Centrafrique : Régime Touadéra , incarnation du pouvoir du peuple par le peuple et pour le peuple

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Bangui, le 07 décembre 20

Il n’est un secret pour personne que les pays les plus développés au monde sont ceux dans lesquels la démocratie est à son comble. C’est un principe universel pour ce 21ème siècle, dont la République Centrafricaine ne peut se soustraire. Des régimes se sont succédé à la tête ce pays, et tout le monde a vu comment les choses ont jadis fonctionné. Après plus de 60 ans d’indépendance, la République Centrafricaine n’avait pas pris de l’envole pour son développement. Mais avec l’accession à la magistrature suprême du professeur Faustin Archange Touadéra à la tête de l’Etat Centrafricaine le 30 Mars 2016, les centrafricains ont pour la première fois aspiré à la démocratie. Pas de prisonniers politiques, chacun s’exprime librement comme bon le semble, aucun journaliste n’est emprisonné pas d’assassinat sommaire et extrajudiciaire….   

La récente commémoration de la proclamation de la République centrafricaine sous le régime de Touadéra nous rappelle au-delà de la liesse populaire, qu’il s’agit avant tout pour le moment d’un mode de gouvernement, d’un idéal de vie politique légué par le Père-fondateur Barthélemy Boganda qui avait juré de sortir ce pays des villages, des clans, des tribus et des ethnies pour le propulser dans le concert des nations démocratiques où le pouvoir appartient avant tout au peuple qui le délègue au moyen du suffrage universel à qui il veut. C’est la suite logique des actions du président fondeur Barthélemy Boganda que le président Touadéra est en train de réaliser par la démocratie : «pouvoir du peuple par le peuple et pour le peuple», qui n’est pas un vain mot.

Pendant son investiture,  le 30 mars 2016, le président Touadéra a clamé haut et fort pour la rupture et le développement, et c’est ce qui est et qui continue de se réaliser. Une profession de foi, un engagement moral et un choix politique qui demande de la conviction autant que de la vision pour son peuple soit réalisée. Nul ne peut douter de cela durant ces cinq années de règne du professeur Faustin Archange Touadéra. «Un régime dit démocratique qui n’a jamais eu de prisonniers politiques, pas de privation de la liberté de la presse, l’opposition démocratique a toujours exercé librement ses fonctions… ».  C’est ce que le chef de l’Etat Centrafricain Faustin Archange Touadéra est en train de faire, aucun centrafricain n’a été réduit à l’otage, ni à l’esclavage.

Si aujourd’hui la République Centrafricaine est en train de s’inscrire parmi les pays qui méritent du respect, c’est par ce que tout le monde a cette liberté d’expression de dire publiquement et ouvertement ce qu’il pense. Pour le président Touadéra, nos diversités doivent nous unir pour nous permettre de changer l’image de ce pays. C’est en cela même que des relations diplomatiques ont été renouvelées avec certains pays qui jadis, opéraient en RCA.

C’est pour prouver son sens de loyauté que pendant son discours de circonstance à l’occasion de la festivité du 1er décembre,  le président Touadéra a interpellé les centrafricains à ne pas s’arrêter qu’à l’espèce de festivité, mais surtout et avant tout de se demander : qu’avons-nous fait de notre pays, de notre peuple, de notre jeunesse, de notre développement  et de notre jeune démocratie léguée par le fondateur Barthélémy Boganda ?  Grâce au respect des principes fondamentaux de la démocratie, il y a la gestion transparente des choses publiques. C’est par respect de la démocratie que tous qui ont osé abuser de leur pouvoir sous ce régime ont été purement et simplement virés de leur poste.  En tout cas, le régime de Touadéra fait la différence par rapport aux autres régimes qui se sont succédé. Car, sous un régime récent, certains opposants sont kidnappés, torturés, voire assassinés.

Donc, il est judicieux que l’éloge de la démocratie et du gouvernement républicain soit toujours prôné au détriment des avatars de la pensée unique, des verrous du pouvoir totalitaire qui veulent à tout prix ramener les centrafricains à l’époque coloniale.  Bravo au régime Touadéra où la démocratie a le mérite de ramener le pouvoir au centre et à poser des règles du jeu à respecter par tous.

@JACKO, 

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