L’espace médiatique centrafricain connaît une souillure à cause de la présence de certains organes de presse qui ne maîtrise pas les fondamentaux de la presse à savoir, l’éthique et la déontologie qui devraient guider le travail journalistique. C’est le cas de le dire pour une certaine presse tendancieuse notamment, le site en ligne spécialisé dans la désinformation et qui use de sa plume pour régler les comptes des autorités dirigeantes de la République centrafricaine. Il n’a rien d’étonnant quand on sait que ce site spécialisé dans la publication des facknews est acquis à la cause d’un opposant connu. C’est ainsi, outré par l’acharnement contre sa personne, le Pr Alexis N’DUI-YABELA est sorti de sa réserve pour administrer une correction magistrale à son Directeur de publication qu’il qualifie comme étant « le plus idiot des journalistes d’investigation du monde entier ». Ci-dessous, l’intégralité de la riposte !
Le directeur de publications de Corbeau news-Centrafrique (CNC) serait-il né hermaphrodite ou alors serait-il né du sexe masculin, puis devenu transsexuel après ses dix-huit (18) ans ?
Droit de réponse du Professeur Alexis N’DUI-YABELA à la soi-disant Gisèle MOLOMA alias « Alain Nzilo », directeur de publications du nullissime journal en ligne affreusement dénommé Corbeau News-Centrafrique
« Castigat ridendo mores », disent les comédiens. Eh bien ! Conformément à cette belle devise de la comédie, imaginée par le poète Santeuil (Paris 1630), corrigeons un peu les publications mensongères de Corbeau news-Centrafrique en riant. Mais avant tout propos rigolo et surtout pour combler la sous-information chronique du directeur de publications de ce nullissime journal en ligne, à savoir Madame la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, voici une excellente nouvelle en provenance du dernier Conseil d’Université de l’Université de Bangui, une source sûre d’information. En effet, Monsieur le directeur de publications de Corbeau-news-Centrafrique, il y a exactement un peu plus deux semaines de cela, et au cours de sa première session ordinaire, au titre de l’année académique 2022-2023, le Conseil d’Université de l’Université de Bangui, ci-après « Conseil d’Université », vient à peine de se prononcer souverainement sur le « Rapport[1] » de la Commission de recrutement et d’avancement, en abrégée CRA. Au nombre des « dossiers d’avancement » à un grade supérieur examinés par la CRA, puis validés définitivement par le Conseil d’Université figure notamment celui de l’impétrant Alexis N’DUI-YABELA.
C’est donc à cœur joie que le désormais Professeur Alexis N’DUI-YABELA se permet de proclamer urbi et orbi ou de partager avec le directeur de publications de Corbeau news-Centrafrique cette excellence nouvelle émanant d’une source ultra sûre : le résultat des travaux de la première session ordinaire du Conseil d’Université de Bangui. En effet, au cours dudit Conseil, convoqué du 24 au 25 août 2023, l’impétrant Alexis N’DUI-YABELA, précédemment Maître de conférences en Droit et Science politique, a été élevé au grade de Professeur de Droit public et Science politique par ses pairs de l’Université de Bangui : ceci, sur la base de « l’avis favorable[2] » de certains Professeurs-agrégés de Droit public et Science politique du Conseil africain et malgache de l’enseignement supérieur, en abrégé CAMES.
Oui, Monsieur le directeur de publications de Corbeau news-Centrafrique, autant cet avis favorable de certains Professeurs-agrégés du CAMES vous laissera, pour toujours, de marbre, autant la configuration de son élaboration semble vraiment très bizarre et très paradoxal ! En effet, aurait-il fallu ou était-il nécessaire que les autorités académiques de l’Université de Bangui recourussent à certains Professeurs-agrégés de Droit public et Science politique du CAMES pour que les membres du Conseil d’Université de Bangui se prononçassent in fine sur une demande, purement et strictement interne, d’avancement de l’un de leurs enseignants-chercheurs à un grade supérieur ? La réponse à cette question est évidement « Non » ! Car, des Professeurs de droit, il en existe aussi à l’Université de Bangui, notamment à la Faculté des sciences juridiques et politiques (FSJP) de ladite Université.
Mais pour contourner la mauvaise foi de certains Professeurs de droit de la FSJP de l’Université de Bangui, mauvaise foi matérialisée l’année dernière par un « avis défavorable » mentionné en bonne et due forme sur le dossier de candidature de l’impétrant Alexis N’DUI-YABELA au grade de Professeur, et sur instructions de Son Excellence, Professeur Faustin-Archange TOUADERA, Président de la République, Chef de l’État, Chef suprême des Arts et des Lettres, le même dossier du candidat Alexis N’DUI-YABELA, injustement examiné l’année dernière, a été expédié à certains Professeurs-agrégés de Droit public et en Science politique de l’espace CAMES, notamment ceux du Cameroun pour recueillir leurs avis sur le même dossier.
Après une analyse minutieuse, pénétrante, objective et impartiale du même dossier de candidature présenté par le candidat Alexis N’DUI-YABELA, analyse concernant aussi bien la forme que le fond du dossier de candidature, et contrairement à « l’avis défavorable » émis l’année dernière par la Professeure Danièle DARLAN, lequel « avis défavorable » avait été publié, par inadvertance, sur les réseaux sociaux, les Professeurs-agrégés de Droit public et en Science politique du CAMES ont, quant à eux, jugé que le dossier de candidature de l’impétrant Alexis N’DUI-YABELA remplissait bel et bien toutes les conditions légales[3] et réglementaires[4] pour son avancement au grade supérieur. En conséquence, ces Professeurs-agrégés du CAMES ont émis un « avis favorable » sur sa demande d’avancement au grade de Professeur de Droit public et de Science politique. C’est sur la base de cet avis provenant de l’extérieur que le Conseil d’Université a pu se prononcer favorablement pour le passage du candidat Alexis N’DUI-YABELA au grade de Professeur.
Pour votre sous information, Monsieur le directeur de publications de Corbeau news-Centrafrique, dans l’histoire de l’Université de Bangui, et notamment dans l’histoire des travaux du Conseil de ladite Université, c’est vraiment du jamais vu, voire une situation totalement inédite. En effet, c’est pour la première fois qu’une demande introduite dans le cadre d’un avancement purement interne à un grade supérieur a été examinée puis validée à l’extérieur du pays pour le compte des travaux du Conseil d’Université de Bangui. Comme cela a été retranscrit dans un passage évangélique, « Nul n’est effectivement prophète en son pays[5] ». Qu’à cela ne tienne ! La messe étant désormais dite par les membres du dernier Conseil d’Université de Bangui, le directeur de publications de Corbeau news-Centrafrique, un journaliste aigri, dont certains[6] ignorent encore totalement son véritable sexe, à savoir le prétendu « Dr Alain Nzilo », alias Gisèle MOLOMA, qui frétillait de joie au vu de « l’avis défavorable » émis l’année dernière par la Professeure Danièle DARLAN sur le dossier du candidat Alexis N’DUI-YABELA, ne devrait-il pas tout simplement, en ce deuxième dimanche du mois de septembre 2023, consacré à la commémoration de la disparition du Professeur Frédéric OZANAM, Président Fondateur de la Société de Saint-Vincent-de-Paul, s’orienter vers le confessionnal de l’église de la petite commune de son lieu de résidence, aux fins d’y expier son péché mignon de super menteur en ligne ou de faire son mea culpa envers le Professeur Alexis N’DUI-YABELA, membre de la Conférence Saint-Vincent-de-Paul?
En effet, Monsieur le journaliste transsexuel, travelo ou hermaphrodite Alain Nzilo alias Gisèle MOLOMA, sur votre site de désinformation en ligne[7], vous aviez publié l’an dernier (exactement le 16 octobre 2022) et ce dans un français approximatif, un torchon intitulé : « Alexis NDUI YABELA, l’environnementaliste et le faux constitutionnaliste coincé par la professeur Danièle DARLAN pour le grade de Professeur ». En tant qu’enseignant-chercheur, le désormais Professeur Alexis N’DUI-YABELA ne voulait nullement, à l’instar de certains de ses compatriotes[8], exercer dans l’immédiat un droit de réponse à votre torchon du 16 octobre 2022. Car, selon les Saintes Écritures, « il y a un moment pour tout et un temps pour chaque chose sous le ciel[9] » : il y a effectivement un temps pour les mensonges du directeur de publications de Corbeau news-Centrafrique, tout comme il y a également un temps pour la manifestation de la vérité sur les mensonges de ce dernier.
Ainsi, à l’issue d’une période d’investigation, il a été donné au Professeur Alexis N’DUI-YABELA de rechercher puis de vérifier que loin d’être une Gisèle MOLOMA, le directeur de publications de Corbeau news-Centrafrique est plutôt un pseudo journaliste d’investigation du sexe masculin[10], connu sous le nom d’Alain Nzilo, la vraie désignation onomastique qui figure sur son acte de naissance.
Monsieur le directeur de publications de Corbeau news-Centrafrique, si vous étiez effectivement une Gisèle MOLOMA, le désormais Professeur Alexis N’DUI-YABELA se serait immédiatement posé la question de savoir si vous n’aviez pas été, par hasard, mal baisée au petit matin du 16 octobre 2022 pour écrire des inepties en son nom. Mieux encore, si vous étiez effectivement une Gisèle MOLOMA, souffrant manifestement d’une maladie d’amour pour le Professeur Alexis N’DUI-YABELA, ce Professeur vous aurait volontiers suggéré ou conseillé de bien vouloir réécouter la thématique intitulée « La sexualité sans pénétration[11] », animée par le Docteur Catherine SOLANO dans le cadre de l’émission « Priorité santé » sur les ondes de la radio France internationale (RFI), pour de précieux conseils relatifs à votre excès de maladie d’amour pour le Professeur Alexis N’DUI-YABELA.
Malheureusement, Monsieur le directeur de publications de Corbeau news-Centrafrique, en publiant vos torchons sous différents pseudonymes, vous vous êtes vous-même fait passer pour un journaliste transsexuel, travelo ou hermaphrodite. Cependant, que vous soyez Gisèle MOLOMA, Alain Nzilo ou encore Patrick Delemet, pour quel mobile inavoué vous en prendre gratuitement, voire idiotement au Professeur Alexis N’DUI-YABELA en le qualifiant de « faux constitutionnaliste coincé par la professeur Danièle Darlan » ? Madame la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, à compter de la lecture du droit de réponse publié ce jour par le Professeur Alexis N’DUI-YABELA, apprenez pour toute votre misérable vie de pseudo journaliste d’investigation cette belle leçon de chose ci-après de Chinua ACHEBE, l’une des grandes figures de la littérature négro-africaine : le tigre ne proclame jamais sa « tigritude », mais il bondit tout simplement sur sa proie.
Ainsi, tout en assimilant votre torchon du 16 octobre 2022 à une copie d’évaluation de connaissances de ses étudiants de première année de Licence en droit, notamment dans le cadre de leur matière fondamentale de « droit constitutionnel », le Professeur Alexis N’DUI-YABELA ne s’empêchera jamais et en aucune façon de recourir à son stylo rouge, et ce autant que faire se peut ou encore aussi longtemps que la soi-disant Gisèle MOLOMA persévèrera à écrire des inepties en son nom, pour de sévères corrections de forme et fond sur n’importe quel torchon consacré à sa modeste personne. Le Professeur Alexis N’DUI-YABELA est tout à fait conscient que ce n’est nullement pas pour la première fois que la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo tente de jeter du discrédit sur sa personne.
En effet, à l’époque où le Professeur Alexis N’DUI-YABELA fut encore Directeur Général de l’École nationale d’administration et de magistrature (ENAM), et non « ancien SG[12] de l’ENAM» (selon le super menteur Alain Nzilo), et tout en faisant abstraction de la clôture édifiée autour de cette grande École de formation des fonctionnaires et agents de l’État sous l’autorité ou le magistère de l’ancien Directeur Général de l’ENAM, laquelle clôture de l’ENAM avait suscité et continue de susciter encore l’admiration de toutes les personnes habitant le territoire centrafricain, la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo avait publié dans les colonnes de l’un des quotidiens de la place un torchon aussi bien provocateur qu’aguicheur intitulé : « L’ENAM Bangui, la malversation en bande organisée plombe toutes les réformes souhaitées[13] ».
