Bangui, le 13 janv. 22
La montée en puissance des forces armées Centrafricaines a causé des défections sérieuses au sein des groupes rebelles et plus particulièrement le dernier survivant de la caravane, machiavélique l’UPC de ALI Darassa. Face à cette force incontestable des FACA, ce dernier doit capituler pour faire taire les armes et attendre le dernier mot de la justice sinon, il connaitra la sanction de dernière rigueur.
Les crises militaro-politiques qui ont eu lieu ces dernières décennies en République Centrafricaine a ouvert la porte à des criminels et des bandits de grand chemin, des terroristes de la carrure de ALI Darassa venus de tout part pour piller, torturer, massacrer et s’enrichir sur le sang des Centrafricains.
Mais ceux-ci doivent apprendre à leur dépend que le mal ne reste jamais impuni et que la prophétie de Ecclésiaste n’est pas à contredire : « Quel que soit la longueur de la nuit, le jour paraitra ». L’armée reconstruite est aujourd’hui capable de défendre le territoire dans son ensemble. Grâce à l’appui des pays amis de la République Centrafricaine comme la Russie et le Rwanda la crise tend peu à peu à se résoudre. Malheureusement certaines forces de l’ombre ne sont pas du tout d’accord. Elles tentent par tous les moyens d’alimenter la situation pour maintenir le pays dans un cycle infernal des crises humanitaires et des violations massives des droits de l’homme.
Quand le glas de la justice va sonner enfin, les coupables iront se cacher loin des yeux des hommes tel est le sort qui attend ALI Darassa et ses complices terroristes comme lui. La défection dans les rangs de l’UPC aujourd’hui témoigne du résultat de la montée en puissance des forces armées centrafricaines et de la prise de conscience de certains éléments des groupes armés qui ont compris le jeu de dupe de ALI Darassa et ses partenaires privilégiés que nous connaissons tous. La guerre ne résout rien mais au contraire elle détruit tout et même ce qui est construit.
ALI Darassa est aujourd’hui au s’aboie puisque son armé l’abandonne. Tout ce qu’il doit faire c’est de se rendre aux autorités centrafricaines pour tenter de se racheter dans le processus de la paix engagé par le gouvernement à travers les différents accords signés. Si non, il n’a plus qu’à prendre ses jambes au coup pour ne pas espérer être rattrapé par les Bamaras.
