Bangui, le 30 avr. 21
Le monde évolue, les mentalités changent et la République centrafricaine ne doit pas rester à la traine tant il y a des potentialités humaines dont on doit maximiser pour le décollage du pays au lendemain de la victoire écrasante du président Faustin Archange Touadéra qui a eu le soutien incontesté du candidat Thierry Kamach président du parti MOUNI.
La victoire est au bout du fil si les Centrafricains sont déterminés à changer et d’entrer définitivement dans le monde des grandes ambitions. La 7e législature est attendue au tournant de cette nouvelle donne. C’est ce qui justifie la candidature de l’infatigable et homme de terrain Thierry Kamach président du Parti des grandes réalisations MOUNI au perchoir de cette deuxième institution républicaine.
Selon une source politique, le candidat Thierry Kamach est une solution pour la sortie de la crise centrafricaine : « J’ai été content lorsqu’on nous a fait part de la candidature de l’honorable Thierry Kamach au perchoir de l’Assemblée Nationale. Cette candidature constitue déjà une victoire pour tout le peuple centrafricain. Car, il faut le dire clairement parmi tous ceux qui gesticulent, ils ne sont que de la vielle classe politique dominée par la corruption, les détournements des deniers publics et surtout du régionalisme. Ils ont tous été soit à la Primature soit comme membre du gouvernement et leur histoire n’est faite que de tristesse. Or, Thierry Kamach est de la nouvelle classe politique consciente de l’avenir de son pays. Il faut faire un tour dans la Mamberé Kadeï et voir ses œuvres qui parlent d’eux-mêmes et de leur monde » témoigne un leader d’un parti politique.
Qui est en fait Thierry Kamach ?
Cet homme a été un chef d’entreprise qui a donné du travail à plus de 500 Centrafricains et lorsqu’on sait qu’un salarié centrafricain a plus de 10 personnes à sa charge à y voir alors combien des Centrafricains étaient à la charge de ce digne fils du pays.
Le deuxième atout est lié à son expérience sur le terrain. Ancien candidat à la présidence, il traine derrière lui un bon nombre d’électeurs qui peuvent devenir ses conseillers dans la gestion de cette institution qui a trouvé ses failles durant la 6e législature. Actuel membre du gouvernement, l’homme a été au chevet du premier quinquennat du président Touadéra avec 13 députés et aujourd’hui dispose déjà d’un groupe parlementaire à l’Assemblée Nationale : «Moi j’ai toujours gardé en mémoire la thèse de campagne du président Français François Mitterrand qui disait qu’il ne faut pas donner le pouvoir à qui le convoite car, on ne sait pas ce qu’il en fera. Ce qui signifie qu’il faut éviter de donner le pouvoir aux adversaires de Thierry Kamach sans toutefois regarder leur passé politique ou leur gestion quand ils étaient aux affaires comme membre du gouvernement. Le peuple centrafricain a trop souffert et personnellement j’ai décidé de retirer ma candidature pour donner la chance à Kamach car, je reconnais sa valeur dans la gestion des affaires et la réalisation des grandes œuvres. On peut voir lorsqu’il était président de la Fédération Centrafricaine de Football et depuis son départ c’est l’hécatombe », a lâché un candidat et leader politique.
En réalité le Centrafrique a besoin des institutions fortes avec des patriotes qui peuvent porter haut le flambeau de ce pays. Thierry Kamach qui est un homme doué dans des œuvres caritatives (construction des hôpitaux, des écoles, réhabilitation des bâtiments administratifs, prise en charge des personnes de troisième âge sur fond propre) peut mieux faire pour assainir cette institution qui déshonore l’honorabilité des élus de la nation. Et comme la 7e législature est composée des intellectuels, il faut également une personnalité capable de changer l’image de cette maison des lois : Thierry Kamach.
A suivre!!!
@Hervé BINAH,