Persuadé que la soi-disant Gisèle MOLOMA était effectivement de sexe faible, et par excès de galanterie, l’ancien Directeur Général de l’ENAM s’était abstenu de réagir à ses idiotes et aguichantes provocations. Cependant, étant donné que la soi-disant Gisèle MOLOMA est désormais démasquée, l’ancien Directeur Général de l’ENAM a décidé de quitter sa galanterie légendaire pour se comporter en Professeur de Droit et Science politique, uniquement guidé par les obligations d’impartialité, de neutralité et surtout par le principe de non-discrimination entre journalistes de sexe fort et journalistes de sexe faible. Selon une formule appropriée, des alcoolorésistants, comme le directeur de publications de Corbeau news-Centrafrique, ne rabâchent-ils pas assez souvent autour d’une table de beuverie que « Tout bois prend feu » pour consommer autant de bouteilles de boissons alcoolisées?
Ainsi, Madame la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, après une correction très sévère de votre torchon du 16 octobre 2022 intitulé « Alexis NDUI YABELA, l’environnementaliste et le faux constitutionnaliste coincé par la professeur Danièle DARLAN pour le grade de Professeur » et bien d’autres encore[14], dont vous êtes personnellement auteur sous différents sobriquets, il se dégage grosso modo les annotations ci-après du Professeur Alexis N’DUI-YABELA : « Madame la soi-disant Gisèle MOLOMA, alias Alain Nzilo est non seulement le plus idiot des journalistes d’investigation du monde entier, mais en outre, ce directeur de publications ne maîtrise absolument pas du tout les techniques élémentaires d’investigation aux fins de fournir des informations fiables et dignes de foi à ses lecteurs.
En effet, de manière amnésique, ce plus idiot des journalistes d’investigation du monde entier se perd assez souvent dans des conjectures et supputations imprécises non seulement sur des autorités centrafricaines, mais aussi sur des personnalités étrangères dont certaines d’entre elles ne sont plus de ce monde[15]. » Pour ce qui est particulièrement des autorités centrafricaines, il en allait ainsi de vos idiotes supputations et conjectures de l’année dernière relatives : d’une part, à une présupposée évacuation sanitaire au Rwanda[16] de Son Excellence, Monsieur le Président de la République, Chef de l’État, démenties[17] par le porte-parole de la présidence de la République et, d’autre part, aux cinq membres du Gouvernement Félix MOLOUA soupçonnés de viol et d’esclavage sexuels aggravés à Yem Yelewa[18]. Fort heureusement, ce soupçon éhonté de la soi-disant Gisèle MOLOMA avait été énergiquement démenti et balayé du revers de la main aussi bien dans la langue de Shakespeare[19] que dans celle de Molière[20] par le Ministre ISSA BI, Lamido de Yem-Yelewa. Peu avant le référendum constitutionnel du 30 juillet 2023, poussant encore plus loin le bouchon de la médiocrité de ses torchons, Madame la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo a idiotement dévoilé lui-même son vrai visage, en publiant cette fois-ci sous son vrai patronyme un autre torchon intitulé « Le ‘’soi-disant Professeur Alexis NDUI-YABELA : Une pure divagation intellectuelle inédite sur la réforme constitutionnelle de Touadera[21] ».
Sans conteste, Madame la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, notre défunt président Ange Félix PATASSE avait parfaitement raison, lorsqu’il attirait l’attention de ses compatriotes Centrafricains sur des super menteurs comme le directeur de publications de Corbeau news-Centrafrique à travers cette belle métaphore : le mensonge se propage ou se divulgue à une vitesse inouïe, à une vitesse de croisière, voire à une vitesse vertigineuse ; mais la vérité, quant à elle, avance à petits pas, rattrape le mensonge et lui assène une taloche bien appliquée sur le crâne ou sur le front. C’est le cas des mensonges publiés assez souvent par le directeur de publications de Corbeau news-Centrafrique sur son site de désinformation en ligne. Cependant, convient-il de le souligner, obnubilé uniquement par le souci de mentir en toute occasion, ce pauvre directeur de publications ne se donne même pas la peine de lire les commentaires acerbes de certains internautes sous quelques-uns de ses torchons.
Comme notre pauvre directeur de publications de Corbeau news-Centrafrique refuse délibérément de lire les commentaires composés sous ses propres torchons, le Professeur Alexis N’DUI-YABELA ne saurait résister au plaisir non seulement de les extirper du subconscient de ce directeur de publications, mais aussi et surtout de les porter à la plus haute attention de ses fidèles lecteurs. En bref, voici la teneur exacte des commentaires composés de certains internautes vraiment exténués par les torchons comportant la signature de la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo : « Je n’ai plus envie de vous lire parce que vous soutenez à vive voix des actes odieux de la rébellion, les actions de la France au détriment du gouvernement. Certes qu’il y a des failles mais aussi de bonnes actions que vous ne soulevez jamais. Qui vous paie sincèrement[22] ? » ; « Au corbeau news, nous avons affaire à des abrutis, des aliénés mentaux qui ne savent que mentir pour défendre leur maître[23] » ; « Corbeau New tu peux nous laisser vivre sur notre sol en paix ? Donne l’information à tes parents impérialistes SVP[24]. » ; « Corbeau News vous êtes anti Touadera ? Vous publiez trop de mensonges au nom du gouvernement pourquoi ????J’ai pitié de vous[25]. »
Chers fidèles lecteurs du nullissime journal en ligne de la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, est-il vraiment nécessaire de se livrer encore à un commentaire composé de ces commentaires composés assez limpides et fort décapants relatifs aux différents torchons régulièrement publiés par le directeur de publications de Corbeau news-Centrafrique sur son site de désinformation en ligne ?
Loin de s’y attarder outre mesure, le Professeur Alexis N’DUI-YABELA a plutôt pris la ferme résolution de s’appuyer sur la lumineuse métaphore évoquée ci-dessus de notre regretté président Ange Félix PATASSE pour mieux exercer son droit de réponse à la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo ou Patrick Delemet. Dans les lignes qui suivent, le Professeur Alexis N’DUI-YABELA s’emploiera, dans un premier temps, à démontrer par A+B aux fidèles lecteurs de Corbeau news-Centrafrique, en quoi la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo est le plus idiot des journalistes d’investigation du monde entier (I). Puis, dans un second temps, le même Professeur de Droit et Science politique tâchera de prouver que la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo est un pseudo journaliste se complaisant de manière amnésique dans des conjectures et supputations imprécises non seulement sur des autorités centrafricaines, mais aussi sur des personnalités étrangères[26] (II).
I/ La soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, le plus idiot des journalistes d’investigation du monde entier
Madame la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, en quoi êtes-vous le plus idiot des journalistes d’investigation du monde entier? Vous êtes le plus idiot des journalistes d’investigation du monde entier pour deux raisons essentielles : Primo, vous n’avez totalement rien compris, mais absolument rien compris des conséquences juridiques qui pouvaient être tirées de la publication sur les réseaux sociaux de « l’avis défavorable » émis l’année dernière par la Professeure Danièle DARLAN sur la demande d’avancement du candidat Alexis N’DUI-YABELA au grade de Professeur (A). Secundo, en qualifiant cet enseignant-chercheur d’ « environnementaliste » et de « faux constitutionnaliste », vous ne faites preuve d’aucune imagination en tant que directeur de publications d’un journal en ligne. En réalité, vous vous contentez de répéter moutonnement[27] des propos imprudents et maladroits d’un ancien premier candidat à l’élection présidentielle de 2020 en République centrafricaine (B).
1.L’incompréhension totale et absolue du directeur de publications de Corbeau news des conséquences juridiques qui pouvaient être tirées de la publication sur les réseaux sociaux de « l’avis défavorable » de l’année dernière sur la demande d’avancement du candidat Alexis N’DUI-YABELA au grade de Professeur
Monsieur le directeur de publications de Corbeau news-Centrafrique, le plus idiot des journalistes d’investigation, comme vous n’avez effectivement rien compris de la publication, l’année dernière, de « avis défavorable » de la Professeure Danièle DARLAN sur les réseaux sociaux, en tant qu’enseignant-chercheur de l’Université de Bangui, le Professeur Alexis N’DUI-YABELA ne saurait vous abandonner dans votre ignorance atavique, congénitale, voire ethnique. Autrement, vous risqueriez de confiner à jamais les membres de votre ethnie dans une situation de prisonnier de la caverne, mais vraiment de prisonniers « à vie » de la caverne.
D’entrée de jeu, Monsieur le directeur de publications de Corbeau news-Centrafrique, permettez au Professeur Alexis N’DUI-YABELA de vous poser une question de simple curiosité : en tant que journaliste d’investigation, avez-vous vraiment parcouru attentivement « l’avis défavorable » émis l’année dernière par la Professeure Danièle DARLAN sur la demande d’avancement du candidat Alexis N’DUI-YABELA au grade de Professeur avant de publier votre torchon du 16 octobre 2022 ? Même si vous avez lu cet avis défavorable à la sauvette, ne vous êtes-vous point posé, en une seule fraction de seconde, la question idiote suivante : selon votre intime conviction, qui aurait eu le malin plaisir de publier l’année dernière le soi-disant « avis défavorable » sur les réseaux sociaux ? Dans la mesure où un tel avis devait être conservé sous le sceau du « secret professionnel », cher à certains spécialistes[28] du droit de la fonction publique, pour quelle raison ce document hautement confidentiel s’était-il baladé sur les réseaux sociaux, jusqu’à atterrir dans les mains sales et impures de la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo ?
Madame la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, le plus idiot des journalistes d’investigation du monde entier, ayant été l’un des étudiants de la Professeure Danièle DARLAN, puis son collègue enseignant-chercheur, voire son supérieur hiérarchique pendant un certain temps[29], le Professeur Alexis N’DUI-YABELA maîtrise parfaitement le style oral et rédactionnel de cette Professeure de droit public. Comme n’avez rien compris de la publication sur les réseaux sociaux d’un document confidentiel, le Professeur Alexis N’DUI-YABELA se permet de porter à votre piètre connaissance que le soi-disant « avis défavorable » de l’année dernière, objet de votre excessive jubilation, n’avait pas été rédigé par la Professeure Danièle DARLAN. Cet avis défavorable a été rédigé par un autre évaluateur, en qui la Professeure Danièle DARLAN avait aveuglement placé sa confiance.
Ayant en effet profité du fait que la Professeure Danièle DARLAN était débordée ou submergée l’année dernière par l’examen de ridicules[30] requêtes en inconstitutionnalité des actes administratifs unilatéraux du Président de la République, cet autre évaluateur avait soumis à sa signature, un peu à la sauvette, un avis contraire à sa volonté. En effet, ne reprochant absolument rien du tout, et ce sur le plan académique, au candidat Alexis N’DUI-YABELA, dont elle avait elle-même et de son propre chef proposé le nom au poste de Directeur Général de l’ENAM, la Professeure Danièle DARLAN n’avait pas eu le temps de parcourir attentivement le document soumis à sa signature par cet autre évaluateur-abuseur de sa confiance pour nuire particulièrement au candidat Alexis N’DUI-YABELA.
Pour votre idiote gouverne, Monsieur le directeur de publications de Corbeau news-Centrafrique, même le regretté Joseph YAKITE, ancien appariteur de la Faculté des sciences juridiques et politiques (FSJP) de l’Université de Bangui, avait douté de son vivant de « l’avis défavorable » de la Professeure Danièle DARLAN sur le dossier du candidat Alexis N’DUI-YABELA en ces termes, et ce en langue nationale et officielle de notre cher et beau pays. Le Professeur Alexis N’DUI-YABELA se permet de retranscrire à peu près ici, dans la langue de Molière, les propos de ce regretté personnel d’appui de la FSJP : « Monsieur le Conseiller, J’ai appris que Madame DARLAN a émis un avis défavorable sur votre dossier d’avancement au grade de professeur. Je n’en suis vraiment pas très sûr. Car ce que je sais, c’est que DEMBA et toi, Madame Danièle DARLAN vous estime et vous apprécie beaucoup. Je ne suis vraiment pas sûr que ce soit elle qui ait pu apprécier négativement votre dossier de candidature au grade de professeur. Je sais qui vous en veut particulièrement. » Et en en tant que doyen du personnel d’appui de la FSJP, notre regretté ancien appariteur avait même dévoilé l’identité exacte de l’évaluateur-abuseur de confiance de la Professeur Danièle DARLAN. Selon l’intime conviction de notre regretté appariteur Joseph YAKITE, c’est depuis belle lurette que cet évaluateur-abuseur de confiance bien identifié cherche toujours à « coincer » le candidat Alexis N’DUI-YABELA dans son avancement en grade par la voie régulière.
