Bangui, le 01 mars 24
Point n’est besoin de rappeler que notre cher et beau pays, la République centrafricaine sort progressivement d’une longue période de turbulence qui l’a soumise à des rudes épreuves avec des conséquences assez lourdes pour le pouvoir en place.
C’est dire que le Président Faustin Archange Touadera a trouvé un lourd héritage à son accession à la magistrature suprême dont le passif est bien salé. Avec détermination et d’une manière méthodique, il a réussi à recoller les bouts d’une République en lambeaux et redonner confiance à une population meurtrie et sans repère.
Cette réussite politique n’a pas plus à tout le monde. Surtout ceux qui sont passés là avant lui sans engranger le moindre succès. Un rancœur s’est installé au sein d’un groupuscule d’hommes politiques qui se réclament de l’opposition démocratique sans vision politique cohérente ni projet de société convaincant. Ceux-là ont malheureusement optés pour des solutions violentes pour la conquête du pouvoir en prenant en otage la population par la création des poches de rébellion et en hypothéquant toute une nation.
Convaincu de ses hautes charges, le Président Faustin Archange Touadera reste droit dans ses bottes pour la recherche des voies et moyens afin de faire de ce pays un Centrafrique nouveau où coule véritablement le lait et le miel. Grâce au Plan de Relèvement et la Consolidation de la Paix en Centrafrique, son gouvernement a pu bénéficier d’un ballon d’oxygène pour entreprendre de grands travaux qui ont positivement changé le faciès du pays.
La diplomatie agissante dont il est devenu l’artisan commence a donné du fruit par cette reconnaissante de la République centrafricaine au niveau sous régionale et sur le plan international. Le tableau sombre d’antan est repeint en couleurs vives grâce au doigté du Professeur Faustin Archange Touadera.
Il faut tenir le cap malgré vents et marées: celui d’un Centrafrique nouveau où il fait bon vivre. Le Président Faustin Archange Touadera dispose des atouts, et non des moindres, pour y parvenir. Il a tout un peuple qui lui fait confiance et qui adhère à sa vision politique. Même si des voix discordantes se font entendre, il s’agit d’une minorité constituée des assoiffés du pouvoir sans repère politique.
@Kira Koumba
