Centrafrique : Anicet-Georges Dologuélé de l’URCA confirme d’avance la contestation du résultat de la présidentielle

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Bangui, le 01 août 20

Anicet-Georges Dologuélé, celui qui s’autoproclame étant le chef de l’opposition en Centrafrique, veut briguer la magistrature suprême de l’Etat par tous les moyens possibles, même si ce dernier est pas gobé très malaisément par le peuple centrafricain qui ne voit pas en lui, un leader patriotique, disant celui qui est toujours prêt à défendre rien que les intérêts de ses amis affairistes et allogènes.

Le numéro un de l’URCA, le patenté défenseur de Coalition de l’Opposition Démocratique (COD20), cette plateforme de l’opposition qui a peur d’aller aux élections en cours, a déclaré clairement sur une onde de la place qu’il ne va pas se laisser faire. Qu’est-ce que Dologuélé comprend par laisser faire ? N’accepte-il-pas toujours ses cuisants échecs de 2016 face au président Faustin-Archange Touadéra ?

« Cette-fois-ci, je ne vais pas me laisser faire comme en 2016. J’avais perdu bien l’élection présidentielle. Je voulais contester pour sa reprise tout en sachant que je suis bien perdant. Pour cette année, je ne vais pas accepter même si je sais pertinemment que je vais perdre. », Dira Anicet-Georges Dologuélé qui retrousse actuellement sa manche avec la complicité des leaders de la société civile, pour replonger le pays dans la crise post-électorale.

C’est déjà entendu de tout le monde. Dologuélé a affirmé que le pays va se baigner dans l’enfer si le président Touadéra venait à être réélu. Nous sommes dans un pays des déments qui pensent que la RCA ne peut être stable comme d’autres pays du pays du monde. Dologuélé, lui seul peut défier toute une nation qui n’admire pas sa mauvaise politique qui sont contre l’intérêt de tous !

Si Dologuélé accepte d’avance déjà sa défaite à la présidentielle du 27 décembre, c’est normal ! Qu’il se mette dans la posture d’un bon démocrate et de ne conspirer avec ses autres amis qui sont des ennemis du pays pour faire immerger le pays dans une crise dont les conséquences seront très ennuyeuses pour les populations centrafricaines. En tout cas, ce Dologuélé de l’URCA qui est abhorré par ses partisans qui le quittent au fur et à mesure pour sa mauvaise attitude, exagère dans ce qu’il projette avec ses complices contre l’intérêt du pays ? Est-il toujours considéré étant un bon leader politique, celui qui peut conduire la destinée d’une Nation ? Pas possible, et c’est impossible pour celui-là qui aime toujours les pourcentages là où il se trouve toujours.

@Herman THEMONA,   

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