Madame la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, le plus idiot des journalistes d’investigation du monde entier, comme vous avez l’air de ne rien comprendre du tout, qu’il me soit permis de vous faire remarquer que dans la prime jeunesse du Professeur Alexis N’DUI-YABELA, son défunt grand-père maternel ne cessait de lui répéter en patois, et ce dans certaines situations assez délicates, le dicton ci-après d’une profonde sagesse : « Gaza ing fèt, Gaza tona ». Et n’ayant jamais fréquenté l’école, mais n’ayant été pendant longtemps que manœuvre et gardien de résidence des anciens colons, le défunt grand-père du Professeur Alexis N’DUI-YABELA traduisait lui-même en français son propre dicton de la manière suivante : « Gaza connaît, Gaza dit pas » ; ce qui signifie en français facile pour le directeur de publications de Corbeau news-Centrafrique : « Gaza est au courant de tout ce qui se trame autour de lui ou de tout que ses farouches conspirateurs mijotent dans l’ombre, mais il ne dit rien ».
En d’autres termes, non seulement le Professeur Alexis N’DUI-YABELA s’est déjà fait une idée exacte sur cet évaluateur-abuseur de confiance de la Professeure Danièle DARLAN, mais en outre le Professeur Alexis N’DUI-YABELA connaît parfaitement bien le mobile profond de ses agissements. Mais conscient du fait que « toute vérité n’est pas bonne à dire » et ayant placé entièrement sa confiance en Dieu notre Père Tout Puissant qui est aux cieux, le Professeur Alexis N’DUI-YABELA tient à rendre grâce au Seigneur pour avoir fait en sorte que les manœuvres diaboliques ourdies l’année dernière contre son avancement au grade de Professeur soient rendues publiques sur les réseaux sociaux. C’est ici le lieu d’attirer, et ce avec force, l’attention de cet évaluateur-abuseur de confiance de notre collègue Danièle DARLAN sur un autre dicton du défunt grand-père maternel du Professeur Alexis N’DUI-YABELA : « Deux fois deux fois ne rentre pas dans la nasse de TÔ ». Monsieur le directeur de publications de Corbeau new-Centrafrique, si vous n’y pigez que dalle, cet autre dicton se rapproche à peu près d’une importante maxime latine bien connue de tous les journalistes du monde entier, à savoir la célèbre maxime errare humanum est, sed perseverare diabolicum est.
Toujours pour votre idiote gouverne, Madame la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, le plus idiot des journalistes d’investigation du monde entier, l’article 19 du décret fixant les conditions particulières applicables au cadre de l’enseignement supérieur, lequel article a bel et bien été mentionné l’année dernière dans l’avis de ‘’coinçage[31]’’ du candidat Alexis N’DUI-YABELA par notre fameux évaluateur-abuseur de confiance de la Professeure Danièle DARLAN, se termine par le mot « mémoires », et non par le mot « Faculté ». De surcroît et dans sa version originale, cet article 19 ne comporte aucun autre alinéa après le petit c), comme cela transparaît idiotement sur la première page du soi-disant « avis défavorable » de la Professeure Danièle DARLAN. Voici donc en gras la teneur exacte dudit article 19:
« Peuvent être promu au grade de professeur :
À la faculté de Droit et des Sciences Économiques et à l’Institut Universitaires de Gestion des Entreprises, les candidats :
- Ayant trois (3) années révolus d’ancienneté dans les fonctions de Maître de conférences ;
- Ayant dirigé ou codirigé jusqu’à la soutenance au moins une thèse de doctorat ou ayant dirigé au moins quatre (4) mémoires de DEA ;
- Justifiant de trois publications au moins dans des revues à comité de lecture ou de six publications au moins, en cas d’absence de direction de thèse ou de mémoires. »
Madame la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, le plus idiot des journalistes d’investigation du monde entier, comme vous l’avez vu, de vos propres yeux vu, l’article 19 du décret susmentionné ne se termine nullement par le mot « Faculté », tel que mentionné inintelligemment dans le soi-disant « avis défavorable » de la Professeure Danièle DARLAN. Force est ici de signaler que les rédacteurs du décret de 2006 avaient pris soin de verrouiller hermétiquement cet article 19 au niveau du mot « mémoire » par une signature abrégée, appelée administrativement « paraphe ». Et ce paraphe se retrouve sur toutes les pages du décret présidentiel de 2006. Or, sur « l’avis défavorable » de l’année dernière relatif au dossier du candidat Alexis N’DUI-YABELA au grade de Professeur, apparaissent curieusement deux autres alinéas imaginaires qui ne figurent même pas sous le petit c) de l’article 19 du décret du 10 mai 2006, décret au bas duquel l’ancien Président de la République, le Général François BOZIZE YANGOUVONDA, avait apposé son auguste signature. Fruit d’une falsification délibérée aux fins de « coincer » idiotement le candidat Alexis N’DUI-YABELA, ces deux alinéas imaginaires et superfétatoires, sans faire allusion à « l’Institut Universitaire de Gestion des Entreprises », avaient été frauduleusement et sottement rajoutés, et ce, au-delà du paraphe et dans un français approximatif, ainsi qu’il suit :
« Quatre (4) publications au moins de la spécialité dans des revues à comité de lecture ;
Une (1) direction ou codirection de thèse au moins attestée par le Doyen la Faculté. »
À ce stade de perversité dont le fameux évaluateur-abuseur de confiance de la Professeure Danièle DARLAN a fait montre, une question de fond mérite d’être posée à Madame la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, le plus idiot des journalistes d’investigation du monde entier : Madame la soi-disant Gisèle MOLOMA, plutôt que de vous frétiller de joie l’année dernière au vu de « l’avis défavorable » émis sur la demande d’avancement au grade de Professeur du candidat Alexis N’DUI-YABELA, n’étiez-vous point consciente du caractère extrêmement grave de la dénaturation frauduleuse de la substance même des dispositions de l’article 19 du décret présidentiel de 2006, décret faisant office du statut particulier des enseignants du supérieur ?
Monsieur le directeur de publications de Corbeau news-Centrafrique, le plus idiot des journalistes du monde entier, si vous n’en avez eu aucune idée, il s’agit d’un délit extrêmement grave de faux en écriture publique ou authentique, lequel délit est sévèrement réprimé par les dispositions des articles 351 à 353 du Code pénal centrafricain. Le comble de votre idiotie, chère madame la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, c’est qu’en frétillant de joie l’année dernière au vu de « l’avis défavorable » relatif au dossier d’avancement au grade de Professeur du candidat Alexis N’DUI-YABELA, avis défavorable comportant signature et paraphe en bonne et due forme de la Professeure Danièle DARLAN, vous ne vous étiez même pas rendu compte que l’impétrant Alexis N’DUI-YABELA disposait et dispose encore d’une preuve irréfragable pour intenter une action en justice contre la Professeure Danièle DARLAN pour « Des faux en écritures publiques ou authentiques ».
De surcroit et pour combler vos béantes lacunes en matière d’investigation, Monsieur le directeur de publications de Corbeau news-Centrafrique, l’article 3 de la décision rectorale « Complétant la procédure de traitement des dossiers de recrutement, d’avancement et de reversement à l’Enseignement supérieur », n’exige nullement un curriculum vitae (CV) pour les dossiers de « promotion ». En revanche, cette pièce est exigée à l’article 2.3 de la même décision pour « Tout dossier de recrutement et de reversement ». Madame la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, le plus idiot des journalistes d’investigation du monde entier, d’après vous, le mot « promotion » est-il synonyme des mots « recrutement » ou « reversement »? C’est vous dire en clair que le motif avancé l’année dernière sur l’avis de ‘’coinçage’’ de l’impétrant Alexis N’DUI-YABELA, motif selon lequel « le candidat n’a pas joint de CV[32] » est non seulement une preuve d’interprétation erronée et fantaisiste de la décision rectorale par l’évaluateur-abuseur de confiance de la Professeure Danièle DARLAN, mais une « erreur manifeste d’appréciation[33] », pouvant même se transformer en une circonstance aggravante de la dénaturation du droit positif centrafricain.
Monsieur le directeur de publications de Corbeau news-Centrafrique, au cas où vous seriez au dernier degré de l’idiotie, qu’il me soit permis de vous signaler que les sanctions pénales, auxquelles cet évaluateur-abuseur de confiance a exposées, par inadvertance ou à la manière d’ « Un Monsieur Jourdain[34] », la Professeure Danièle DARLAN, oscillent entre « travaux forcé à temps » et « cinq à dix ans d’emprisonnement et d’une amende de 100.002 à 4. 000.000 de francs » CFA. Madame la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, le plus idiot des journalistes du monde entier, en écrivant sottement dans votre torchon du 16 octobre 2022 que le candidat Alexis N’DUI-YABELA « […] essaie de contourner cet avis négatif en sollicitant un avis contraire de la part du professeur Augustin KONGATOUA KOSSONZO […] », voulez-vous de ce pas inciter le Professeur Alexis N’DUI-YABELA à déposer immédiatement plainte contre la Professeure Danièle DARLAN en vue de la manifestation de la vérité ? Non. Encore une fois de plus et par respect pour la Professeure Danièle DARLAN, que son désormais homologue considère et considèrera toujours comme sa mère intellectuelle et professionnelle, le Professeur Alexis N’DUI-YABELA n’intentera aucune action en justice contre l’ancienne Présidente de la Cour constitutionnelle. Chrétien de père, de mère et de grand-père, le Professeur Alexis N’DUI-YABELA ne saurait imaginer un seul instant son ancien Professeur et son ancien collègue Danièle DARLAN jouir d’une partie de sa retraite méritée en prison ! Il faut être notre fameux évaluateur-abuseur de confiance, animé par l’esprit de Belzébul, le chef des démons, pour déposer plainte contre la Professeure Danièle DARLAN.
Monsieur le directeur de publications de Corbeau news-Centrafrique, non seulement vous n’aviez rien compris, l’année dernière, de la publication sur les réseaux sociaux de l’avis défavorable relatif à la demande d’avancement du candidat Alexis N’DUI-YABELA au grade de Professeur, mais en outre, poussant plus loin le bouchon de la médiocrité de vos torchons, vous répéter moutonnement dans votre torchon du 16 octobre 2016, les propos imprudents et maladroits de l’ancien premier candidat à la dernière élection présidentielle.
1.La répétition moutonnière des propos imprudents et maladroits de l’ancien premier candidat à la dernière élection présidentielle par la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, directeur de publications de Corbeau news-Centrafrique
Madame la soi-disant Gisèle MOLOMA, pour rafraichir votre mémoire de paramécie d’eau douce, dans la perspective d’un vide institutionnel consécutif à la crise sanitaire du Coronavirus, certains députés centrafricains de la 6e législature avaient initié une proposition de révision constitutionnelle tendant à proroger non seulement leur mandat mais aussi celui du Président de la République sur le fondement de l’article 156 de la Constitution du 30 mars 2016. En tant que constitutionnaliste et cadre du parti politique au pouvoir (le Mouvement Cœurs Unis), le Professeur Alexis N’DUI-YABELA s’y était farouchement opposé en écrivant ce qui suit ; et je me cite moi-même : « Si l’article 156 de la Constitution confère à l’Assemblée Nationale de ce pays l’exercice de ‘’la totalité du Pouvoir Législatif’’, en attendant la mise en place du Sénat, cet article ne confère pas pour autant à cette chambre basse la totalité du ‘’pouvoir constituant’’. Or, à lire, d’une part, l’exposé des motifs évoqué ci-dessus et à suivre, d’autre part, les argumentaires avancés par les initiateurs de la révision constitutionnelle, l’on a effectivement comme impression que dans leur entendement le pouvoir constituant n’existe pas[35]. Et pourtant, dans leur grande majorité, les constitutionnalistes font une distinction[36] entre ‘’Pouvoir législatif’’ et ‘’Pouvoir constituant’’. Cette distinction se retrouve également dans la Constitution centrafricaine de 2016, notamment au niveau de ses ‘’Titre IV’’ et ‘’Titre XV’’ consacrés respectivement au ‘’Pouvoir Législatif’’ et au ‘’Pouvoir constituant de révision[37]’’. » (Fin de ma propre citation).
