Bangui, le 17 février 24
Nul n’est censé ignorer que la force légale est toujours l’apanage de l’Etat. La crise sécuritaire qu’a endurée la République centrafricaine (RCA) continue de se faire sentir à travers la manifestation de certains groupes dont beaucoup plus le groupe de l’UPC d’Ali Daras dans l’Est de la RCA.
Devenus de moins en moins dangereux, les groupes armés s’illustrent dans le phénomène de bandits de grand chemin. Le gouvernement centrafricain avec l’appui des forces alliées a mis en place un système de blocus pouvant les anéantir. C’est ainsi que depuis son accession à la magistrature suprême de l’Etat, le Président de la République se donne corps et âme pour restaurer la paix tant recherchée.
D’aucuns ne pouvaient imaginer que la paix et la concorde nationale ne devaient revenir aussi vite mais, la détermination du peuple et la volonté politique ont conduit à ce que la Centrafrique aspire en ce moment, à la paix.
Très préoccupé par la paix, la sécurité et le vivre ensemble, le Président de la République avec l’appui des partenaires a formé des jeunes pour résoudre le problème de la sécurité. C’est ainsi que dans la police, la gendarmerie et les Forces armées centrafricaines, L’on assiste à une augmentation d’effectif.
Dans son intervention du 14 février dernier lors de sa conférence de presse hebdomadaire, la MINUSCA a affirmé que la tension sécuritaire est calme en ce moment en dépit de tout. De loin la population félicite la détermination du gouvernement et des différentes forces au chevet de la RCA qui ont conduit à cette situation.
Par contre, les groupes armés de leur côté veulent enfoncer le pays dans le chaos mais, n’en peuvent plus car, le rapport de force en ce moment, n’est plus proportionnelle.
« Nous vivons en ce moment en paix et rien ne nous empêche d’aller et de revenir. Dans ces derniers temps, les parents font des longues distances en motos d’autres en bicyclettes ou encore à pieds contrairement à la situation que nous avons traversé il y’a de cela trois à quatre ans », a précisé un habitant de Bria.
Si aujourd’hui la RCA retrouve petit à petit la paix, ses ennemis ainsi que les opposants doivent ramer dans le même sens que le Numéro un centrafricain. Car, c’est déjà un élan de développement pour la paisible population centrafricaine de manière générale.