Le ridicule ne tue pas les hommes politiques de l’opposition qui sont rangés dans le BRDC. Ces assoiffés politiques ont tenu une réunion la semaine dernière à Paris dans le seul objectif de définir un plan de déstabilisation du pouvoir en place. Ce sont eux qui se cachent derrière le groupe des sages de l’Union Africaine (UA) pour demander un dialogue sans consentement du gouvernement Centrafricain au Burundi.
Animés par l’animosité, les leaders des partis politiques de l’opposition se lancent dans la confusion, ce qui les tient toujours en échec total. Impopulaires, immatures, myopes et amnésiques, sans assise ni vision politique, les leaders de l’opposition, rangés dans la Bande de Démons de la République Centrafricaine (BRDC), savent avec pertinence que le la nouvelle Constitution est déjà entrée en vigueur quel que soit leur agitation néfastes.
Ils ne deviendront jamais président de la République de Centrafrique, tant qu’ils œuvrent pour la souffrance de leurs compatriotes. La politique est pratiquée pour le développement de sa nation et non pour maintenir son pays dans la léthargie.
De la Concertation des Forces Démocratiques, UFVN, UFAP, CODEPO, FARE-2011, E ZINGO BIANI, COD-2020, pour atteindre le BRDC, les leaders de l’opposition n’ont jamais réussi dans leurs démarches lugubres et perfides contre le peuple Centrafricain. Et ces prophètes du malheur des centrafricains ne réussiront jamais.
Ils nous ont amené la coalition séléka pour s’emparer du pouvoir, le 24 Mars 2013 et organiser les tueries de masse, soldées par le viol des femmes, vols des bétails, des biens meubles corporels et incorporels, destructions des lieux de cultes, exécutions sommaires et extrajudiciaires, enlèvements et autres.
Mais à la fin, ils se sont retrouvés au pays de ‘’si je savais’’, suivis de leur démission collective à Ndjamena au Tchad avec dix mois au pouvoir. Aujourd’hui, ces fameux leaders du BRDC, en perte de vitesse, concoctent un plan de déstabilisation du pays.
Après l’option du boycotte raté du vote référendaire, ils veulent imposer encore un plan morbide, d’un soi-disant coup d’Etat. Peine perdue ! Le Peuple a déjà pris les dispositions pour faire obstacle à leur projet funeste.
@La Rédaction