En réaction à mes critiques acerbes contre les parlementaires de ma propre formation politique (le Mouvement Cœurs Unis) et animé par le seul souci de se frayer un chemin pour un portefeuille ministériel, l’ancien premier candidat à l’élection présidentielle avait développé des idées tout à fait contraires à la thèse du Professeur Alexis N’DUI-YABELA en écrivant dans un style parfois tautologique ce qui suit : « […] il a fait une interprétation hasardeuse de la Constitution du 30 mars 2016 en défendant l’indéfendable, en tentant de justifier gauchement un droit bidon pour les parlementaires d’initier une proposition de révision de l’article 35 de la Constitution, ce qui est formellement interdit par l’article 153. Son article est trop long kilométrique, avec une orientation partisane et narcissique, destinée à plaire au Président Touadera et aux Parlementaires Mathurin Dimbele et Jean Symphorien Mapenzi […] » Et pourtant, les analyses du Professeur Alexis N’DUI-YABELA avaient essentiellement pour but de répondre aux préoccupations légitimes de cet ancien premier candidat à la dernière élection présidentielle. Concluant en effet ses réflexions sur l’impossibilité d’organiser à bonne date les élections groupées de 2020, ce premier candidat avait interpellé les constitutionnalistes en ces termes : « Naturellement les éminents juristes et constitutionnalistes doivent se réunir pour débattre des contours juridiques et faire des propositions[38]. »
N’ayant évidemment pas bien lu, ni bien compris le contenu des lumineuses analyses du Professeur Alexis N’DUI-YABELA, l’ancien premier candidat à la dernière élection présidentielle avait carrément déclenché à son endroit cette autre réaction épidermique : « Je demande ici solennellement à Dr Alexis NDUI YABELA d’être humble comme tout intellectuel, de cesser de s’arroger la qualité de Constitutionnaliste. Je le mets ici au défi d’en démontrer le contraire. Qu’il reconnaisse et dise aux étudiants de l’Université de Bangui et aux autorités publiques qu’il est plutôt environnementaliste c’est-à-dire un spécialiste du droit international de l’environnement. »
Madame la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, directeur de publications de Corbeau news-Centrafrique, alors qu’il n’existe aucune thèse de Doctorat exclusivement consacrée au « Droit constitutionnel » dans les universités françaises, l’ancien premier candidat à l’élection présidentielle de 2020 avait poursuivi ses invectives gratuites à l’endroit du Professeur Alexis N’DUI-YABELA en ces termes : « Il n’a jamais fait une Thèse en Droit constitutionnel. Il a en effet préparé et soutenu sa Thèse de Doctorat de l’Environnement, en 2005, à l’Institut du droit de la Paix et du Développement de l’Université de Nice, sous la direction d’Alain PIQUEMAL, sur le thème ‘’La contribution internationale à la sauvegarde des ressources naturelles en Afrique Centrale’’ », une thèse de 550 pages dont cet ancien candidat à l’élection présidentielle de 2020 avait lui-même rappelé le résumé.
Madame la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, le plus idiot des journalistes d’investigation du monde entier, à partir du moment où l’ancien premier candidat à la dernière élection présidentielle n’est ni titulaire d’un quelconque Doctorat, ni membre du corps académique de l’Université de Bangui, il faut être effectivement ‘’une Gisèle MOLOMA’’ alias Alain Nzilo, directeur de publications de Corbeau news-Centrafrique, pour croire aux élucubrations de cet ancien premier candidat à la dernière élection présidentielle sur le profil académique du Professeur Alexis N’DUI-YABELA. C’est d’ailleurs au bénéfice du fort tropisme de la soi-disant Gisèle MOLOMA à vouloir se focaliser uniquement sur des élucubrations liées à la période de campagne électorale de 2020 que le Professeur Alexis N’DUI-YABELA, en sa qualité d’enseignant-chercheur de rang magistral, a été d’une grande sévérité dans ses observations, en traitant notamment la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo d’un journaliste se complaisant de manière récurrente et amnésique dans des conjectures et supputations imprécises sur des personnalités centrafricaines et étrangères.
II/ Madame la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, un journaliste se complaisant de manière récurrente et amnésique dans des conjectures et supputations imprécises sur des personnalités centrafricaines et étrangères
Selon les enseignements que le Professeur Alexis N’DUI-YABELA retient encore du cours de « communication politique », alors qu’il était encore étudiant en Master 1 de Science politique à la Faculté de Droit et de Science politique de l’Université de Nice Sophia Antipolis, un vrai ou une vraie journaliste d’investigation doit être un chasseur ou une chasseuse d’informations. Pour ce faire, le recours à des méthodes quantitatives et qualitatives de collecte des données s’avère indispensable pour la livraison des informations objectives et dignes de foi. Or, cette démarche scientifique ne figure nullement au cœur de la démarche de la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, le plus idiot des journalistes d’investigation du monde entier. Le plus souvent notre soi-disant Gisèle MOLOMA se perd dans des conjectures sur certaines personnalités centrafricaines, voire étrangères.
En guise d’illustration, sans avoir pris la peine de lire le « droit de réponse[39] » du Professeur Alexis N’DUI-YABELA à l’ancien premier candidat à l’élection présidentielle de 2020, la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, le plus idiot des journalistes d’investigation du monde entier, s’est livré à une désinformation totale des lecteurs de son affreux journal en ligne sur la véritable spécialité du Professeur Alexis N’DUI-YABELA (A). De même, sans avoir pris connaissance du décret fixant les conditions particulières applicables aux enseignants du supérieur de la RCA, la soi-disant Gisèle MOLOMA a divulgué des informations fantaisistes sur la procédure d’avancement au grade de Professeur (B). À défaut de se procurer ledit décret, notre pauvre journaliste transsexuel ou hermaphrodite aurait dû néanmoins consulter au préalable le collègue Bertrand KENGUETONA, Secrétaire Général de l’Université de Bangui pour des informations rapides sur la procédure d’avancement des enseignants du supérieur. Malheureusement, il n’en avait rien été. La soi-disant Gisèle MOLOMA a préféré verser dans des conjectures et supputations imprécises.
1.La désinformation des lecteurs du Corbeau news-Centrafrique sur la véritable spécialité du Professeur Alexis N’DUI-YABELA
Madame la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, le plus idiot des journalistes d’investigation du monde entier, si vous aviez au moins pris la peine de lire mon long droit de réponse à l’ancien premier candidat à la dernière élection présidentielle, vous auriez évité de répéter moutonnement un compatriote qui n’est ni titulaire de Doctorat, ni membre du corps académique de l’Université de Bangui. Conscient du fait que l’ancien premier candidat à la dernière élection présidentielle ne savait absolument rien du tout sur le cursus universitaire du Professeur Alexis N’DUI-YABELA, ce Professeur n’avait pas hésité à lui faire une brève présentation de son long cursus universitaire. Malheureusement, ceux qui, comme la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo le plus idiot des journalistes d’investigation, n’ont pas lu ce droit de réponse qui date de 2020, continuent à semer une confusion idiote sur la spécialité assez éclectique du Professeur Alexis N’DUI-YABELA. La répétition étant la mère des sciences, en tant qu’enseignant-chercheur de rang magistral, le Professeur Alexis N’DUI-YABELA ne se lassera point de dissiper, autant que faire se peut, les confusions tendant à entacher son long et exceptionnelle cursus universitaire qui s’était déroulé en deux temps : avant et après l’obtention de son Doctorat en Droit.
Ainsi, pour votre sous-information, Madame la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Nzilo, le plus idiot des journalistes d’investigation du monde entier, avant l’obtention de son Doctorat en Droit « Nouveau Régime », nantis de son Baccalauréat Série A4, l’ancien élève du Lycée d’État des Rapides, Alexis N’DUI-YABELA s’était inscrit en Première année de Licence en Droit à l’ancienne Faculté de Droit et des Sciences Économiques (FDSE) de l’Université de Bangui. Comme l’écrivait, en 1995 et sans aucune complaisance à l’époque, le défunt Paul YANETE, Maître-Assistant à l’Université de Bangui et Chef de Département de Droit Public, dans sa lettre de recommandation, « l’Étudiant NDUI-YABELA Alexis, régulièrement inscrit à l’Université, pour l’année universitaire 1993-1994, et titulaire de la Maîtrise en Droit, est un Étudiant sérieux et volontaire qui a effectué un cursus universitaire remarquable, de la première année en Droit, en Maîtrise. Ce jeune chercheur doué et imaginatif a incontestablement le profil requis pour poursuivre ses Études, en DEA et en Doctorat[40][…] » Ainsi, dans la droite ligne de cette lettre de recommandation, avant d’aller poursuivre ses études en France, comme tous les étudiants francophones, l’ancien étudiant Alexis N’DUI-YABELA avait décroché au niveau de l’Université de Bangui un (1) DEUG I en Droit, un (1) DEUG II en Droit, une (1) Licence en Droit public et une (1) Maîtrise en Droit public, Option Relations internationales. Son sujet de mémoire, préparé et soutenu sous la direction du défunt Paul YANETE, portait sur la thématique suivante : « Causes et impact de la suspension des relations diplomatiques entre la République populaire de Chine et la République Centrafricaine en 1991 ». Le jury de soutenance de ce mémoire était ainsi constitué :
- Présidente: Madame Danièle DARLAN, Professeure de Droit public à l’Université de Bangui;
- Assesseur : Monsieur Égide GOUGUIA, Docteur en Droit public, enseignant-vacataire à l’Université de Bangui ;
- Rapporteur : Monsieur Paul YANETE, Maître-Assistant, Chef de Département de Droit public à la FDSE de l’Université de Bangui.
Avec l’appui des défunts Marcel METEFARA (ancien ministre des Affaires étrangères qui l’avait accueilli au sein de son ministère en qualité de stagiaire) et Paul YANETE (son Directeur de mémoire à l’époque), l’étudiant Alexis N’DUI-YABELA, en instance de transfert en France, avait obtenu le renouvellement de la Bourse du Gouvernement centrafricain, dont il était bénéficiaire pour aller poursuivre ses études à l’Université de Nice Sophia Antipolis. Inscrit à l’Institut du Droit de la Paix et du Développement (IDPD), une unité de formation et de recherche (UFR) de 3e cycle de ladite Université, l’ancien étudiant Alexis N’DUI-YABELA avait successivement décroché deux Diplômes d’études approfondies (DEA), avec la bourse d’une année académique payée exagérément en retard[41]. Il s’agit des deux diplômes approfondis ci-après :
.DEA de Droit et Économie du Développement ;
- DEA de Droit international public et privé.
Après l’obtention de ces deux DEA, l’ancien Doctorant Alexis N’DUI-YABELA avait effectivement préparé et soutenu en 2005, une thèse de Doctorat en Droit, sous la direction du Professeur Alain PIQUEMAL. Toutefois, ce que l’ancien premier candidat à la dernière élection présidentielle et le directeur de publications de Corbeau news-Centrafrique ne savent point du tout, c’est que contrairement à leurs devanciers qui avaient eu la chance de préparer leurs thèses de Doctorat parfois en dix (10) ans, l’ancien Doctorant Alexis N’DUI-YABELA et ses collègues de promotion avaient été les tout premiers cobayes d’expérience de la thèse de Doctorat « Nouveau Régime », dont la durée de préparation exigée se limite seulement à trois (3) ans maximum (avec éventuellement une seule année de dérogation suffisamment motivée).
Initialement, le sujet de thèse de l’ancien Doctorant Alexis N’DUI-YABELA s’intitulait : « L’Union européenne et la protection des ressources naturelles en Afrique Centrale ». Mais vu qu’un collègue gabonais, encadré par le même Directeur de thèse, venait à peine de soutenir, une thèse de Doctorat sur « La Banque mondiale et la protection de l’environnement » et vu, par ailleurs que l’ancien Doctorant Alexis N’DUI-YABELA est titulaire à la fois de deux DEA, dont un DEA de Droit international public et privé, et pour mettre un terme au choix de sujet sectoriel dans ce domaine précis, le Directeur de thèse de l’ancien Doctorant Alexis N’DUI-YABELA avait reformulée tout en élargissant son sujet de thèse de la manière suivante : « Contribution internationale à la sauvegarde des ressources naturelles en Afrique Centrale. Approche juridique ». C’est ce sujet que l’ancien premier candidat à la dernière élection présidentielle, avait religieusement recopié dans son insipide chronique publiée sur le site de désinformation en ligne de la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, le plus idiot des journalistes d’investigation du monde entier.
