Bangui, le 21 févr.-19
Le 30 mars, date anniversaire de l’investiture du président de la République Faustin-Archange Touadéra, approche. Cette date qui reste graver dans les mémoires de tous les centrafricains amènent déjà chacun à pousser des analyses sur les avancées et les retards accusés dans la mise en œuvre de ces programmes politiques.
Le 30 mars 2016 à 2019, lepotentielcentrafricain.com de son côté, peut déjà donner un avis de réussite concernant la gouvernance du président Touadéra. Comme évoqué à chaque fois dans son message à la Nation et les directives données à son gouvernement, le président Touadéra qui a hérité d’une situation catastrophique après la crise que le pays a connue, fait de son mieux pour que son peuple aspire à une véritable paix. On peut juger à 75% le niveau de succès du régime Touadéra qui est même reconnu les institutions multilatérales.
D’une manière générale, les programmes prioritaires exécutés sont très satisfaisants. Au plan politique, le régime de Bangui laisse toujours des signes rassurants sur le plan démocratique. Aucune contestation ne peut se faire du moment où la liberté d’expression de toutes les couches sociales est une réalité. Avec sa conviction d’un homme démocratique, la chance est donnée et l’occasion est laissée à chaque citoyen de contribuer au développement du pays à travers ses formules dans le respect de la Loi.
L’aspect sécuritaire est tout à fait ce qui tient à cœur de tous les centrafricains. Aussitôt après son investiture, le président Touadéra et son gouvernement s’attèle sur la question. L’Armée est remise sur pied ses pieds peu à peu pour son redéploiement sur toute l’étendue du territoire pour sa défense et la protection de la population. Des coopérations de défense avec l’appui technique des pays amis ont permis et permettent que l’Armée nationale fait la fierté de tous. Sur ce, le régime de Touadéra mérite une reconnaissance sans faute.
L’économie nationale est en parfaite croissance. Il suffit de se rappeler des rapports des institutions de brettons-Wood : FMI, Banque Mondiale, sans oublier ceux de la Banque Africaine de Développement, la Banque des Etats de l’Afrique Centrale, la Banque de Développement des Etats de l’Afrique Centrale et des agences spécialisées dans le domaine des finances pour s’en rendre compte des progrès économiques de la RCA. Le climat des affaires est immaculé, personne ne peut contester.
Concernant la diplomatie centrafricaine, elle est agissante sous le régime de Touadéra. Pour un pays comme la République Centrafricaine qui sort d’une situation post-conflit, il faut gagner la confiance de tous les partenaires bilatéraux et multilatéraux pour qu’il y’ait effectivement, le retour du pays dans le concert des Nations. Et c’est ce qu’a compris le gouvernement de Touadéra qui a mis toutes les batteries en marche pour sauver l’image du pays à travers sa diplomatie. C’est bien le souci du gouvernement qui d’ici le 30 mars 2019, dressera un bilan positif.
L’aspect humanitaire est très capital et avec l’appui des Ongs internationales et les Agences du système des Nations-Unies qui font foi à la politique du président Touadéra, les choses sont résolues comme il se doit. La question des déplacés, les réfugiés…est valablement appréciée où la prise en compte du problème a permis leur retour. C’est ainsi que les zones où il ne fait pas bon vivre avant l’arrivée de Touadéra, il y’a une nette réassurance. Les infrastructures sociales bâties au profit de la population-déplacée qui est de retour. Les camps de fortune disparaissent au fur et à mesure. Des mesures d’accompagnement ont été ainsi accordées aux populations vulnérables.
Et donc, c’est dans le souci de régler ce problème humanitaire que la question de la cohésion sociale a trouvé sa place au sein des communautés qui vivent actuellement en parfaite symbiose.
Le 30 mars 2019 arrive bientôt et la Rédaction de lepotentielcentrafricain.com vous édifiera plus davantage sur le bilan général à mi-mandat du président Touadéra et de son gouvernement.
Bienvenu ANDALLA,