Centrafrique: Pourquoi les médias français veulent-ils discréditer les FACA et les alliés ?

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Bangui, le 10 mai 2021

On ne saurait comprendre de nos jours pourquoi certains partenaires ne veulent se positionner au côté du peuple centrafricain frappé d’une crise militaro-politique depuis la création de la coalition Séléka en décembre 2012 dans la partie nord du pays et surtout l’émergence des mouvements en 2014. Cette situation avait plongé le pays dans un chao indescriptible poussant le président Touadéra à tendre la main aux partenaires qui ont fait leurs preuves dans la lutte contre le terroriste. D’où la colère des ennemis de la nation.

La lutte contre le terrorisme intéresse le  monde de nos jours. La République centrafricaine a frôlé de justesse un génocide à la rwandaise depuis l’invalidation de la candidature du général d’opérette François Bozizé par la  cour constitutionnelle. Cet ancien rebelle avec la bénédiction de certaines puissances colonisatrices a opté pour le massacre des paisibles populations sous le silence de la RFI.

Au moment où le pays cherche à se reconstruire, les ennemis émergent déjà.  Pour tenter de dénigrer les forces armées centrafricaines et leurs alliés russes et rwandais qui ont permis à la République centrafricaine de retrouver la stabilité sécuritaire sur toute l’étendue du territoire national, les médias français à l’instar de la RFI mène une campagne bien de désinformation. Le commun des Centrafricains est conscient que tout ce plan vise à mettre en cause les efforts militaires que déploie le président Touadera avec l’appui de ses homologues russe et rwandais, Vladimir Poutine et Paul Kagamé.

Pour convaincre l’opinion publique à avaler ses âneries de cette couleuvre noire, la radio France internationale (RFI) a cru endormir les consciences des Centrafricains pour mieux asseoir la manipulation diabolique des belligérants pour faire de faux témoignages. Le constat est que l’enquête de RFI accusant les forces armées centrafricaines et leurs russes et rwandais d’avoir commis des crimes, a pris pour élément justificatif le  mensonge.

Des gens sont payés par les journalistes de RFI pour faire des faux témoignages. Ces allégations publiées par les médias français et les exports de l’ONU sur des présumés crimes ne reflètent pas la réalité en République centrafricaine et ne peuvent même pas convaincre le commun des Centrafricains qui n’aspire qu’à la paix condition sine qua none de tout développement.

Or, depuis janvier dernier, les Forces armées centrafricaines appuyées par leurs alliés russes et rwandais ont lancé des offensives contre les rebelles de CPC qui ont tenté de renverser les institutions républicaines et semer le chao dans le pays et s’accaparer du pouvoir par les armés. Et en cette période la RFI n’a fait aucun rapport. Ces offensives ont permis aujourd’hui aux habitants des villes sous la coupe des rebelles de retrouver la paix et la quiétude. Mais dans quel dessein ce retour à la paix n’arrange pas les partenaires de la RFI ?

A chaque libération d’une ville par les forces gouvernementales et alliées, c’est la liesse de joie au sein de la population. Mais, pourquoi tenter de dénigrer ces forces qui ont à l’espace de 4 mois d’opérations, fait un travail rassurant, alors que d’autres forces étrangères dont la Minusca et Sangaris n’ont pas pendant des années ? Le Centrafrique est-il un damné des rebelles ? Non surtout pas avec le régime Touadéra.

En tout cas, l’on comprend si vite que c’est une campagne basée sur des subjectivités qui est mise en place pour dénigrer les FACA et leurs alliés russe et rwandais. Le contraire de qui se raconte sur RFI et dans le rapport des experts onusiens est que la population centrafricaine applaudie et soutient les opérations de ces forces qui ont permis de libérer le pays sous la domination des rebelles.

Le peuple centrafricain sort de loin et a besoin d’une stabilité pour sa relance. Il s’agit de nos jours de mettre un terme à la présence des groupes armés dans. Voilà pourquoi, le peuple a besoin des partenaires responsables comme la Russie et le Rwanda pour soutenir les FACA, Le Centrafrique n’est pas une chasse gardée d’une puissance quelconque.

@Bienvenu ANDALLA, 

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