Madame la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, le plus idiot des journalistes d’investigation du monde entier, pour permettre à cet ancien premier candidat à la dernière élection présidentielle d’y voir assez clair, le Professeur Alexis N’DUI-YABELA lui avait expliqué en français facile que le mot important ou le mot magique de son sujet de thèse est « internationale ». Celui-ci s’inscrit dans la droite ligne de son « DEA de Droit international public et privé », et non dans le cadre d’un « DEA de Droit international de l’environnement » qui se prépare à l’Université de Limoges. Ressortissant de cette Université, le collègue YACKOISSET Ossène est titulaire d’un « DEA en droit de l’environnement » et c’est ce collègue qui dispense les cours relatifs à cette discipline au sein de la Faculté des Sciences juridiques et politiques de l’Université de Bangui. À la suite de Mlle Jessica MAKOWIAK, Maître de conférences à l’Université de Limoges, le Professeur Alexis N’DUI-YABELA ne sais même pas « à quels temps se conjugue le droit de l’environnement[42] ».
Cependant, pour paraphraser un humoriste français[43], une question ne cesse de brûler les lèvres de ceux qui ont un esprit de géométrie et de finesse: soutenir une thèse de Doctorat rien que sur un aspect particulier d’une discipline scientifique donnée, autorise-t-il quiconque à se faire passer pour un spécialiste de ladite discipline ? On peut répondre à cette question d’une manière nuancée. C’est ici le lieu de faire comprendre à la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, le plus idiot des journalistes d’investigation du monde entier, qu’avant d’aller poursuivre ses études supérieures en France, l’ancien étudiant Alexis N’DUI-YABELA avait effectué un stage préalable de recherche à Ngotto (l’une des communes de la sous-préfecture Boda dans la Lobaye) où l’Union européenne finance un grand programme d’aménagement durable de nos forêts, intitulé « programme ECOFAC ». À l’issue de sa formation de 3è cycle, l’ancien Doctorant Alexis N’DUI-YABELA, qui n’a jamais abordé la discipline de « Droit de l’environnement » (inséré récemment dans le programme des enseignements de la FSJP de l’Université de Bangui) voulait tout simplement partager cette expérience enrichissante des projets et programmes en cours en Afrique centrale avec la communauté scientifique sans pour autant prétendre être un spécialiste du droit de l’environnement, tels les professeurs Michel PRIEUR[44], Raphaël ROMI[45], Agathe Van LANG[46], Catherine ROCHE[47], Jacqueline MORAND-DEVILLER[48], Jean-Marc LAVIEILLE[49] et al., Maurice KAMTO[50], pour ne citer que ces meilleurs spécialistes du droit de l’environnement.
De même, Madame la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, le plus idiot des journalistes d’investigation du monde entier, le Professeur Alexis N’DUI-YABELA avait également saisi cette opportunité pour interroger l’ancien premier candidat à la dernière élection présidentielle en ces termes : dans quelle université française prépare-t-on exclusivement « une thèse de Doctorat en Droit constitutionnel » ? Jusqu’à l’heure où le Professeur Alexis N’DUI-YABELA exerce son droit de réponse au plus idiot des journalistes d’investigation du monde entier, l’ancien premier candidat à la dernière élection présidentielle, devenu ministre de la Jeunesse n’a pas encore répondu à cette question élémentaire. D’ailleurs, lui-même s’était contredit dans ses analyses en mentionnant en gros caractères que l’un de mes jeunes collègues dispense un « cours d’HISTOIRE POLITIQUE ET CONSTITUTIONNELLE DE LA RCA ». En effet, si l’on fait une application stricte de son raisonnement border ligne, pour quelle raison ce jeune collègue devait-il dispenser un tel cours ? Avait-il soutenu au paravent une thèse de Doctorat en « Histoire politique » ?
En guise d’information supplémentaire, Madame la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, le plus idiot des journalistes d’investigation du monde entier, le Professeur Alexis N’DUI-YABELA avait signalé à l’ancien premier candidat à la dernière élection présidentielle que dans la droite ligne des préoccupations du Professeur François GONIDEC, le jeune collègue assurait par ailleurs les travaux dirigés du cours de « Droit international public » dont la Professeure Danièle DARLAN était titulaire. Alors qu’il n’est, selon l’ancien premier candidat à la dernière élection présidentielle, qu’un « Fin connaisseur des institutions publiques centrafricaines », ce jeune collègue ne devait logiquement pas s’occuper des Travaux dirigés du cours de « Droit international public », puisque selon les propres analyses intellectuellement réductrices de l’ancien premier candidat à l’élection présidentielle, « Dr Dominique Désiré ERENON est un Constitutionnaliste, donc le mieux qualifié pour dispenser un Cours de Droit Constitutionnel, pour faire des analyses constitutionnelles plus éclairantes et pertinentes. Il a été formé à la Sorbonne à Paris où il a brillamment soutenu sa Thèse de Doctorat de 712 pages, en Droit Constitutionnel, le 25 janvier 2015, devant un Jury très relevé, présidé par un certain Jean GICQUEL, éminent et redoutable Constitutionnaliste français de l’ère contemporaine ». En clair, un tel raisonnement revient à dire que ce jeune collègue n’est pas un internationaliste, puisqu’il n’a jamais soutenu une thèse de doctorat en droit international public devant les Professeurs Emmanuel DECAUX[51], Jean-Marc SOREL[52], Pierre-Marie DUPUY[53], Patrick DAILLIER, Mathias FORTEAU, Alain PELLET[54], Blaise TCHIKAYA[55], pour ne citer que ces plus illustres internationalistes.
En conclusion, Madame la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, le plus idiot des journalistes d’investigation du monde entier, le Professeur Alexis N’DUI-YABELA avait attiré l’attention de l’ancien premier candidat à la dernière élection présidentielle en ces termes, et je me cite derechef moi-même : « Monsieur le premier candidat à l’élection présidentielle de 2020, selon une expression familière, gardez-vous bien de mettre les pieds dans le plat[56]. Il faut plutôt porter à la connaissance de vos futurs électeurs, comme le « Dr Alexis N’DUI-YABELA », les grandes lignes de votre programme politique que vous maîtrisez mieux au lieu de vous aventurer sur le terrain du Droit public que vous maîtrisez moins ou très mal. Sans vouloir faire trop de digressions, revenons à nos moutons pour vous laisser le temps de savourer goulument la suite de mon long cursus universitaire. » (Fin de ma propre citation)
En effet, Madame la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, le plus idiot des journalistes d’investigation du monde entier, après l’obtention de son Doctorat en Droit à l’Institut du Droit de la Paix et du Développement (IDPD), en attendant l’évolution de son dossier de candidature, acheminé aussitôt à Bangui, aux fins de son intégration parmi les membres du corps académique de l’Université de Bangui, le frais émoulu Docteur Alexis N’DUI-YABELA avait décidé, si l’ancien premier candidat à la dernière élection présidentielle lui passait cette expression sportive, de jouer une prolongation dans ses études en se réinscrivant en Première année de Science politique, c’est-à-dire en année de Licence ès Science politique, non pas à l’IDPD, mais cette fois-ci à la Faculté de Droit, des Sciences Économiques et de Gestion (FDSEG) de l’Université de Nice Sophia Antipolis.
À la suite de son devancier, le célèbre Professeur Maurice KAMTO de nationalité camerounaise, qui avait effectué dans la même Université le même parcours universitaire mais en sens inverse[57], le frais émoulu Docteur Alexis N’DUI-YABELA avait pu ainsi décrocher successivement, cette fois-ci sans la bourse du Gouvernement centrafricain, mais avec son salaire de sacristain à la Basilique-Cathédrale Sainte Réparate de Nice : une autre Licence, un autre Master 1 et enfin un autre Master 2 (ex DEA) en Science politique. Madame la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, le plus idiot des journalistes d’investigation du monde entier, pour élargir davantage le champ de renseignement de l’ancien premier candidat à la dernière élection présidentielle, le sujet de mémoire en Master 1 de Droit et Science politique du Docteur Alexis N’DUI-YABELA était : « Ségolène Royal, une candidate socialiste pas comme les autres ? » (Université de Nice, FADSEG, 72p.). Ce sujet lui avait été proposé par son Directeur de mémoire, à savoir : Monsieur Laurent BOUVET, Professeur de science politique à l’Université de Nice et à l’Institut d’études politiques de Paris, coauteur du Dictionnaire de sciences politiques et sociales[58].
Au total, comme la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, le plus idiote des journalistes d’investigation du monde entier a pu le constater lui-même, durant son long cursus universitaire, l’ancien étudiant Alexis N’DUI-YABELA a présenté et soutenu cinq (5) mémoires devant plusieurs et différents membres de jury, notamment : un (1) mémoire de Maîtrise à l’Université de Bangui, deux (2) mémoires de DEA à l’université de Nice, deux (2) mémoires de Master 1 et Master 2 en Science politique, toujours à l’Université de Nice.
In fine, Madame la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, le plus idiot des journalistes d’investigation du monde entier, le Professeur Alexis N’DUI-YABELA avait magistralement conclu la présentation de ses travaux académiques sur cette tonalité, et il se cite derechef lui-même : « mon cher premier candidat à l’élection présidentielle de 2020, pour reprendre votre minable expression, je vous mets au défis de me communiquer le nom d’un étudiant centrafricain ayant préparé et soutenu autant de mémoires dans son parcours universitaire. Comme vous avez pu le constater par vous-même, Monsieur le premier candidat à l’élection présidentielle de 2020, le Docteur Alexis N’DUI-YABELA aurait pu, à l’époque, jouer la prolongation de sa vie estudiantine jusqu’à l’obtention d’un autre Doctorat en Science politique, mais comme il est écrit dans l’ancien testament qu’il y a un temps pour tout sous le ciel, le Docteur en Droit et Diplômé en Science politique Alexis N’DUI-YABELA a jugé mieux de s’arrêter au niveau de Master II pour ne pas se faire passer pour un ‘’éternel étudiant’’, auquel un musicien centrafricain faisait joliment allusion. » (Fin de ma propre citation).
Pour en revenir maintenant aux élucubrations ou aux rêveries de l’ancien premier candidat à la dernière élection présidentielle, lesquelles tendent à classer un enseignant-chercheur parmi les « environnementalistes », sans aucune idée claire sur son parcours universitaire, force est de préciser hic et nunc à la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, le plus idiot des journalistes d’investigation du monde entier que les constitutionnalistes et politistes sont tous unanimes pour affirmer qu’avant la réforme universitaire de 1997, « Droit constitutionnel » et « Institutions politiques » étaient deux disciplines inséparables[59]. Pour une approche simplifiée de cette union, approche correspondant très exactement au niveau de culture assez bas de la soi-disant Gisèle MOLOMA, le Professeur Alexis N’DUI-YABELA l’invite à lire une intéressante contribution du Professeur Jacques Chevalier intitulée : « Droit constitutionnel et institutions politiques : les mésaventures d’un couple fusionnel[60] ». Par ailleurs et pour votre culture personnelle, Monsieur le directeur de publications de Corbeau news-Centrafrique, le Professeur Jean-Marie DENQUIN explique, pour sa part, que « dans la tradition intellectuelle française, la science politique a d’abord été développée par des juristes. Situation ambivalentes :
-D’une part, les juristes ont apporté à la nouvelle discipline la clarté et la rigueur qui caractérisent leurs méthodes et qui font parfois défaut aux sciences humaines…
-Mais d’autre part, la science politique ne saurait remplir le programme impliqué par son nom en demeurant enfermée dans la problématique du droit constitutionnel : une science étudie ce qui est, alors qu’un droit étudie ce qui doit être. Comment comprendre les rapports de ces deux disciplines à la fois évidemment distinctes et profondément imbriquées ?
