Les Centrafricains appelés à ne pas céder aux appétits de ceux qui veulent compromettre  leur avenir

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Le peuple Centrafricain reste toujours déterminé à bannir tout ce qui n’est pas de sa volonté. C’est dire que chaque personne est responsable de son destin. L’un des paragraphes de la devise centrafricaine nous écrit que : « Pour franchir une étape nouvelle, il faut braver certaines circonstances ».

L’étape que les Centrafricains ont le devoir de braver, c’est l’observation des règles de patriotisme et surtout de l’unité nationale. Face à la situation de force majeure, il faut en trouver toujours les remèdes. L’instrumentalisation politique constitue le lot des maux qui gangrènent la République Centrafricaine. Les auteurs de ce nous déplorons sont bel et bien les leaders d’opinion qui veulent détourner la conscience du peuple pour que s’installe l’incertitude.

La vie politique d’un pays est toujours de chaque étape. Les Centrafricains doivent comprendre l’étape actuelle est celle de manifester leur attitude à ne pas céder aux appétits de ceux qui veulent conduire leur avenir. A ce rythme, il faut que personne ne soit laissée duper par les prédateurs de la République. On ne peut pas s’asseoir à deux sur un fauteuil présidentiel. Si la confiance est placée à une personne de conduire les autres, il faut lui accorder cette chance, de le soutenir et de l’aider à réussir l’objectif que nous fixons tous, la stabilité et le développement.

Le peuple centrafricain malgré toutes les intentions démesurées de ceux qui l’instrumentalisent, reste engagé à faire obstacle à toutes les forces du mal. La confiance placée à Touadéra est telle qu’aujourd’hui, personne ne peut tromper le peuple qui est souverain. L’avenir d’un pays se décide que lorsque le peuple s’engage sur une voix.

Aujourd’hui, le président Touadéra reste encore populaire et bénéficie du soutien indéfectible de son peuple. Même si on enregistre certains manquements dus à la mauvaise attitude de certains proches du pouvoir, il y a de quoi reconnaitre que les Centrafricains ne perdent pas de l’espoir avec le président Touadéra qui, tant bien que mal, gouverne progressivement le pays vers une destination salvatrice.

Pierre BECHEGO

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