Bangui, le 31 juil. 20
Au moment où la République Centrafricaine se prépare à ce grand rendez-vous électoral, un groupuscule des opposants politiques aiguisent leurs couteaux pour enfoncer le pays dans une situation chaotique. Comment ces mafieux politiques veulent replonger encore le pays dans l’enfer comme cela a été le cas en 2013 ? S’interroge une compatriote centrafricaine qui s’inquiète déjà de ce plan de ces opposants politiques.
C’est vraiment très inquiétant d’assister à ce que les leaders politiques de l’opposition (COD-20), préparent en ce moment avec la complicité de certaines mains invisibles. Des réunions se préparent tous les sens, et certains partisans de ces leaders politiques ne veulent plus s’associer dans ces manigances qui visent non seulement, à combattre Touadéra, mais d’enfoncer les centrafricains dans une souffrance interminable.
Abdou Karim Meckassoua forge actuellement toutes les stratégies pour créer les troubles dans le pays. Anicet-Georges Dologuélé bien que renier par les partenaires au développement à cause de sa mauvaise politique, se croit un invincible succube qui est prêt à rendre le pays instable. François Bozizé bien que duper par ses proches de Knk, compte également reprendre le maquis de trouble comme il en a l’habitude dans son sang.
Pour la bande à Nguendet et consorts qui se sont laissés traîner par leurs compagnons de brouilles, ils n’attendent qu’à ce que leur projet machiavélique accomplisse d’ici le mois de décembre prochain. La spéculation de ces opposants politiques est claire et bien comprise par tous les centrafricains. Pour eux, c’est la crise qui peut les porter au pouvoir afin de mieux vivre, sur les sangs des centrafricains.
La communauté internationale est déterminée à accompagner le gouvernement dans ce processus. C’est ainsi que l’Autorité Nationale des Elections à rassurer de la tenue de ces échéances dans les délais prévus. Les raisons voulues par ces opposants politiques sont connues de tout le monde. La crise post-électorale n’est pas encore à l’ordre du jour et les centrafricains se mobilisent actuellement pour ces élections qui, de gré ou de force, auront bel et bien lieu.
@Herman THEMONA,