L’homme du 30 mars 2016 qu’est le président de la République Faustin-Archange Touadéra, fêtera ensemble avec son peuple, le troisième anniversaire de son accession au pouvoir. Qu’est-ce qu’on peut donc apprécier du mi-mandat de cet homme de la situation.
Avant même de dresser un bilan général sur la gouvernance du président FAT d’ici peu de temps, il est question de relever ici que sur le plan général et suite aux témoignages recueillis auprès des centrafricains voire les partenaires internationaux, le régime Touadéra mérite une appréciation distinctive dans la gestion des affaires du pays.
Même si l’environnement politique reste encore un peu turbulent avec les agitations des ennemis de la paix, dans le domaine de la sécurité, de l’économique, la situation humanitaire, la question de la diplomatie et de la coopération, la justice, la santé, l’éducation, la formation professionnelle, la lutte contre le chômage, le processus de la paix et de la réconciliation…tout est au beau fixe.
Dans le monde entier, l’indice qui définit un pays en développement, est bel et bien la liberté d’expression dans un premier lieu, s’en suivra la croissance économique.
C’est pour agencer que depuis l’accession du président Touadéra à la magistrature suprême, le 30 mars 2016, personne n’est inquiétée pour une histoire politique, ni de militantisme…dont même les journalistes exercent librement et en toute liberté. Personne ne démentira ce que nous évoquons ici !
Pour la croissance économique, n’en parlant pas ! Il suffit de faire un recours aux données de la Banque Mondiale, du Fonds Monétaire International, de la Banque Africaine de Développement, de la Banque de Développement des Etats de l’Afrique Centrale et de la Banque des Etats de l’Afrique Centrale pour s’en rendre compte des progrès économiques du pays sous le régime Touadéra. D’ailleurs, il a été félicité avec toute son équipe pour les efforts engagés depuis son accession au pouvoir.
Au moment où nous mettons cet article sous presse, la vie en Centrafrique n’est pas comme celle d’avant Touadéra. « Tout change, tout évolue », comme a chantonné un artiste africain. C’est pour dire que le bilan de l’an 3 du président Touadéra et toute son équipe est en ascension, même si certaines personnes malintentionnées veulent toujours mettre les bâtons dans leurs roues. Comme l’a dit un adage : « A tout Seigneur, tout honneur », l’homme de Bangui est sur la bonne voie d’achever son premier quinquennat en attendant ce que l’avenir décidera.
L’an 3 du président FAT est tout à fait satisfaisant et le peuple centrafricain compte sur son Chef de l’Etat de poursuivre le même élan pour que les quelques maux enregistrés dans certains volets, soient éradiqués totalement d’ici peu de temps. De ce fait, festoyons ensemble cet anniversaire pour que vive la République Centrafricaine !
@Hervé BINAH,