Bangui, le 17 févr. 21
Si les mercenaires de la CPC ont renoncé à la guerre contre le peuple centrafricain face à l’offensive des autorités nationales contre leurs positions, en perdant leurs combattants et autres butins de guerre volés sur les paisibles populations, il y’a lieu de les traquer et les massacrer afin de libérer le territoire national des disciples de Belzébuth.
Les forces de défense et de sécurité, les soldats russes et rwandais, en freinant l’offensive de ces terroristes ont, certes, » gagné les batailles et la guerre » face à leurs ennemis piloté par Bozizé et ses complices.
Ils (les forces loyalistes) sont venus à bout des mercenaires de la CPC, qui ont posé des genoux à terre et tendre les mains en haut pour demander « pardon ».
Faut-il négocier avec les terroristes? Négocier, comme le proposent certains, avec ces groupes armés alors qu’ils commettent des crimes sur les populations et détruisent le pays ! Non, absolument pas et c’est ce que les centrafricains ont démontré à travers des divers marches de protestation ces derniers temps. De dialogue en dialogue, alors que rien ne change ?
François Bozizé, ses parents, ses proches qui tiennent une branche des antibalaka, et autres leaders de l’opposition (COD-20) sont les véritables patrons de ces mercenaires de l’UPC, MPC, RJ, FDPC, 3R…regroupés autour de la CPC (Coalition des patriotes pour le changement), créée le 17 décembre 2020.
La prudence s’impose. Ces mercenaires étant dans une logique de rapport de forces et de toute puissance, il vaudrait mieux les neutraliser totalement comme cela se passe sous d’autres cieux. Lorsqu’ils seront vaincus militairement. Il faut les traduire en justice leurs complices et autres auteurs arrêtés ces derniers temps.
C’est une véritable guerre qui est engagée par le peuple centrafricain contre ces rebelles et leurs maitres, qui préparent avec la complicité de la communauté internationale, un autre plan pour perturber le régime démocratique du président Touadéra. En tout cas, ces rebelles de la CPC auront du mal à renoncer à l’argent facilement tiré du pillage, vol, du racket…C’est lorsqu’ils auront à déclarer leur départ du territoire centrafricain qu’il faudra tourner leur page. Entre temps, continuons l’offensive contre leurs positions.
@Delmas