Un fait est évident a priori : la science politique et le droit constitutionnel ont en commun une part de leur objet. Par exemple, le régime politique de la France contemporaine intéresse les deux disciplines, la première en tant que système politique, la seconde en tant que Constitution. Dès lors, on ne peut envisager, pour penser leurs rapports, que dans deux hypothèses. 1) Ou bien la science politique et le droit constitutionnel ont un territoire identique, mais les deux disciplines diffèrent par le regard qu’elles portent sur lui : c’est l’hypothèse méthodologique. 2) Ou bien elles ont un territoire partiellement commun, mais aussi partiellement différent : c’est l’hypothèse d’inclusion[61]. »
Madame la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, le plus idiot des journalistes d’investigation du monde entier, l’évocation de ces auteurs ainsi que cette longue citation ont essentiellement pour but de vous faire comprendre, et ce dans un français aussi simple que celui de ma fille de CE1 dans une école primaire au pays des descendants des Gaulois, qu’au programme de formation de la filière Science politique, le « Droit constitutionnel » occupe une place de choix. Si le directeur de publications de Corbeau news-Centrafrique est un vrai journaliste d’investigation, il peut le vérifier sur Internet, précisément sur le site de la FDSEG de l’Université de la Côte d’Azur. À l’époque où le Professeur Alexis N’DUI-YABELA fut encore étudiant, le programme de formation initiale en Science politique, à moins que ce programme ait subi un changement après l’obtention de son Master 2, comportait les matières suivantes : « Droit constitutionnel » (en année Licence), « Droit constitutionnel approfondi » et « Histoire constitutionnelle et politique de la France depuis1789 » (en année de Master 1), « Droit constitutionnel comparé » (en Master 2), sans oublier d’autres cours fondamentaux, tels « Analyse du comportement politique », « Régimes politiques » « Partis politiques et élections », « Communication politique », « Grands problèmes juridiques et politiques contemporains », pour ne citer que celles-ci.
Par conséquent, Monsieur le directeur de publications de Corbeau news-Centrafrique, affirmer sans aucune vérification préalable de son parcours universitaire que le « Dr Alexis N’DUI-YABELA s’est autoproclamé constitutionnaliste » ou est un « faux constitutionnaliste » est extrêmement inquiétant pour un journaliste d’investigation. Madame la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, le plus idiot des journalistes d’investigation du monde entier, si vous voulez vous faire une idée des notes obtenues à l’époque par le Professeur Alexis N’DUI-YABELA dans les disciplines de « Droit constitutionnel » évoquées ci-dessus et dans la perspective de vous faire une idée exacte de ses compétences en « Droit constitutionnel », prière de vous adresser directement au service de scolarité de la FDSEG de Nice pour entrer en possession de ses relevés de notes de la Licence en Master. Mais étant donné que vous êtes le plus idiot des journalistes d’investigation du monde entier, le Professeur Alexis N’DUI-YABELA ne saurait guère vous en tenir rigueur. Toutefois à partir de la brève présentation du CV de ce Professeur, le directeur de publications de Corbeau news-Centrafrique sait désormais que le Professeur Alexis N’DUI-YABELA n’est pas ce qu’il tente de faire croire assez gauchement à ses lecteurs. Pour tout dire, au regard de ses multiples DEA et Masters, le Professeur Alexis N’DUI-YABELA est non seulement un publiciste, mais également un politiste. Selon les Professeurs Pierre-François GONIDEC et Robert CHARVIN, un publiciste n’est jamais un spécialiste, mais un généraliste[62] dont l’ambition doit être d’utiliser des prises de vue différentes pour appréhender les phénomènes internationaux et nationaux dans toutes leurs richesses et dans toutes leurs complexités.
Madame la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, le plus idiot des journalistes d’investigation du monde entier, retenez donc une fois pour toute et partagez le aussi entre vous les minus habens des réseaux sociaux que ce n’est pas un sujet de thèse consacré à un aspect très particulier de droit qui détermine la spécialité d’un enseignant-chercheur. Ce sont les ex-DEA ou les nouveaux Masters obtenus dans telle ou telle discipline précis de droit qui confèrent une certaine spécialité à un juriste. Le Professeur Alexis N’DUI-YABELA étant titulaire d’un Master en Droit et Science politique, ce Master lui confère incontestablement la qualité de l’unique constitutionnaliste centrafricain, après les défunts Ismaila SY et Bernard VOYEMAKOUA. Madame la soi-disant Gisèle MOLOMA, c’est vous dire en clair qu’autour du Professeur Alexis N’DUI-YABELA, le seul vrai constitutionnaliste centrafricain, gravitent des publicistes qui n’ont pas fait des études de « Science po. » Le Professeur Alexis N’DUI-YABELA met ici quiconque au défis de bien vouloir lui apporter la preuve contraire parmi les enseignants-chercheurs permanents de la FSJP de l’Université de Bangui. Mieux encore, que ceux qui se font passer ou s’autoproclament effectivement constitutionnalistes fournissent dans un délai raisonnable, c’est-à-dire dans les deux mois qui suivent la promulgation de la nouvelle Constitution centrafricaine, la preuve de leurs DEA ou Masters en « Droit constitutionnel ».
Madame la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, le plus idiot des journalistes d’investigation du monde entier, telles sont les informations objectives et fiables que vous auriez pu obtenir sur le cursus universitaire du Professeur Alexis N’DUI-YABELA, si vous aviez pris le soin de lire son droit de réponse à l’ancien premier candidat à l’élection présidentielle de 2020. Baignant dans une idiotie congénitale, vous êtes allé jusqu’à divulguer sur les réseaux sociaux des informations fantaisistes sur la procédure d’avancement au grade de Professeur d’Université, sans consultation préalable du Secrétaire Général de l’Université de Bangui.
1.La divulgation, par la soi-disant Gisèle MOLOMA, des informations fantaisistes sur la procédure d’avancement au grade de Professeur d’Université, sans consultation préalable du Secrétaire Général de l’Université de Bangui
Madame la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, le plus idiot des journalistes d’investigation du monde entier, si vous aviez au moins eu la présence d’esprit d’aller consulter le Docteur Bertrand KENGUETONA, Secrétaire Général de l’Université de Bangui, il vous aurait dispensé de raconter des inepties ou la maladie de votre belle-mère sur la procédure d’avancement au grade de Professeur d’Université.
Dans le domaine des travaux scientifiques, ce n’est pas l’avis d’un seul examinateur qui compte. Pour ce qui est du recrutement et avancement dans les différents grades universitaires, il existe des instances prévues à cet effet et dont les avis respectifs doivent concourir à la décision finale du Conseil d’Université, à savoir : avis de l’Établissement du candidat, avis de la sous-commission recrutement et avancement (SC/CRA) et avis de la Commission recrutement et avancement (CRA). En principe, les dossiers d’avancement ne sont pas traités par un seul membre du corps académique, comme cela a été malheureusement le cas l’année dernière de « l’avis défavorable », dont le document élaboré par un évaluateur très pervers a été uniquement signé par la Professeure Danièle DARLAN : il s’agit manifestement d’un double vice de procédure et de compétence susceptible d’un recours devant le juge administratif.
En effet, conformément au principe selon lequel on ne peut être juge et partie, à l’intérieur de chaque sous-commission, des comités ou collèges techniques devaient regrouper les enseignants-chercheurs de grade supérieur pour apprécier les dossiers de candidature de leurs homologues de grade inférieur. Ainsi, pour ce qui est des avancements par grade, il devait exister au sein de chaque Faculté ou Établissement universitaire :
- un comité ou collège technique regroupant maîtres assistants, maître de conférences et professeurs pour apprécier le dossier de candidature des Assistants au grade de Maître-Assistant ;
- un comité ou collège technique regroupant les maitres de conférences et professeurs pour apprécier le dossier de candidature des maitres-assistants au grade de maître de conférences ;
- un comité ou collège technique regroupement uniquement les professeurs pour apprécier les dossiers de candidature des maîtres de conférences au grade de Professeur.
Convoquées par le Doyen de chaque Faculté ou Établissement, les réunions de travail de ces comités ou collèges techniques se déroulent sous la présidence de l’enseignant-chercheur le plus gradé. Un rapporteur est désigné séance tenante pour l’établissement du procès-verbal des travaux du comité ou collège technique.
Comme vous avez pu le constater, Madame la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, le plus idiot des journalistes d’investigation du monde entier, dans la mesure où la FSJP de l’Université de Bangui disposait de deux Professeurs titulaires, dont l’un de droit public et l’autre de droit privé, il n’appartenait pas à la Professeure Danièle DARLAN de se prononcer toute seule sur le dossier de candidature de l’impétrant Alexis N’DUI-YABELA au grade de Professeur. Conformément à une jurisprudence bien établie et en s’appuyant sur « la doctrine des publicistes les plus qualifiés de différentes nations[63] », l’impétrant Alexis N’DUI-YABELA aurait pu déférer, l’année dernière, et ce, devant le Tribunal administratif de Bangui, « l’avis défavorable » sur son dossier de candidature au grade de Professeur pour illégalité externe et interne[64]. Encore une fois de plus, par respect pour la Professeure Danièle DARLAN, l’impétrant Alexis N’DUI-YABELA s’était abstenu de déclencher une instance devant le juge administratif.
EN GUISE DE CONCLUSION
Madame la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, le plus idiot des journalistes d’investigation du monde entier, au-delà de votre péché mignon de super menteur sur votre site de désinformation en ligne, vos torchons publiés ici et là sont néanmoins assimilable à un véritable « promontoire[65] », dont parle Jean de La FONTAINE, pour le Professeur Alexis N’DUI-YABELA. En effet, grâce à votre torchon du 16 octobre 2022, vous avez permis au Professeur Alexis N’DUI-YABELA de porter à la connaissance de l’opinion publique nationale et internationale des informations détaillées sur les coulisses ou les manœuvres diaboliques d’un évaluateur-abuseur de confiance de la Professeure Danièle DARLAN.
Comme cela a été amplement développé dans la première partie du présent droit de réponse, cet évaluateur-abuseur de confiance s’est servi de la signature de notre chère collègue Professeure Danièle DARLAN aux seules fins sataniques de nuire crapuleusement à l’inéluctable ascension de l’impétrant Alexis N’DUI-YABELA au grade de Professeur. Fort heureusement, Notre Père qui est dans les cieux a usé de Toute sa Puissance éternelle pour confondre ici-bas cet évaluateur-abuseur de confiance de notre très chère collègue Danièle DARLAN. Ce dont le Professeur Alexis N’DUI-YABELA est assez sûr et certain, c’est que cet évaluateur-abuseur de confiance ne se manifestera jamais et se vautrera à jamais dans un silence de la forêt[66], car conformément à deux adages plus ou moins connus : « Qui se sent galeux se gratte » ou « Qui se sent morveux se mouche ». Pour éviter une sanction céleste, et dans la mesure où le peuple centrafricain vient de s’offrir une nouvelle Constitution, ces mentalités rétrogrades ou ces comportements crapuleux de « coinçage » de certains membres du corps académique doivent être définitivement jetées dans la poubelle de l’histoire.
Dans son discours prononcé à l’occasion de la remise du « Rapport général de la Direction nationale de campagne référendaire », Son Excellence, Monsieur le Président de la République, Chef de l’État a clairement spécifié que la VIIe République où le peuple centrafricain est fièrement entré depuis le 30 août 2023 mettra « un accent particulier sur la valeur du travail, de l’effort individuel et collectif, du mérite, comme conditions d’épanouissement personnel et collectif ». Que l’évaluateur-abuseur de confiance de la Professeure Danièle DARLAN qui a des oreilles pour entendre, entende !
Madame la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, le plus idiot des journalistes d’investigation du monde entier, en attendant la sanction céleste de cet évaluateur-abuseur de confiance de la Professeure Danièle DARLAN, le Professeur Alexis N’DUI-YABELA voudrait saisir cette dernière phase, consacrée à la conclusion de son droit de réponse, pour vous encourager à raconter, autant que faire se peut, la maladie de votre belle-mère aussi bien sur votre site de désinformation en ligne que dans les colonnes de certains quotidiens de la place : un jour viendra où vous en serez récompensé au centuple.
Pour terminer, Monsieur le directeur de publications de Corbeau news-Centrafrique, continuez toujours à publier des torchons sur votre prince charmant, le Professeur Alexis N’DUI-YABELA. Soyez rassuré que vos torchons serviront toujours de « promontoire » à votre prince charmant, le Professeur Alexis N’DUI-YABELA, pour lui permettre non seulement d’assouvir sa soif inextinguible d’écrire, mais aussi et surtout de savourer, à l’instar d’Alphonse de LAMARTINE, « les rapides délices[67] » de l’exercice de ses droits de réponse.
