Centrafrique : E ZINGO BIANI et les vérités sur son complot contre la République

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Bangui, le 24 sept. 19

E ZINGO BIANI, c’est cette plateforme des leaders de l’opposition et certaines associations de la société civile qui militent toujours pour la guerre dans le pays. Cette plateforme dont les leaders sont des soutiens des groupes armés et convoiteurs des postes politiques, tiennent des réunions dans la ville de Bangui et à l’extérieur du pays en vue de faire un coup de force contre le pouvoir démocratique de Bangui.

Les leaders d’E ZINGO BIANI qui cherchent les moyens à travers des lobbyings en vue d’abréger le mandat présidentiel de Touadéra, et qui malheureusement, d’autres sont rabroués et rejetés par les autorités françaises, signent au nom de toutes les tombes que le diable qu’ils prient les aidera à atteindre leur objectif. Erreur ! Le Dieu des centrafricains ne les abandonnera jamais face aux projets sataniques de ces leaders d’E ZINGO BIANI qui militent pour que le pays soit plongé dans le sang.

Les vérités sur le complot sont connues de tous les observateurs de la vie politique de la RCA. Après avoir tenté en vain l’organisation des troubles dans la ville de Bangui, les leaders d’E ZINGO BIANI misent désormais sur les groupes armés qui font des crimes odieux sur les populations civiles dans les provinces, mes exactions de Sidiki Abassa de 3R, Ali Darassa de l’UPC, le FDPC d’Abdoulaye Miskine, le CNDS d’Abdoulaye Hissene, le MLCJ de Gilbert Toumou Deya, le MPC d’Alkatim Mahamat, le PRNC de Noure Grégaza et l’aile des antibalaka de Mandaka dans le village Goussiéma à 65km de Kouango.

Le plan d’E ZINGO BIANI est clair, c’est la chute du pouvoir de Touadéra par tous les moyens possibles. N’est-ce pas un projet qui va à l’encontre du vœu du peuple centrafricain qui a tant souffert ! Au moment où les centrafricains attendent de suivre les procès criminels au niveau national et international contre ses bourreaux, il est temps que de diligenter des procédures contre ces assoiffés du pouvoir afin qu’ils répondent également de leurs actes de trahison et de complot contre le peuple centrafricain.

N’guendet, ce premier leader politique qui a organisé la première marche pour soutenir la prise de pouvoir de la séléka le 24 mars 2013 et aujourd’hui poursuivi par la justice centrafricaine pour le vol de plus de 3 milliards de FCFA. Dologuélé également serait visé par une plainte de la BDEAC et BEAC pour ses actes mafieux accomplis au moment où celui-ci servait dans ces deux institutions sous régionales. Pour Dominique Yandoka qui est recherché par la justice française et par l’Interpol pour trafic de stupéfiants. Pour les Mbolingoumba et consorts, le peuple centrafricain ne peut en n’aucun cas les laisser détruire leur pays avec des mensonges, manipulations, instrumentalisation…

@Herman THEMONA,

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