Bangui, le 20 juil. 22
Depuis son accession à la souveraineté internationale le 13 août 1960, la République centrafricaine s’est confrontée à des bons et mauvais moments. Comme on le dit toujours, on ne revient pas dans la vie par des mauvais souvenirs du passé. Mais c’est à travers des mauvais souvenirs qu’on corrige les erreurs de la vie et envisager l’avenir.
L’histoire de la RCA est ponctuée des tares militaro-politiques qui n’échappent à personne. Plusieurs régimes sont passés mais rien n’a été fait pour que les erreurs se corrigent et que le pays puisse se développer sur tous les plans pour le bonheur de ses filles et fils. A qui la faute ?
Le Président Faustin-Archange Touadéra à son arrivée à la tête du pays en 2016, a prêté officiellement le serment de ne défendre rien que l’intérêt de ses compatriotes. Cet engagement solennel sous les regards attentifs de ses compatriotes, s’est traduit dans les faits comme nous le constations actuellement. En bon croyant, il faut toujours matérialiser ses paroles par des actes positifs qui sont profitables à tout le monde.
Voilà que l’homme du 30 mars 2016 a eu à faire et continue de le faire grâce à la confiance que son peuple lui accorde. Dans une telle démarche de reconstruction nationale, le chemin est toujours semé d’embûches et autres batailles politiques de ses adversaires. « Le chien aboie, la caravane passe », c’est-à-dire que l’essentiel qui compte pour les Centrafricains est la stabilité et le développement de leur pays.
Après le succès du premier quinquennat, le numéro un Centrafricain entame le second tour qui vise à poursuivre les œuvres afin d’hisser le pays dans la logique de développement. Ceci dit, le Président Touadéra s’est entouré de toutes les mesures qui s’imposent pour que le pays ne retombe pas dans des mauvais cauchemardesques de son histoire.
La solution simple formulée par le Président Touadéra, est l’addition et la multiplication qui est contraire à la politique politicienne. C’est ce qui se fait effectivement à travers la défense des acquis démocratiques. Un Etat fort est reconnu qu’à travers des Institutions fortes. Touadéra est en train de transmettre les germes de cette mentalité à tous les Centrafricains pour qu’ils se fassent dignes comme Boganda le souhaite, et que le pays soit respecté à l’échelle internationale. Le peuple centrafricain cherche à se reconstruire en balayant au passage ses ennemis.
Dans l’histoire du monde, la République Centrafricaine est le tout premier Etat qui a câliner ceux que partout au monde, on reconnaît de poux, punaises, teignes et tant d’autres appellations plus que nuisibles et laides juste pour négocier la paix. La force et la vigueur dont les apatrides font particulièrement preuve en RCA, dépassent la compréhension de n’importe quel individu d’ici-bas. Ils ont entièrement raison vu que l’organisation internationale leur donne l’attribut de « MINORITÉ », entité à protéger exclusivement au plus grand soin. D’abord, l’ONU elle-même.
Le plus grand souci qui met tout le monde sur les braises en ces instants, concerne la recherche de la paix. On en a tant besoin si bien que le rapatriement sonne à l’oreille de chaque concitoyenne et concitoyen de sorte que si Adam, Ali Darassa, Alkhatim, le clan Bozizé et leurs apparentés partaient de Centrafrique, la paix retrouverait sa place dans cette ambiance tourbillonnée et la démocratie aura sa place dans la paix et non une démocratie exercée par les armes comme veut nous l’imposer François Bozizé et ses parrains politiques.
L’ambiance de vie socio-politique que l’on observe en Centrafrique en la période du sacre de LA CPC prouve à suffisance et éloquemment que les nationaux ont de la peine à respirer, vivre, et camper dans leur environnement originel. Les Centrafricains ont fait preuve de la maturité politique en allant massivement au vote exercer leur droit de citoyenneté qui consiste de choisir leurs représentants tant pour le précieux palais de la Renaissance que pour les élus de la nation. Malheureusement, les ennemis de la nation veulent distraire la population avec des crépitements d’armes sur toute l’étendue du territoire national dans le seul but de mettre en cause tous les efforts du président Touadéra qui cherche à donner une recette de paix et d’apaisement à ses populations.
@La Rédaction