Bangui, le 20 déc. 21
Le rétablissement progressif de la RCA résulte des efforts engagés par le président Touadéra depuis son accession à la tête de la magistrature suprême de l’Etat. Après plusieurs décennies de crises traversées, le Dieu que prient tous les Centrafricains a répondu à leurs cris de cœur en leur donnant un bon chef de l’Etat qui bâtit son pays sereinement.
En effet, depuis sa présence à la tête du pays, le président Touadéra est combattu à tous les niveaux par ceux qui n’aiment pas la RCA et son développement. Dans une logique de comprendre les raisons de cette « victoire », il est important de connaître celui qui est combattu dans le mensonge. Cet homme, Faustin Archange Touadéra a un chemin bien tracé avec un CV bien riche. Dans son parcours professionnel en tant qu’enseignant, il n’a jamais tenté de faire la politique et il n’a jamais rêvé, ni pris des moments de jeûnes de prière pour devenir Chef d’État de la République centrafricaine.
Avant de se lancer dans la course présidentielle en 2016, Touadéra est appelé par ses compatriotes, le candidat des pauvres. La raison est simple, il n’a pas battu sa campagne sur la base de la duplicité avec des sels, sucres, tee-shirts, pagnes…pour flatter les électeurs comme le font ses adversaires politiques que nous les connaissons tous. FAT pour ses fans, il ne s’est pas allié avec une quelconque puissance occidentale, disons, de bénéficier d’appui extérieur pour gagner les élections en 2016. C’est pour dire que Touadéra est parti de rien pour devenir un guide, un modèle à suivre pour ceux qui aspirent à diriger un pays.
Contrairement à ce que les gens racontent injustement par pur méchanceté, Touadéra n’a pas crié sur le minaret pour être choisi à l’époque, Premier ministre. Sa nomination est la preuve de sa compétence, de son sens de leadership et de patriotisme. En tout, Touadéra aime son pays avec tout son cœur. C’est pour faire comprendre à nos lecteurs que le numéro un Centrafricain n’avait qu’un seul rêve : devenir Professeur des mathématiques. Un rêve qu’il a touché du doigt au prix de l’effort avant d’être nommé Recteur de l’Université de Bangui, puis Premier Ministre et aujourd’hui Chef d’Etat.
Que ce soit, entre autres, le Rectorat, la Primature et la Présidence de la République, tout lui a été donné sans qu’il ne bouge du petit doigt. Les anciens présidents Centrafricains, après le Feu Empereur J.B Bokassa ont vainement essayé de renforcer la coopération pragmatique et diplomatie offensive avec des pays qui sont prêts à aider la RCA, notamment la Russie. Touadéra a facilement ramené la Fédération de Russie en Centrafrique et depuis lors tout a changé et le processus de la stabilisation du pays va bon train.
Avec cette gouvernance rassurée sous le président Touadéra, la RCA devient du coup le centre d’intérêt des dinosaures. Prenant le cas simple de notre armée, jadis de 5000 hommes, construite par près de dix régimes successifs (de Bokassa à Bozizé) pendant plus d’un demi-siècle, a été réduite en cendre en seulement huit mois de la folie de la coalition Séléka.
Rappelons aussi que la Transition de Samba-Panza a légué seulement 1500 soldats avec 46 kalachnikovs sans chargeurs pour 623.000 km2. Aujourd’hui cette armée s’élève à plus de 20.000 hommes de rang bien formés et mieux équipés. Le moins qu’on puisse dire, les détracteurs de Touadéra retiennent ceci : Arrêtez de combattre cet homme qui n’a pas demandé à vous gouverner. C’était dans des situations totalement pourries que Touadéra a mis en action ses formules mathématiques pour s’affirmer en maître de la situation et les résultats sont formidables pour l’intérêt de tous les Centrafricains.
Pour preuve, aujourd’hui avec la diversité diplomatique, la RCA est devenue une plaque de certains pays de la sous-région en proie au terrorisme qui veulent se servir de l’exemple centrafricain pour sortir de la misère.
