Bangui, le 21 juil. 21
La réforme opérée au sein de la douane centrafricaine est en perpétuelle avancée avec son Directeur général, Frédéric-Théodore INAMO. Durant cinq ans à la tête de cette institution, les recettes douanières sont maximisées, les choses modernisées et les résultats sont à la grande satisfaction de tout le monde. Entouré d’une équipe dynamique et des collaborateurs engagés dans leur profession, INAMO opère des innovations en créant des opportunités pour une administration efficace avec des réalisations au profit des recettes de l’Etat.
La douane centrafricaine a présenté des avancées considérables : sensibilisation, formation de son personnel, manifeste électronique, ciblage des déclarations à contrôler, transparence du système et augmentation des recettes malgré les difficultés…les nouvelles procédures suppriment les formalités douanières inopportunes et responsabilisent les actions au profit de l’Etat. Pour les Centrafricains, Frédéric-Théodore INAMO est l’homme de la situation qui a su concilier l’utile à l’agréable sans se soucier des avantages.
L’amélioration des activités douanières a eu un impact positif pour les caisses de l’Etat. L’instauration de ces réformes a permis à la douane d’évoluer de la logique avec cette révolution structurelle. En Centrafrique, l’Etat contrôle les ressources à des fins de développement et les recettes douanières contribuent à la richesse nationale surtout dans un pays sans littoral. Le DG INAMO et ses collaborateurs défendent avec d’autant plus d’ardeur leur mission au développement en limitant au maximum les cas de corruption à leur encontre. Surtout depuis la signature de la convention avec la Russie.
INAMO a ainsi redynamisé les choses avec la coopération tissée avec d’autres administrations douanières des pays africains. C’est dans ce cadre que le DG INAMO a eu à effectuer plusieurs missions à l’extérieur, notamment au Nigéria, au Cameroun et récemment au Congo où sur invitation de son collègue, il a effectué une visite de travail bilatéral et multilatéral du 06 au 10 juillet 2021.
Durant cette mission, un protocole d’assistance administrative mutuelle a été signé entre les deux administrations douanières centrafricaine et congolaise. Ce protocole faut-il le souligner, va offrir des opportunités aux opérateurs économiques, les transporteurs routiers et les chargeurs du corridor de Bangui-Douala en passant par Bétou, Mongoumba. Notons qu’à l’occasion de cette visite, les DG des douanes du Gabon, du Burkina-Faso et de la RD Congo étaient de la partie.
Après la crise traversée par le pays, la douane centrafricaine a plusieurs difficultés. Mais, la reprise progressive de la sécurité sur l’ensemble du territoire national a permis à ce que la douane mène sa mission avec optimisme. Pour se rassurer le professionnalisme du DG INAMO et ses collaborateurs, faisons une analyse sur le niveau des recettes qui est en expansion à chaque trimestre.
@Pierre Dalingombé,
