dévoué à accomplir la mission qui lui est confiée, le ministre Eric Rokossé Kamot reste dans la droite ligne de ses actions dont l’évolution est à la hauteur des attentes. C’est ainsi que plusieurs projets sont en marche actuellement et nous ne pouvons que saluer l’action louable du ministre Rokossé Kamot, du point de vue des observateurs de la vie politique, le ministre Rokossé Kamot dispose des atouts pour continuer l’œuvre au sein du gouvernement.
Le Ministre chargé du secrétariat général du gouvernement et des relations avec les institutions de la République : Maxime Balalou
C’est lui qui tient la rédaction des actions gouvernementales. Dès son entrée au gouvernement, le ministre Maxime Balalou a mis la machine en marche pour que tous les ministères se restructurent. C’est-à-dire qu’il faut faire face à des défis dans la mesure où certaines institutions de la République peinent à jouer leurs rôles. Le ministre Maxime Balalou a su donner une réponse à la bonne relation entre l’Exécutif et les Institutions de la République. Balalou a donné des consignes à ses collaborateurs et les choses marchent actuellement. Lui-même, ministre met au pas les recommandations du séminaire gouvernemental.
La Ministre chargé de l’Urbanisme, de la réforme foncière, de la ville et de l’Habitat : Nicole Nkoué :
Une ministre qui s’est donné le meilleur d’elle-même. C’est-à-dire que la ministre en charge de l’Urbanisme a fait des prouesses depuis sa présence à la tête de ce département. Sa lettre de mission est accompagnée toujours par les actions qui parlent à sa place. Elle n’aime pas s’asseoir dans les quatre coins du mur. Autrement dit, elle veut se rendre toujours sur le terrain pour s’occuper des questions qui touchent aux problèmes du département qu’elle dirige. De la mise œuvre de la réforme foncière et surtout l’urbanisation des villes du pays, la ministre Nicole Nkoue se bat très bien avec les actions engagées, notamment la mise en œuvre des recommandations du séminaire gouvernemental.
Ministre chargé de l’élevage et de la santé animale : Hassan Bouba
Pour réussir la « bataille » qui fonctionne à merveille en ce moment, le numéro un du département de l’Elevage et de la Santé Animale fait appel à certains compatriotes qui l’accompagnent dans la lourde tâche qui lui est confiée. A l’arrivée de Hassan Bouba à la tête de ce département, les consignes lui ont été données par le président Touadéra de veiller sur les actions qui lui sont confiées. C’est dire que le ministre veut accélérer ses actions de son département au top pour qu’aucune erreur ne soit glissée dans la mise en œuvre des actions pour le succès du second quinquennal de Touadéra.
Hassan Bouba reste toujours dans la logique de réussite de la vision politique du président Touadéra. D’autres ministres ne comprennent pas encore les choses et veulent trainer les choses les pas pour ainsi coller un résultat mitigé à la gouvernance de Touadéra. Mais nous devons témoigner sur des faits que certains ministres font preuve d’assiduité et qui mettent en action les grandes orientations du président Touadéra pour le bonheur du peuple centrafricain. Chapeau au ministre Hassan Bouba, l’homme du terrain qui effectue des missions dans des provinces dans le but de sensibiliser les éleveurs pour la question de sécurité et qui les encadre afin de trouver des solutions pour l’avancement du secteur de l’élevage.
Ministre de la Santé publique et de la population Pierre Somsé
L’homme qui a su maitriser la propagation de Covid20 qui est affaiblie actuellement. En dirigeant le Ministère de la Santé et de la Population, Dr Pierre Somsé est conscient du poids de la responsabilité qui lui est confiée. Professionnel en la matière, ce ministre traduit dans les faits sa feuille de route. Sachant que la question de santé fait partie des dix domaines contenus dans la profession de foi du président Touadéra, le ministre Pierre Somsé fait l’objet des témoignages positifs qui le fortifient à persévérer dans sa mission. C’est ainsi qu’aujourd’hui, le président Touadéra doit lui faire confiance afin que les bonnes actions s’amplifient davantage et que les partenaires internationaux qui œuvrent dans ce secteur apportent leurs appuis sans faille à la RCA, et surtout dans l’intérêt de la population. Le Président Touadéra doit compter sur le ministre Somsé qui booste les choses pour que les problèmes du pays en matière de la santé soient bannis totalement.
La suite au prochaine publication,