Aussi, dans l’attente d’un prochain torchon relatif à sa notoriété académique, le Professeur Alexis N’DUI-YABELA ne saurait-il terminer l’exercice de son droit de réponse sans pour autant saisir cette meilleure occasion que lui offre le deuxième dimanche du mois de septembre 2023, deuxième dimanche exclusivement consacré chaque année à la commémoration de la disparition du Professeur Frédéric OZANAM[68], Président Fondateur de la Société Saint-Vincent-de-Paul, pour souhaiter très chaleureusement à la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, directeur de publications de Corbeau news-Centrafrique, et ce, en sa qualité de membre de la Conférence Saint-Vincent-de-Paul, une très, très bonne journée dominicale au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit ! Amen.
Bangui, le 10 septembre 2023
Alexis N’DUI-YABELA,
Professeur de Droit et Science politique
à l’Université de Bangui
[1] Ce « Rapport » a été présenté par le Président de ladite Commission, le Professeur Jean-Claude AZOUMAYE, Doyen de la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines de l’Université de Bangui.
[2] Voir Magloire ONDOA, Professeur-agrégé de droit public et en science politique, actuellement Recteur de l’Université de Douala, dans son rapport intitulé : « Rapport d’évaluation de la candidature de Monsieur Alexis N’DUI-YABELA, Maître de conférences, pour le passage au grade de Professeur », p.3.
[3] Voir les articles 56 et 57 du statut général de la Fonction publique centrafricaine relatifs à la « promotion » et au « reclassement » d’un fonctionnaire.
[4] Voir notamment l’article 19 du décret n°06.156 fixant les dispositions particulières applicables au Cadre de ‘Enseignement Supérieur.
[5] Pour une profonde méditation, le directeur de publications de Corbeau news-Centrafrique doit obligatoirement lire l’évangile de Jésus-Christ selon saint Luc (4, 21-30).
[6] Voir commentaire ci-après de Samuel MASSENGUE sous le torchon « Centrafrique : l’occident finance, la Russie pille. L’exemple de la base des soldats FACA » (10 août 2023) : « Parfois je me demande si ce Alain Nzilo est centrafricain, parce que tout ce que je lis de lui et Gisèle sont toujours contraires alors je me demande s’ils sont des journalistes qui informent leurs lecteurs ou ils ne sont que des pions de l’occident ? C’est honteux pour toi Alain ».
[7] Voir http://www.corbeaunews-centrafrique.org › Actualités
[8] Pour l’essentiel, voir « Droit de réponse à Corbeau News face à l’article éhonté contre le Ministre Maxime Balalou », publié sur la plateforme du Ministère chargé du secrétariat général du Gouvernement et des Relations avec les institutions de la République, le 26 juillet 2023, à 03h 29 mn, sous le titre : « Désespéré, Corbeaunews s’arc-boute sur des techniques vieillards d’incitation à la haine, à la division…, qui ne mordent plus à l’hameçon. » ; « Droit de réponse de SANI YALO au journal Corbeaunews » (12 juillet 2019) ; « Centrafrique : droit de réponse de la Télécel à la rédaction de Corbeaunews » (13 décembre 2018).
[9] Ecclésiaste 3, 1-12.
[10] Voir notamment une dépêche de Kolma AKPANRI intitulée, « Centrafrique : Patrick Dalemet, le journaliste prétendument d’investigation pour déstabiliser les autorités », publiée le 14 septembre 2021 et disponible en ligne à l’adresse : http://www.nouvelledafrique.com (consulté le 11/11/2022, à 18h30mn) ; « Patrick Dalemet alias Gisèle Moloma ou Dr Alain Nzilo le journaliste prétendument[…] », disponible en ligne à l’adresse suivante : http://www.talassa.over-blog.com, publiée le 14/09/2021 à 01h40mn.
[11] Disponible en ligne sur le site de la Radio France internationale, dans la rubrique « Priorité Santé », précisément à l’adresse suivante : http://www.rfi.fr/emission/20170907-sexualite , publiée le 31/08/2017, à 15h10mn.
[12] Voir le grossier mensonge d’Alain Nzilo intitulé « Le ‘’soi-disant Professeur Alexis NDUI-YABELA : Une pure divagation intellectuelle inédite sur la réforme constitutionnelle de Touadera », Disponible en ligne à l’adresse : https://corbeaunews-centrafrique.org/le-soi-disant-professeur-alexis-ndui-yabela-une-divagation-intellectuelle-sur-la-reforme-constitutionnelle-de-touadera/ (consulté le 19/06/2023, à 12h36mn).
[13] G. MOLOMA, « L’ENAM Bangui, la malversation en bande organisée plombe toutes les réformes souhaitées », L’Expansion, n°805 du 02 août 2017, p.6.
[14] Sur le même site de désinformation en ligne, se trouvent les torchons ci-après publiés depuis juin 2023 par la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo : « Prédiction d’une Fin Tragique pour Touadera par une Profetesse » (7 septembre 2023) ; « Faustin Archange Touadéra : un dirigeant mythomane » (5 septembre 2023) ; « Faustin Archange Touadera : L’Échec de la Démocratie et l’Émergence illusoire » (1er septembre 2023) ; « La rencontre énigmatique entre Baba Laddé et Touadera, le pacte destructif est scellé » (29 août 2023) ; « La Cour Constitutionnelle version Waboué : Entre Confirmations controversées et Menaces démocratiques « (21 août 2023) ; « Président de la Cour constitutionnelle ou complice de la mafia : La chute morale de Jean-Pierre Waboué à la présidence de la Cour constitutionnelle » (21 août 2023) ; « Nominations à la GSPR : Entre Faveurs familiales et Négligences des Priorités Nationales » (20 août 2023) « Le machiavélisme malsain de Poutine : Manipulations russes dans le drame migratoire africaine » (17 août 2023) ; « Un prix d’escroquerie ? Les Étranges récompenses d’Aristide Briand Reboas par des mafieux camerounais » (16 août 2020) ; « De l’indépendance à l’illusion : La Déception du Discours de Faustin Archange Touadera » (14 août 2023) ; « Prêter Serment pour le Peuple ou pour le Pouvoir ? Interrogations sur les Nouveaux Juges en Centrafrique » (13 août 2023) ; « L’Enigmatique Sani Yalo : La face cachée d’une richesse controversée » (10 août 2023), « Faustin Archange Touadera : un Président enclavé par les ombres de Wagner » (9 août 2023), « La Tentative dérisoire de la Russie d’attirer les Jeunes Africains : Analyse de la stratégie controversée de Poutine envers la République Centrafricaine (8 août 2023), « L’Affaire des passeports diplomatiques fantômes : Plongée dans l’escroquerie de Reboas et Nakombo » (8 août 2023), « Manipulation, mensonge et démagogie : Démystification des résultats du pseudo référendum centrafricain » (8 août 2023), « Touadera : entre autoritarisme et malhonnêteté, le vrai visage du régime » (7 août 2023), « Aristide Briand Reboas, un ministre escroc qui divague dans son interview post-référendum constitutionnel » (7août 2023), « Centrafrique : une rébellion en gestation à la présidence » (7août 2023), « Père inconnu, Vérité Dissimulée : Touadera au cœur de controverse » (6 août 2023), « De l’absurde à l’audacieux : les officiers centrafricains incompétents en mission au Congo » (3 août 2023), « Le Triste Spectacle du Président Touadera face à ses Conseillers Bagarreurs » (2 août 2023), « La farce du siècle : la CEEAC applaudit un référendum illégal et chaotique en Centrafrique » (2 août 2023), « Référendum spectaculaire en Centrafrique : le MCU, Maître de l’Art imaginaire des Résultats » (1er août 2023), « Référendum sous tension en Centrafrique, plusieurs personnalités évacuent leur famille à l’étranger » (1er août 2023), « Centrafrique : Le ministre de la santé, Dr Pierre Somsé, un citoyen en péril face à la nouvelle constitution de Touadera » (31 juillet 2023), « Le palais de la Renaissance : une maison de prostitution sous le régime de Touadera » (31 juillet 2023), « Le BRDC salue le rejet massif de la nouvelle Constitution du Président Touadera par les Centrafricains » (30 juillet 2023), « Le Retour de l’Impôt de Capitation et l’Acharnement Injustifié de Touadera envers les Centrafricains » (26 juillet 2023) ; « Incroyable : La Défense de Monsieur Ndui-Yabela face aux Failles de la Nouvelle Constitution » (25 juillet 2023), « Référendum de la honte : La mainmise dictatoriale du Président Touadera sur l’armée nationale » (25 juillet 2023), « Le Nouveau Cirque Constitutionnel en RCA : Tromperies et Machinations » (24 juillet 2023), « Les mensonges du gouvernement centrafricain sur les troupes de Wagner enfin révélés » (20 juillet 2023), « Le débat politique de la radio Ndékèluka : quand la rhétorique juridique masque l’incompétence » (19 juillet 2023) ; « La Minusca et Valentine Rugwabiza : Complicité avérée dans le référendum de la honte (14 juillet 2023) ; « Le lieutenant-colonel Patassé : un parcours tordu marqué par l’idiotie, l’incompétence et la corruption » (5 juillet 2023) ; « Dictature et mascarade démocratique : le référendum constitutionnel de Touadera, une farce macabre » (30 juin 2023) ; « Le ministre de la Défense, Claude Rameau Biro, s’agenouille devant les ‘’héroïques’’ mercenaires de Wagner » (30 juin 2023) ; « Poutine, Wagner et Touadera : Un trio de Criminels de guerre » (30 juin 2023) ; « Sani Yalo et Rator : la dangereuse alliance derrière l’escroquerie des pèlerinages en Centrafrique » (30 juin 2023) ; « Centrafrique : Evariste Ngamana coincé et piégé, délire » (29 juin 2023) ; « Centrafrique : Touadera, le menteur des menteurs » (28 juin 2023) ;
[15] Alain Nzilo, « Rencontre stratégique entre Touadéra et Prigogine à Bangui : nouveaux éclairages » (27 août 2023).
[16] Gisèle Moloma, « Le Président Faustin Archange Touadera, gravement malade, a été évacué d’urgence au Rwanda », disponible en ligne à l’adresse : https://corbeaunews-centrafrique.org/le-president-faustin-archange-touadera-gravement-malade-a-ete-evacue-durgence-au-rwanda/ (consulté le 13 novembre 2022, à 9h01mn).
[17] Voir chronique d’un média en ligne de l’un des pays limitrophes de la RCA intitulée « Centrafrique : évacuation présumée du président Touadera au Rwanda, la réponse de Bangui aux médias », disponible en ligne à l’adresse suivante : https://actucameroun.com/2022/11/15/ (consultée le 18/11/2022).
[18] Bertrand Yékoa, « Centrafrique : 5 ministres soupçonnés de viol aggravé et d’esclavage sexuel à Niem-Yéléwa », disponible en ligne à l’adresse : https://corbeaunews-centrafrique.org/centrafrique-5-ministres-soupconnes-de-viol-aggrave-et-desclavage-sexuel-a-niem-yelewa/ (consulté le 24 novembre 2022, à 12h15mn).
[19] Lamido ISSA BI AMADOU, « My reaction to the article published by Corbeau News CENTRAFRIQUE (CNC) », publié à 14h46 sur la plateforme « Communication Stratégique ».
[20] Lamido ISSA BI AMADOU, « Ma réaction face à l’article publié par CorbeauNews CENTRAFRIQUE », publié à 14h10mn sur la plateforme « Communication Stratégique ».
[21] Disponible en ligne à l’adresse : https://corbeaunews-centrafrique.org/le-soi-disant-professeur-alexis-ndui-yabela-une-divagation-intellectuelle-sur-la-reforme-constitutionnelle-de-touadera/ (consulté le 19/06/2023, à 12h36mn).
[22] Voir commentaire d’Elvis ZOGAMONEN sous le torchon intitulé « Le pathétique droit de réponse de Maxime Balalou à Corbeaunews : un déni de réalité inquiétant » (26 juillet 2023).
[23] Voir commentaire de Beasf Bureau d’Etudes sous le torchon intitulé « De l’Espoir à la Désillusion : Le Parcours d’un Supporter Déçu par le Président Touadera » (7aout 2023). Sous un autre torchon intitulé « Les dictatures ne perdurent pas en RCA selon maître Crépin Mboli-Goumba » (7 août 2023), le même internaute en est arrivé à la conclusion suivante : « Nous n’avons pas tort de traiter les rédacteurs de Corbeau News des abrutis. Ils viennent de confirmer la détermination du peuple de se libérer d’une coopération infructueuse avec la France depuis 60 ans par sa participation au référendum du 30 juillet. Le 30 juillet, il y avait eu manifestation de la démocratie centrafricaine. Le peuple ne s’était pas rendu aux urnes ? Pourquoi ce déni de la maturité politique du peuple centrafricain ? »
[24] Voir réaction de Théodore VOPAMADE sous le torchon intitulé « Crise en Centrafrique : Faustin Archange Touadera face à l’ultimatum Américain » (7 août 2023).
