Bangui, le 21 avril 22
La République Centrafrique n’est pas à la croisée des chemins mais entame une marche vers sa stabilité militaro-politique, économique et sociale. Elle est désormais au cœur des préoccupations de développement dans lesquelles, se sont engagés ses dirigeants, notamment le Président Faustin-Archange Touadéra.
Ce dernier se bat pour trouver une issue heureuse à partir de laquelle le pays pourrait jouer un rôle de premier plan dans la sous-région. Il est nécessaire de réfléchir à une nouvelle génération, capables de relever plusieurs défis comme ceux de l’histoire, du savoir, de la refondation de l’Etat post-conflit, de la promotion de la démocratie et des droits humains, et de la mise en place de nouvelles conditions de paix et de liberté, gage d’un développement durable. C’est sur la manière d’affronter ces différents défis que se penche le numéro un Centrafricain.
La démocratie est le régime politique le plus accepté dans le monde contemporain. Cette démocratie est souvent appréciée sous l’angle de l’organisation d’élections libres et transparentes, surtout la gouvernance avec l’implication de toutes les couches sociales. Certes, les élections sont un critère indispensable pour mesurer la vitalité de la démocratie d’un pays, mais, à elles seules, elles ne suffisent pas. D’où l’importance de prendre en compte d’autres critères relatifs au respect des droits de l’homme et à la bonne gouvernance. C’est ce que Touadéra a conjugué et met en pratique en ce moment.
La force de la gouvernance du Président Touadéra réside dans le fait qu’elle donne au peuple ce à quoi il aspire le plus : la liberté. Cette démocratie prend la forme d’une démocratie représentative fondée sur le principe selon lequel la souveraineté appartient au peuple qui l’exerce à travers ses représentants.
C’est ce que combat que le Président Touadéra mène toujours dans sa manière de gouverner la RCA. Cette détermination acquise après des constats d’humiliation du peuple, à travers plusieurs exactions contre la population et autres comportements macabres de ses propres filles et fils, conduit Touadéra dans la reconstruction d’un pays qui se veut respecter et respectable aux yeux de l’opinion internationale.
Touadéra mène cette lutte non seulement pour marquer son passage en rose à la tête du pays, mais de donner une carte verte à ses compatriotes à suivre le droit chemin. Ce droit chemin n’est pas seulement le fait de vivre pour ses propres intérêts, mais celui d’engager des actions patriotiques et salutaires pour les générations futures.
Dans l’une de ses différentes adresses à la nation, le Président Faustin-Archange Touadéra l’a toujours déclaré que son peuple n’a plus droit à l’humiliation constante devant les autres peuples du monde. C’est cette logique qui le guide et tous les Centrafricains sont appelés à se mettre dans le rang pour qu’ensemble, le pays traduit une autre image, celle de la paix et le développement.
@Evancia-Nativa Igouma
