Centrafrique : La grande mobilisation citoyenne pour l’investiture du président Touadéra prouve la solidarité avec son peuple

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Bangui, le 28 mars 2021

Le vote sanction du 27 décembre 2020 qui a vu la victoire incontestable du président Touadéra a été une expression de la volonté d’un peuple qui veut marquer définitivement son histoire de développement, de paix et de la stabilité du pays. C’est ce qui justifie de nos jours cette forte mobilisation citoyenne qui constitue un évènement très particulier du Centrafrique. Et pour preuve ?

Les actions du politique doivent toujours prendre en compte le social des populations. On se souvient du sage conseil de Nelson Mandela repris par plusieurs hommes d’Etat Africain qui ont souci du bonheur de leurs compatriotes : « Mieux vaut faire un pas avec mon peuple que d’en faire mille sans ce peuple qui m’a fait confiance ».

Cette maxime connue dans le milieu politique a trouvé sa résonance dans la politique du président Touadéra.

On se souvient qu’en 2015 lorsque le président Touadéra décide d’aller à l’élection l’Etat était en route. Les groupes armés occupaient 80% de son territoire national. Les Centrafricains ne pouvaient pas circuler du nord au sud et de l’est à l’ouest sans se faire massacrer comme des simples animaux : « Le président Touadéra est vraiment entré dans l’histoire du Centrafrique. Depuis des décennies,  les vautours et vampires qui se sont succédé au pouvoir n’ont pensé qu’à leur ventre à l’avenir de leurs enfants. Voilà pourquoi, comme ce pays est un patrimoine des anciens présidents, à chacune de l’élection présidentielle, un enfant de l’ancien président se porte candidat et bat sa campagne avec les réserves de son père. Le président Touadéra a d’abord pensé au développement de son pays et de nos jours, le pays dispose d’une armée de garnison ce que les généraux n’ont pas pu faire. A Bangui, les bâtiments administratifs poussent comme des champions, les intégrations se font par masse et on ne parle plus de vacation dans les lycées publics », a martelé une source politique.

La forte mobilisation des Centrafricains pour cette deuxième investiture autour de son président, n’est qu’un signe de reconnaissance et d’encouragement vis-à-vis de celui qui a enlevé ce pays des ténèbres pour son admirable lumière. Le Centrafrique n’est pas là pour accompagner les autres pays dans le chemin  du développement. La victoire est au bout du fil. Et les Centrafricains du nord au sud et de l’est à l’ouest doivent faire de cet évènement, une vitrine des annales du Centrafrique.

@Jacques KOSHE, 

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