[25] Voir commentaire de Nathanaël MBANGOU sous le torchon intitulé « Les mensonges du gouvernement centrafricain sur les troupes de Wagner enfin révélés » (20 juillet 2023).
[26] Voir torchon de la soi-disant Gisèle MOLOMA intitulé, « France-RCA : La visite du président Touadera suscite des interrogations », disponible en ligne à l’adresse : https://corbeaunews-centrafrique.org/ (consulté le 21/06/2023, à 9h30mn).
[27] Voir billet d’humeur d’Aristide Briand REBOAS intitulé, « RCA : Alexis NDUI YABELA, un juriste environnementaliste autoproclamé constitutionnaliste fait une interprétation constitutionnelle hasardeuse, trompeuse et périlleuse pour notre pays », publié le 23 avril 2020, à 12h16 mn sur votre site privilégié de désinformation en ligne précité.
[28] Pour votre culture juridique, prière de vous reporter aux ouvrages des auteurs ci-après : C. NICQ, fiches de Droit de la fonction publique, Paris, Ellipses Editions Marketing S.A, coll. « Fiches », 2016, pp.254-255 ; E. AUBIN, L’essentiel du Droit de la Fonction publique, Paris 5e édition, Gualino éditeur, lextenso éditions, coll. « LES CARRÉS », 2010, p.125.
[29] Pour information de la soi-disant Gisèle MOLOMA alias Alain Nzilo, de 2011 à 2013, le Professeur Alexis N’DUI-YABELA a été Vice-Doyen, puis Doyen intérimaire, de 2013 à 2015. À ces différentes responsabilités académiques, le Professeur Alexis N’DUI-YABELA était le supérieur hiérarchique de son homologue Danièle DARLAN.
[30] A. N’DUI-YABELA, « Un fonctionnaire ou agent de l’État, régulièrement admis à faire valoir ses droits à la retraite, peut-il encore être maintenu en activité en dehors de son corps d’origine? Points de vue d’un spécialiste du Droit de la Fonction publique sur les ridicules requêtes en inconstitutionnalité des actes administratifs unilatéraux consécutifs à l’arrêté portant admission à la retraite de certains enseignants du supérieur », en cours de publication.
[31] Voir page n°1 de l’avis défavorable.
[32] Voir « Avis défavorable » de la Professeure Danièle DARLAN, p.1.
[33] Sur la littérature et jurisprudence relatives à l’erreur manifeste, le directeur de publications de Corbeau news-Centrafrique peut notamment lire les auteurs suivants : F. MELLERAY, « L’erreur manifeste d’appréciation dans la jurisprudence du Conseil d’Etat français. Brèves réflexions sur la destinée d’une construction jurisprudentielle », Long Cours. Mélanges en l’honneur de Pierre BON, Dalloz, 2014, pp. 993-1002 ; J.Y VINCENT, L’erreur manifeste d’appréciation, Rev. Adm. 1971, p.407 ; R. KORNPROBST, L’erreur manifeste, D. 1965, chron., p.121 ; LABETOULLE et CABANES, Chon. Jurispr. AJDA 1971, p.33 ; FRANC et BOYON, chron. Jurispr. AJDA, 1973, p.577 ; concl.VUGHT s. CE. 29 mars 1968, Société du lotissement de la plage de pamplemousse, RDP, 1969, p.320 ; concl. BRAIBANT et note de R. DRAGO s. CE. 2 novembre 1973, Société Librairie François Maspero, J.C.P. 1974, II, n°17642.
[34] Voir Molière, Le bourgeois gentilhomme, Acte II, scène VI. En effet, dans l’acte II, scène VI, Monsieur Jourdain apprend, au cours d’un échange avec son maître de philosophie, qu’il dit de la prose depuis longtemps, sans le savoir : « Par ma foi ! Il y a plus de quarante ans que je dis de la prose sans que j’en susse rien, et je vous suis le plus obligé du monde de m’avoir appris cela. »
[35] E. SUR, « Le pouvoir constituant n’existe pas ! », in Mélanges en l’honneur de Dmittri Georges Lavroff, Paris, Dalloz, 2005, pp.569-591.
[36] À ce propos, voir : P. AVRIL, J. GICQUEL, Lexique de droit constitutionnel, op.cit., p.89 ; M. de Villiers, A. Le DIVELLEC, Dictionnaire du droit constitutionnel, op.cit., p.267 et 272.
[37] P. AVRIL, J. GICQUEL, Lexique de droit constitutionnel, précité, p.269 sq.
[38]Voir A.-B. REBOAS, « A moins d’un miracle ou de vouloir des élections bâclées, la date du 27 décembre 2020 est absolument intenable », disponible en ligne à l’adresse : http://centrafrique-presse.over-blog.com/2020/04/la-date-du-27-decembre-2020-est-absolument-intenable-par-aristide-reboas.html (consulté le 06/04/2020).
[39] Voir droit de réponse intitulé, « Centrafrique : L’universitaire N’DUI-YABELA réplique à un certain Aristide Briand REBOAS », publiée le 29 avril 2020, par Patrick et disponible en ligne à l’adresse : http://www.lepotentielcentrafricain.com.
[40] Voir « Lettre de recommandation » délivrée le 29 janvier 1995.
[41] La première tranche de cette bourse, d’un montant équivalent à six (6) mois, était versée après l’obtention du DEA de Droit et Economie du Développement par l’étudiant Alexis N’DUI-YABELA.
[42] À cet égard, le directeur de publications de Corbeau news-Centrafrique est prié de lire impérativement l’intéressante contribution de J. MAKOWIAK intitulée, « A quels temps se conjugue le droit de l’environnement », in Pour un droit commun de l’environnement. Mélanges en l’honneur de Michel Prieur, Professeur émérite à l’Université de Limoges, Paris, Dalloz, 2007, pp.263-295.
[43] Le directeur de publications de Corbeau news-Centrafrique est invité à visionner impérativement le sketch d’Éric MASSOT intitulé « Madame Moisie », disponible en ligne à l’adresse suivante : https://www.rireetchansons.fr/humoristes/eric-massot/videos/eric-massot-sur-scene-madame-moisie-filme-aux-open-du-rire-6195 (consulté le 31/8/223).
[44] M. PRIEUR, Droit de l’environnement, Paris, Éditions Dalloz, coll. « PRECIS », 2003, 980p.
[45] R. ROMI, Droit de l’environnement et du développement durable, Paris 11e édition, LGGJ, coll. « Précis Domat », 2021, 786p. ; Droit et administration de l’environnement, Paris, Éditions Montchrestien, coll. « Domat Droit public », 2007, 647p.
[46] A. V. LANG, Droit de l’environnement, Paris, Presses universitaires de France, 2007, 502p.
[47] C. ROCHE, L’essentiel du Droit de l’environnement, Paris, Gualino Éditeur, coll. « LES CARRÉS », 2009, 120p.
[48] J. MORAND-DEVELLER, Le droit de l’environnement, Paris, Presses universitaires de France, coll. « Que sais-je ? », 2010, 128p.
[49] J-M. LAVIEILLE et al., Droit international de l’environnement, Paris, 4e édition, Ellipses éditions, 2018, 384p.
[50] M. KAMTO, Droit de l’environnement en Afrique, E.D.I.C.E.F./A.U.P.E.L.F, coll. « Universités francophones », A.U.P.E.L.P.-U.R.E.F., 1996, 416p.
[51] E. DECAUX, Droit international public, Paris, 7e éditions, Éditions Dalloz, coll. « HyperCours &Travaux dirigés, 2010, 512p.
[52] H. RUIZ FABRI et J-M. SOREL (dir.), Le contentieux de l’urgence et l’urgence dans le contentieux devant les juridictions internationales : regards croisés, Paris, Pedone, coll. « Contentieux international », 2003, 211p.
[53] P-M. DUPUY, Droit international public, Paris, Éditions Dalloz, coll. « Précis Dalloz Droit public », 2006,
[54] P. DAILLIER, M. FORTEAU, A. PELLET , Droit international public, Paris, 8e édition, LGDJ, 2009, 1720p.
[55] B. TCHICAYA, Mémento de la jurisprudence Droit international public, Paris, 7e édition, Éditions Hachette supérieur, 2017, 176p.
[56] A. RAY et S. CHANTREAU, Dictionnaire des expressions et locutions, Paris Le Robert, coll. « les usuels », p.617.
[57] À l’Université de Nice, le Professeur Maurice KAMTO a commencé, après les DEUG de Droit, par s’inscrire en science politique avant de s’inscrire en DEA de Droit international public et privé, pour soutenir finalement sa thèse de Doctorat en Droit dans les années 1980 à l’IDPD de Nice.
[58] D. ALCAUD et L. BOUVET (dir.), Dictionnaire de sciences politiques et sociales, Paris, Editions Dalloz 2004, 411p.
[59] Pour une approche récente, le Professeur Alexis N’DUI-YABELA invite le directeur de publications de Corbeau news-Centrafrique à lire l’intéressant article de Bigitte GAÏTI et Marie SCOT intitulé, « Une science sans savants ? Les paradoxes de l’émergence de la science politique en France entre 1945 et 1968, in Revue française de science politique, Vol. 67, n°1/2017, p.13-42.
[60]In La République-Mélanges Pierre Avril, Paris, LGDJ Editions, 2001, pp.183-199.
[61] J.-M. DENQUIN, Introduction à la science politique, Paris, 2è édition, Hachette Livre, coll. « Les fondamentaux, pp.15-16.
[62] F. GONIDEC et R. CHARVIN, Les relations internationales, Paris, Éditions Montchrestien, coll. « Précis DOMAT », 2016, p.1.
[63] Voir A. Oraison, « Réflexions sur ‘’la doctrine des publicistes les plus qualifiés des différentes nations’’ (Flux et reflux relatifs des forces doctrinales académiques et finalisées) », in Revue belge de droit international, 2/1991, pp.507-572.
[64] Pour une approche simplifiée des cas d’ouverture, que sont la « légalité externe » et la « légalité interne », invocables devant le juge de l’excès de pouvoir, le directeur de publications de Corbeau news-Centrafrique peut se reporter à J.-C. Ricci, Droit administratif, Paris 5e édition Hachette Livre, Coll. « Les fondamentaux », 2006, pp.144-147. Par illégalité externe, il faut entendre le contraire de la légalité externe présentée par de nombreux spécialistes du contentieux administratif comme l’un des cas d’ouverture, c’est-à-dire les catégories d’argument qu’un demandeur peut invoquer à l’appui d’une requête en annulation d’un acte administratif. En d’autres termes, on appelle cas d’ouverture, les moyens de droit que le requérant développe pour justifier selon lui l’illégalité de l’acte attaqué. Seuls seront examinés par le juge les éléments extérieurs de l’acte (incompétence et vice de forme ou de procédure). Le second cas d’ouverture est la légalité interne : c’est fond même de l’acte que le juge aura à examiner. A cet égard, le juge en distingue deux sortes : la violation de la règle de droit et le détournement de pouvoir.
[65] Voir J. de La FONTAINE, M. VESTITA, La colombe et la fourmi, et autres fables, Paris, Éditions White Star Kids, coll. « Jeunesse, Éveil/Petite enfance (- de 3 ans) », 2021, 20p.
[66] Voir E. NGOYEMIDE, Le silence de la forêt, Paris, Éditions Hatier, coll. « Monde Noir Poche », 1994, 160p.
[67] Voir le poème intitulé « Le lac » d’Alphonse de Lamartine, in Méditations poétiques, 1820, notamment la strophe n°20 : « Ô Temps, suspends ton vol ! et vous, heures propices,
Suspendez votre cours !
Laissez-nous savourer les rapides délices
Des plus beaux de nos jours ! »
[68] Antoine Frédéric Ozanam est né le 23 avril 1813 à Milan et mort le 8 septembre 1853 à Marseille. Il était Professeur de littérature étrangère à la Sorbonne. Fondateur de la Société Saint-Vincent-de-Paul, historien et essayiste français, il a été béatifié par le pape Jean-Paul II le 22 août 1997.