Le Président Faustin Archange TOUADERA : Grand stratège de l’offensive diplomatique qui honore la République centrafricaine

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Bangui, le 13 nov. 23

Faustin Archange TOUADERA, Président de la République, Chef de l’Etat se présente aujourd’hui comme un leader et un grand stratège politique et surtout diplomatique qui aime véritablement son pays, la République Centrafricaine, et qui fait feu de tout bois pour l’inscrire dans le concert des nations comme un pays émergeant malgré quelques contingences auxquelles elle est confrontée.

Depuis son accession à la magistrature suprême de l’Etat, Faustin Archange TOUADERA s’est investi dans la recherche des voies et moyens pour un retour définitif à la paix et pour un véritable décollage socio-économique de la République  centrafricaine  malgré les obstacles que nous imposent certaines puissances étrangères avec leurs potentats.

Ce pays revient de loin après les crises militaro politiques qui ont mis par terre son économie et déchiré son tissu social. Tous les efforts déployés pour atteindre aujourd’hui ce niveau de stabilité politique et sécuritaire n’arrangent pas les ennemis de la république.  Lesquels ennemis, tapis dans l’ombre, utilisent des stratagèmes pour maintenir notre pays dans la misère et la tyrannie. Heureusement que Faustin Archange TOUADERA ne baisse pas les bras et hausse le ton à la tribune de grandes assises internationales quand il le faut pour défendre son pays comme Feu B. Boganda en son temps. Son bâton de pèlerin en main, il sillonne les pays et continents non pas pour des promenades de santé mais pour la bonne cause centrafricaine. Pendant que certains ministres inactifs voir incompétent dorment sur leurs lauriers, le Chef de l’Etat n’a que pour seul objectif, faire de la République centrafricaine un pays prospère où il fait bon vivre avec une place dans le concert des nations.

L’une des preuves de cette diplomatie offensive que l’on peut retenir, c’est à la tribune de la 5ème conférence des Nations-Unies sur les pays les moins avancés tenue à Doha au Qatar du 5 au 9 mars 2023, où il s’est insurgé la position ambigüe de certains pays de l’Occident qui visent à entretenir l’instabilité en RCA.

Quel courage ! Dirait l’autre. Mais pour ces détracteurs, c’est « quel culot ! ». Dire haut devant un aéropage de ce calibre ce que disent bas certaines hautes personnalités du continent africain, c’est faire preuve de courage et d’engagement pour une cause noble. Si la République centrafricaine avait eu la chance d’avoir, après B. Boganda, des leaders comme Faustin Archange TOUADERA, elle serait déjà classée parmi les pays émergeants. Il n’est pas passé par le dos de la cuillère pour affirmer haut et fort que « tous ces efforts sont amenuisés par l’embargo injuste et illégitime sur les armes à destination des FACA et sur le diamant centrafricain depuis dix ans. Victime des visées géostratégiques liées à ses ressources naturelles, le RCA s’interroge sur le point de savoir comment les pays les moins avancés peuvent-ils passer du « potentiel à la prospérité » s’ils restent confrontés aux ingérences étrangères qui les maintiennent dans la  dépendance, l’insécurité et l’instabilité?».  Une interrogation qui a tout son sens d’autant plus que le thème de cette conférence internationale était: « Du potentiel à la prospérité ».  Justement, c’est un slogan déterminant pour les pays dits pauvres comme la  RCA qui disposent d’un potentiel géologique, climatique, forestier, pédologique, hydraulique et humain qui défie toute concurrence. Malheureusement, certains occidentaux  ont délibérément  couvert la RCA d’une bâche qui commence à l’étouffer et dont la voix de détresse est  portée par notre leader, le Président Faustin Archange Touadera : «  Comment expliquer et comprendre que la RCA dotée d’un immense trésor géologique de plus de plus de 470 indices miniers  dont l’or, le diamant, les matières premières stratégiques comme le cobalt, le pétrole, l’uranium encore inexploités, de plus de 15 millions de terres arables favorables au développement de l’agriculture, plus de 2,5 millions d’hectares de forêts, demeure, plus de 60 ans après l’indépendance, l’un des pays les plus pauvres du monde? ». a-t-il déclaré.

 La vérité est toute crachée. Le développement ne pourra se faire sans une révolution et la véritable indépendance ne se donne pas mais s’arrache au prix de lourds sacrifices.

A nous de nous ranger tous derrière ce leader engagé pour le soutenir afin que nous gagnions ensemble le combat diplomatique qui fera de la République centrafricaine un pays de référence.

@Louis GBOKOCHE

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