Bangui, le 19 mai 20
Le Président du Conseil d’administration (PCA) du Bureau d’Affrètement Routier Centrafricain (BARC), Sani Yalo, met en œuvre sa vision suite à la mission qui lui est confiée. En observant scrupuleusement les grandes orientations du président Touadéra pour le secteur de transport qui doit être un levier pour le développement du pays, Sani Yalo change le visage du BARC qui fait peau neuve actuellement.
Il suffit de faire un tour au niveau du BARC, situé sur l’avenue de l’Indépendance à côté du Ministère des Transports, pour se rendre compte qu’effectivement, le BARC n’est pas celui qu’on a vu il y’a de cela une décennie. Après sa construction dans les années 70 par le feu Empereur Jean-Bedel Bokassa, le BARC n’est pas restructuré en termes de capacité d’accueil, infrastructures modernes…qui donnent l’image d’une gare-routière digne de ce nom.
C’est la vision politique du président Touadéra qui est en train d’être mise en œuvre. Le président du BARC, Sani Yalo qui est un vrai connaisseur du secteur routier, mérite là où il se trouve. Voilà que quelques années à la tête de cette structure d’Etat, les choses changent profondément et sérieusement pour l’intérêt des transporteurs, routiers, des opérateurs économiques et surtout l’Etat centrafricain qui aura à renflouer ses caisses avec les retombées.
Le BARC retrouve le visage de ce dont il représente. Les parkings de stationnement sont transformés. Les bureaux sont modernisés, l’espace pour le rafraîchissement des voyageurs est disposé désormais des conforts modernes, les dispositions de sécurité sont à la hauteur des attentes et le cadre de travail est amélioré pour le personnel du BARC.
C’est ça qu’on appelle, le changement dans un pays. Sani Yalo n’a pas fait de la magie pour en arriver-là ! Pour faire développement un pays, il faut disposer de l’esprit de créativité, la volonté, la détermination et surtout le sens du patriotisme. C’est ce que Sani Yalo nous fait en ce moment.
Il faut retenir de Sani Yalo, d’un homme qui a toujours le sens d’un vrai changement. L’homme parle peu et travaille beaucoup comme le président fondateur Barthelemy Boganda. Ce qui se fait actuellement du BARC doit inspirer d’autres compatriotes qui dirigent les Structures d’Etat. Une manière est de gérer une chose dans la transparence, mais une chose est de transformer la structure en vue de la doter d’un cadre de travail décent et appréciable par tous.
Sani Yalo, ne compte pas en rester là ! Autrement dit, les actions qu’il entend engager au niveau du BARC se poursuit afin de donner à cette structure, un cadre digne de ce nom comme cela est le cas sous d’autres cieux.
Les infrastructures du BARC répondent aujourd’hui aux normes internationales d’une gare-routière. Le Sultan Sani Yalo en est le socle de ces réalisations qui se font au niveau du BARC. En tout cas, le président Touadéra a des « bons élèves » qui l’accompagnent dans la reconstruction de la République Centrafricaine. Si d’autres compatriotes s’ajoutent à Sani Yalo, en prenant son exemple, la façon dont il dirige le BARC, on assiste déjà à la croissance économique du pays. Le BARC nous donne un autre visage et il faut apprécier à sa juste valeur.
@Hervé BINAH,
