Bangui, le 29 aout 23
Le BRDC, une organisation politico-criminelle de certains opposants au régime du président Faustin Archange TOUADERA, a déjà creusé sa tombe suite à la victoire du vote référendaire. La raison d’existence de cette plateforme n’est plus, car il était question pour ses membres, de défendre la nouvelle Constitution ou d’abandonner purement et simplement cette aventure politique sans lendemain.
Le peuple Centrafricain n’a plus le temps d’accepter la mauvaise politique dont le but consiste à plonger le pays dans le chaos. Le pays de Barthelemy Boganda a trop souffert des maux qui sont à l’origine de son sous-développement. On ne s’engage pas dans la politique pour poser des actions qui sont contre l’intérêt du peuple. Ceux-là qui se disent leaders politiques, sont les mêmes qui, depuis plusieurs années, n’apportent rien de concret pour l’avancement du pays. N’ont-ils pas d’autres choses à faire que comploter pour détruire leur propre pays ?
Ils sont connus à cause de leurs mauvaises pratiques. Les Centrafricains d’aujourd’hui, ne sont pas comme ceux d’hier. La nouvelle dynamique est celle de combattre tous les ennemis de la nation. Les membres du BRDC ont prouvé à suffisance qu’ils militent contre le pays afin que le blocage s’installe sur tous les plans. Malheureusement, ils font face continuellement à des échecs puisqu’un passage biblique souligne que la voix du peuple est la voix de Dieu. Les leaders du peuple ne comprennent-ils pas cela ?
Le dernier acte en date est le boycott prôné du vote référendaire. Face aux multiples actions de déstabilisation, de menace et les incitations à la violence, le peuple a balayé du revers de main et s’est levé en masse pour voter la nouvelle Constitution qui ouvre la grande porte au pays de connaitre son vrai développement. L’échec cuisant du BRDC ne date pas de ce jour. Puisque la nouvelle loi fondamentale du pays est votée et sa promulgation par le Président de la République est attendue dans les prochains jours, n’est-il pas l’occasion pour les leaders du BRDC de dissoudre leur groupe politico-criminel ou de déclarer leur retraite politique ?
Dans toute chose, il y a un début et une fin. La vie politique est un choix. Si on n’est pas en mesure de contribuer au développement d’un pays, on doit laisser la chance à ceux qui disposent de la bonne volonté de le faire. Qu’est-ce que le BRDC a fait concrètement de bon pour l’intérêt du pays ? Rien. Les membres sont prêts à soutenir les rebelles, d’envoyer des faux rapports à l’extérieur afin que les partenaires techniques et financiers puissent bloquer leurs aides.
Le pays s’oriente maintenant vers une nouvelle ère, l’ère de la 7e République qui permettra à ce que les autorités de la place, activent les chantiers de développement. Les réformes se poursuivent actuellement avec le Président Touadéra qui s’engage à bâtir une nation juste et stable dans tous les domaines. Le BRDC a fait tourner définitivement la page et le peuple s’oppose farouchement à ses actions lugubres contre le pays.
