Centrafrique : Le dialogue permanent avec les partenaires sociaux suivi de la réponse à leurs exigences

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Bangui, le 05 avril 22

Au début du deuxième quinquennat du Président de la République, ayant échoué leurs manœuvres déstabilisatrices, certains ont voulu utiliser le front social pour tenter un autre coup. Mais, le Président de la République Faustin-Archange TOUADERA et le gouvernement ayant compris, ont rassuré les partenaires sociaux par des actes. 

Dès le début de ce deuxième mandat, le Président de la République a impulsé un dialogue permanent avec les partenaires sociaux. Pour le Chef de l’Etat, il n’y a pas de problème qui puisse dépasser la concertation. Voilà pourquoi très tôt, le Ministre de la Fonction publique a été instruit de relancer les négociations avec les syndicats, lesquelles négociations ont débouché sur des accords dont celui avec le syndicat du supérieur signé en janvier 2022 et celui avec toutes les autres centrales syndicales signé en décembre 2021.

Les deux parties ont pris des engagements fermes pour donner une chance au pays de se relever. Malgré la tension de trésorerie, sur fonds propres, l’Etat a amorcé le paiement des arriérés de salaires des autres régimes. Dès janvier 2022, le gouvernement sous l’impulsion du Président de la République Faustin-Archange TOUADERA, le gouvernement a payé un mois d’arriéré de salaire aux fonctionnaires et agents de l’Etat.

En son temps, un membre influence du syndicat des travailleurs de Centrafrique exprimait sa joie en ces termes, « Le gouvernement a promis de commencer à payer les arriérés, nous avons eu gain de cause et cela nous rassure ». Un cadre du département de l’Urbanisme n’a pas caché sa joie : « je suis agréablement surpris par le paiement de ce mois d’arriéré. On n’était pas certain mais le gouvernement actuel nous a montré qu’il tient parole donc nous avons tout à gagner à lui faire confiance ».

Rassurer et ramener la confiance entre le gouvernement et les partenaires sociaux constituent les principaux objectifs que s’est donné le second mandat dans le cadre du rapport qui existe entre le pouvoir en place et le monde syndical. Il convient de rappeler qu’au premier mandat, le Président de la République avait payé plusieurs mois d’arriérés de salaire laissés par ses prédécesseurs. Ce sont ces faits et gestes posés au premier mandat et consolidés au deuxième quinquennat qui renforcent la confiance entre le monde du travail et les autorités centrafricaines.

@JLG

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