Centrafrique : Quand le Dg de l’Immigration fait l’objet des intrigues mensongères

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Bangui, le 13 déc. 18

Bienvenu-Paterne NGUIMALE Dga de Emigration Immigration

Le Directeur Général Adjoint de Emigration et Immigration le Colonel Bienvenu Paterne NGUIMALET a fait l’objet depuis la semaine dernière dans certains organes de presse écrite de diffamation et allégation mensongères à l’encontre de sa personne. Des allégations faisant état de ce que, c’est lui qui aurait créé les troubles au centre pédiatrique de Bangui. Du coup, nombreux sont ces compatriotes qui n’ont pas tarde a qualifie ces diffamations de non fondées et qui sont juste fabriquées de toutes pièces dans le seul but de tenir l’image de ce digne jeune fils du pays dont les prestations sont très appréciées par la population.
Selon les ragots de ces confrères, l’incident s’est déroulé et produit le samedi 1er décembre dernier dans les après-midi au complexe pédiatrique de Bangui. Et ceux-ci ont soutenu leurs allégations en déclarant que cette institution a été sous le feu et des détonations d’armes de cette personnalité et de son aide de camp.

Cependant la réalité des faits est tout le contraire car, notre Rédaction à fait cet humble devoir de recouper l’information sur les lieux de l’incident, mais les témoins de l’événement nous ont laissé entendre qu’il y a eu aucun coup de feu, ni de cette personnalité, ni de son aide de camp. Par contre, il s est s’avère que c’est un gendarme qui a déclenché une bagarre.

En effet, selon les explications de ces témoins, le DGA de l’Immigration était seulement parti rendre visite a son enfant qui était hospitalisé a la pédiatrie comme tout bon digne père, il a fait ce devoir de vérifier à chaque fois l’évolution de l’état de santé de l’ enfant. Il était accompagné de son aide de camp comme à l’accoutumée à bord de son véhicule de commandement immatriculé PC 003 ensemble avec son ami, Commandant de la Police de son état, qui est venu l’assisté moralement.

Et c’est a l’entrée de ladite institution que le gardien leur avait laissé entendre que l’heure de la visite était déjà épuisée. Ainsi étant respectueux des institutions du pays et surtout cette institution hospitalière, le DGA a demandé tout simplement à son chauffeur de rebrousser chemin.
Et c’est pendant que le chauffeur faisait les manœuvres que le véhicule avait heurté un panneau de signalisation. Un geste et fait qui était indépendamment de sa bonne volonté et qu’il a d’ailleurs regretté amèrement.

Malheureusement, il y avait à ce lieu un élément des FACA qui était venu cogner sur la portière du véhicule. Cette personnalité étant conscient de l’acte a fait le humble devoir de sortir pour s’excuser. Une si grande surprise inattendue l’entendait. Cet élément de la gendarmerie qu’il respecte avait donné un coup bien appliqué au front, de son ami qui était venus rendre visite à son enfant malade.

Par inadvertance, un gendarme en faction au Complexe pédiatrique de Bangui qui est venu s’en prendre avec le DGA, et il lui aurait administré des coups et a aussi déchiré la veste du DGA après ce geste physiquement austère de la part de ceux-là qui sont censé protéger la population centrafricaine.

Son chauffeur par mesure de la protection à son hiérarchie qu’ils doivent protéger est sorti par un geste qui est un self défense a voulu tirer d’affaire le Dga qui reçoit déjà une pluie des coups de la part du gendarme et qui était dans l’intention de donner des explications et pouvoir se présenter.

En dépit des explications qui sont restées vaines car le gendarme furieux, fougueux et rugueux a rougi comme un lion pour dévorer une proie n’a pas voulu comprendre le DGA malgré tous.

Ce gendarme, en dépit de ces zizanies à encore pris son courage à deux mains pour appeler ces amis d’armes c’est-à-dire une section de la gendarmerie dénommé GGN pour venir en rescousse dans ‘objectif de finir ipso facto avec cet humble fis du pays qui a un enfant qui soufre.

Le DGA, étant un homme d’arme de connivence avec son ami et son chauffeur ont décidée de rester sur le lieu du drame pour éviter toutes interprétations négatives à l’encontre de leurs personnes et de leurs personnalités.
Lorsque cette fraction est arrivée sur le lieu le DGA a pris le soin de leur donner des explications que cet élément leur avait fomenté. Après tout, la compréhension s’est intervenus en maître entre eux, sans qu’il y ait un coup de feu, ni une altercation comme avait soutenu certains confrère de la presse écrite du pays.

En tout vraisemblance, il faut bien le noter qu’il y ait un conflit de responsabilité et de suprématie entre la police et la gendarmerie. Car ces derniers qui se voient bien doter et rémunéré sont en train de montrer leur dominance. C’est en quelque sorte un conflit de responsabilité tout simplement.

La RCA à vécu un moment herculéenne de son histoire. Il n’est plus question que les fils du pays surtout ceux-là qui sont censé protégé la population s’entre cassent les mains, les pieds. L’on doit alors douter et s’inquiéter. Laissons alors ces genres de chose, c’est-à-dire, ce combat d’homme à homme ou institution contre instruction. Cela doit être dorénavant réservé aux animaux féroces de la jungle. Plus jamais ça !

Herman THEMONA,

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