Centrafrique : Malgré les agitations des ennemis de la paix, le Président Touadéra place l’homme au centre de sa politique

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Bangui, le 31 juil. 21

Lorsque le mathématicien Centrafricain s’engage à déposer sa candidature comme un indépendant en 2015, beaucoup des incrédules ne croyaient pas en sa vision. Les faits parlant d’eux-mêmes, l’histoire donnent raison de nos jours à tous ceux qui ont soutenu sa candidature. Pour preuve !

Il n’y a pas de vent contraire pour celui qui sait là où il va. Cette conception du déterminisme de l’homme connu depuis Héraclite, est justifiée de nos jours avec le président Touadéra qui est en ligne de bataille pour faire du Centrafrique, la vitrine du respect des droits de l’homme.

Depuis sa prise de pouvoir en 2016 jusqu’au début de son second quinquennat, les exactions sommaires et extrajudiciaires n’ont pas été signalées comme fut le cas dans un passé récent avec les différents régimes qui se sont succédé dans ce pays depuis son indépendance.

Dans sa considération de la liberté de presse, le régime Touadéra est le seul qui n’a pas eu des arrestations ou des condamnations des professionnels des médias. L’occasion faisant le Larron, il convient de saluer à sa juste valeur cette politique qui consiste à respecter la constitution de son pays. Car, aucun développement possible sans liberté de presse car, comme disait Thomas JEFFERSON « Et si je devrais choisir entre un gouvernement sans  journaux ou des journaux sans gouvernement, je retiendrais sans hésiter la seconde solution », ce qui signifie que la liberté accordée aux de la presse est une marque de témoignage pour ce noble métier que le président centrafricain en première ligne. La nation tout entière est reconnaissance aux œuvres du locataire du Palais de la Renaissance.

Aujourd’hui avec la politique du président Touadéra, les anciens chefs d’Etat sont aux anges avec un Statut particulier qui permet à ceux qui ont fait leurs preuves au Palais de la Renaissance. C’est une marque de reconnaissance qui restera gravée dans les consciences des Centrafricains. Pour preuve, lorsque le président Bozizé rentre dans son pays par la petite porte, l’homme fort de Bangui ferme les oreilles sur ce que les gens disaient et même si l’histoire donne raison à ceux qui voulaient l’arrestation et la traduction en justice du leader du parti à la couleur orange.

Nous prenons en témoignage, son Message à la nation lors de son investiture le 30 mars dernier où il a élagué les lignes rouges pour son second mandat ce qui permettra la dissolution totale des groupes armés dans ce pays qui bénéficient encore de l’impunité.

@Bienvenu ANDALLA, 

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