Les Centrafricains ne veulent plus revivre les travers des actes subversifs qui ont conduit à la déstabilisation du pays depuis plusieurs décennies. La déstabilisation de la République centrafricaine par des rebellions armées et les coups ont eu pour conséquences la destruction du fondement de la République centrafricaine avec comme corollaire le sous-développement, l’absence de ressources humaines etc. C’est ce qui a poussé des centaines des milliers des jeunes Centrafricains à descendre dans la rue la semaine dernière pour demander la levée de l’immunité parlementaires des opposants.
La manifestation de plusieurs organisations qui soutiennent le pouvoir a pour but de dire non à la déstabilisation de la RCA. Elle fait suite à la réunion tenue par certains opposants regroupant quelques membres de la diaspora dont l’objectif est de préparer la déstabilisation du régime actuel.
Au rang de ces opposants l’on peut citer Karim Meckassoua, Martin Ziguélé, Nicolas Tiangaye, tous des spécialistes des coups d’Etats notoirement connus en raison de leur passé putschiste ajouté à ceux-là Anicet Georges Dologuélé, Dominique Yandocka, Dominique Désiré Erenon, Jean François Akandji Kombet et d’autres aventuriers politiques.
Si certains qui ne sont pas couverts seront traqués dans le cadre d’une collaboration judiciaire entre la République centrafricaine et la France suite à de mandats d’arrêt internationaux, d’autres qui sont par qui sont des députés tels que Dologuélé, Ziguélé et Yandocka verront leur immunité parlementaire levée bientôt après la demande pressante des manifestants la semaine dernière.
D’ailleurs tout est mis en œuvre pour procéder à la levée de l’immunité parlementaire de ses opposants qui veulent attenter à la sûreté intérieure de l’Etat. D’après les informations de sources concordantes proches du bureau de l’Assemblée nationale, la demande est déjà introduite auprès du bureau. La conférence des présidents va statuer au courant de la semaine prochaine avant de procéder au vote où leurs collègues sont déjà unanimes à voter favorablement pour la levée de leur immunité parlementaire.
La nouvelle est d’ailleurs accueillie favorablement par la majorité des Centrafricains qui n’entendent plus voir leur pays être déstabilisé par une énième rébellion ou un coup d’Etat dont ils gardent encore les stigmates. Il ne fait d’ailleurs l’ombre d’aucun doute depuis un certain temps, il y a une stratégie qui est mise en place pour écraser la tête de pont de la coopération Russie-Afrique qui se trouve être la République centrafricaine pour permettre aux autres pays africains de dégreffer de cette coopération.
C’est en appuyant sur ce flottement dans les relations entre la France et la République centrafricaine que ces ennemis de la République veulent ourdir encore un complot contre le régime de Bangui. Les Centrafricains n’ont cessé de décrier haut le plan macabre des leaders politiques de l’opposition ayant un passé sombre quand ils étaient aux affaires et qui ne veulent que du malheur du peuple centrafricain.
A titre de rappel, Nicolas Tiangaye, Alexandre Ferdinand Nguendet, Martin Ziguélé, Crépin Mboli-Goumba, Mahamat Kamou, Karim Meckassoua etc. tous ont été l’aile politique, disons les cerveaux intellectuels de la Seleka. A ce titre, ils sont comptables du sang des Centrafricains versé par ces criminels.
Même étant aux affaires, ceux-ci, au lieu d’améliorer les conditions de vie des Centrafricains ont plutôt contribué pour leur malheur. En tant que Premier ministre de Patassé pour ensuite le trahit, Ziguélé a amené les Bayamulengué qui ont massacré les Centrafricains. Non content il a été au front avec ses amis Kamoun, Tiangaye et Ngeundet pour favoriser l’avènement de la Séléka.
Pareillement pour Karim Meckassoua, l’éternel ami des rebelles dans toute l’Afrique. Il a été à la première loge pour recruter des rebelles soudanais et tchadiens afin d’accompagner son ami Bozizé dans leur marche sur la capitale ; la même chose qu’il a faite pour le compte de la Séléka. Aujourd’hui il est fréquent au Soudan du sud pour recruter encore des combattants pour le compte de leur énième projet de déstabilisation de la RCA.
Le mafieux Dologuélé celui qui a occasionné la non instruction des jeunes centrafricains du fait de sa gestion scabreuse à l’époque où il était premier ministre se reconverti en rebelle. Monsieur 10% qui n’est désormais plus en odeur de sainteté auprès des institutions de Breton-Woods se démène pour mobiliser des fonds auprès de ses amis mafieux à travers le monde pour faire tomber le régime centrafricain. Pour les jeunes centrafricains, Dologuélé est à l’origine de leur malheur et de leur non instruction, du fait de l’accumulation des arriérés de salaires de leurs pères et leurs grands-pères. Alors Premier ministre, tout le monde savait que Dologuélé s’octroyait les rétro-commissions de 10% sur les paiements de dettes extérieurs et des marchés publics. Ce n’est pas celui-là qui pourra sauver la Centrafrique.
Autant dire que ces malheureux hommes politiques constituent un danger pour la République centrafricaine. Pour ce faire le peuple centrafricain les attend de pieds fermes afin de rendre compte de leurs actions subversives.
