Bangui, le 28 mai 2021
Après sa réélection et son investiture pour un second mandat de cinq ans, le président Faustin-Archange Touadéra a tracé déjà les grandes lignes de la continuité de la mission qui lui est confiée par son peuple. Ces grandes lignes concernent entre autres, la restauration de l’autorité de l’Etat sur toute l’étendue du territoire nationale, le renforcement de la cohésion sociale, l’accélération de l’économie, la mise en œuvre des actions en faveur de l’éducation, la santé, la justice et bien d’autres réalisations pour le bien-être du peuple centrafricain.
Le numéro un centrafricain a véritablement prouvé son attachement aux actions visant la paix, la sécurité, la réconciliation et le développement national. La participation des entités aux consultations républicaines qui vont déboucher à un dialogue, sont des indices qui affichent la volonté politique du président Touadéra à gouverner le pays avec la participation de tous ses compatriotes.
Les autorités du pays ont le mérite, il faut le reconnaître, d’avoir convaincu l’opinion nationale et internationale à travers les actions, ce que les régimes précédents n’ont pas pu faire avant lui. Des progrès rapides sont forts probables. Nous voyons aussi que dans ce dynamisme, la mise en œuvre de l’APPR fait partie des priorités et les réformes politiques et institutionnelles et qui occupent une bonne place. Donc nous espérons des avancées significatives avec ce second mandat.
Faut-il négocier avec les rebelles ?
Non ! Le président Touadéra a dit son niet à ceux qui quittent l’APPR, raison laquelle ils sont en train d’être traqués, neutralisés les uns après les autres. Certains de ses sanguinaires prennent les jambes au cou en fuyant dans tous les sens par peur de mourir. Plus de négociation avec les rebelles et c’est la puissance de feu des FACA et leurs alliés qui est le bon remède pour eux. Ne dit-on pas qu’aux grands maux, les grands remèdes ?
Nous avons connu dans le passé des accords de négociation avec les rebellions qui n’ont jamais abouti, parce que les rebelles ne font jamais preuve de volonté, c’est-à-dire respecter leurs engagements. Aujourd’hui, c’est la formule de chicote qu’il faut appliquer tout simplement. L’espoir des Centrafricains est que les rebellions n’existent plus sur le territoire national pour que nous aurons également des institutions fortes et les coups d’Etat ne seront plus possibles.
Aujourd’hui, les Centrafricains sont fiers et peuvent soulever leurs têtes hautes. C’est-à-dire, la détermination du président Touadéra qui se bat pour son peuple, est une réalité avec les preuves qui sont palpables dans tous les domaines. Il suffit de décrypter son discours d’investiture pour comprendre que Touadéra a fait un travail sans relâche et réaffirme que cela se poursuit dans les années à venir.
Le second mandat qu’entame Touadéra, en attendant la mise en place d’un gouvernement d’action, est une nouvelle phase de la continuité des réalisations au profit de tous les Centrafricains. Dans cet élan, Touadéra ne compte pas trainer les pas et il entend accélérer les choses pour que les Centrafricains se sentent écouter et qu’une nouvelle ère s’ouvre pour eux. Entre temps, ceux qui tentent de perturber l’avancée du pays vers le développement réel, auront tous les Centrafricains sur leur chemin. D’ailleurs, la machine judiciaire commence déjà à s’occuper d’eux l’impunité triomphe en ce moment pour que règne la stabilité nationale.
@Herman THEMONA,
