A BAS LES JALOUX ! SANI YALO, L’INCONTOURNABLE HOMME DE L’OMBRE QUI FAIT TREMBLER SES ADVERSAIRES

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Décidemment en République centrafricaine, le nom de Sani Yalo est devenu un fonds de commerce pour certains individus à l’imagination négativement fertile. D’aucuns se perdent en conjecture pour dépeindre cet homme. Il faut dire que ceux qui s’acharnent contre lui, vont mourir de leur propre poison.

Depuis des lustres, certains se bornent à le réduire avec une détestation hargneuse, au statut mineur d’épiphénomène politique éphémère et inoffensif. D’autres encore, ne se privent pas de manifester leur dégoût de l’homme et n’hésitent pas rejeter son nom dans la masse brume et informe des incorrigibles et avides flibustiers notoires de la haute pègre. En témoigne les messages audios pamphlétaires au contenus grotesques dénudés de toute réalité et de la moindre vraisemblance de certains escrocs notamment le dévergondé Harouna Douamba.

Pour avoir résisté à la prétention du sulfureux Harouna Douamba de dominer et d’influencer les hautes personnalités du pays et pour avoir réduit son influence dans l’espace du pouvoir en place, Sani Yalo est devenu l’ennemi n°1 de Harouna Douamba. D’aucuns se demandent même pourquoi ce sulfureux Burkinabè en veut tant sinon à mort au Centrafricain Sani Yalo ? Est-ce parce que la justice le cherche activement pour qu’il paie les 17 millions de F CFA dus à l’hôtel Ledger Plaza qu’il voit la main de Sani Yalo derrière ? L’on est tenté de penser ainsi.

L’ingérence et l’implication du faussaire Harouna Douamba dans la gestion de l’hôtel Ledger Plaza et les affaires libyennes en Centrafrique avec des graves incidents diplomatiques provoqués sont assez criards que Sani Yalo s’est donné le courage et le temps de défendre les intérêts de la RCA. Mais en fin de compte, Harouna Douamba s’est senti frustré. D’où cette animosité vis-à-vis de Sani Yalo.

Lui c’est Sani Yalo Président du Conseil d’Administration du BARC qui est en train d’abattre un travail d’Hercule salué par tous. Gros plan sur cet homme discret, compétent qui force l’admiration tant ses œuvres sont parlantes.

Un sourire aux lèvres, l’air toujours décontracté… Sani Yalo est un homme difficile à cerner. De lui, les observateurs de la vie politique centrafricaine disent qu’il est diplomate, soigné, mais aussi humaniste et bienveillant. Il sait, dit-on, se montrer attentif aux autres et d’une disponibilité à toute épreuve. « Mêmes ses détracteurs reconnaissent que ce qui frappe chez lui, par-delà son goût du secret qu’il cultive, c’est et avant tout, son savoir-faire et sa culture qui lui confèrent une indiscutable autorité et imposent le respect à première vue », avance un de ses proches amis.

Ceci dit, dresser en quelques mots, le portrait de Sani Yalo, est autrement plus délicat. Tantôt rieur tantôt sérieux, ce self-made man a la réputation d’un homme préoccupé, attentif aux évolutions de son époque et toujours en alerte. Ses réalisations s’inscrivent donc dans la droite ligne de ses objectifs, tant l’homme apporte déjà au quotidien, sa contribution à la modernisation du pays dans ses fonctions du Président du Conseil d’Administration du BARC.

Lui-même est conscient que pour être pris au sérieux, il doit apparaître comme un homme pragmatique, qui mène des actions ayant une réelle répercussion sur le vécu de ses compatriotes.

Et c’est bien ce qu’il a fait en réhabilitant à sa manière le BARC qui apparaît déjà comme un joyau qui ne laisse personne indifférent. Il a fait bouger les lignes et à arracher des réactions de félicitation dans le 7è arrondissement où il a construit une imposante usine et davantage au passage devant le siège du BARC rénové depuis quelques années. Il faut dire tout simplement qu’il a su rendre ses lettres de noblesse au BARC.

En réhabilitant le siège du BARC et ce, depuis plus de trente ans Sani Yalo a été l’un de ses objectifs fixés au lendemain de sa nomination par le Président Touadera. Une prouesse pour celui qui considère le BARC comme une partie de lui du fait de son attachement à cette société paraétatique, lui dont le géniteur fut un actionnaire majoritaire après l’Etat centrafricain.

En parlant du BARC qui redore déjà son blason, le PCA Sani Yalo ne se réjouit pas d’embellir Bangui mais plutôt, met en œuvre la vision politique du Président Touadera dont il est son fervent supporter et qu’il a suivi très tôt dans son engagement politique, et qu’il accompagne depuis son accession à la magistrature suprême de l’Etat en vue de réussir son pari de hisser la Centrafrique au rang des pays développés.

Cette initiative à qui l’on doit sa concrétisation à la volonté productive du PCA du BARC témoigne une fois encore en faveur des nominations les plus réussies faites par le Président de la République Faustin Archange Touadra.

Sani Yalo vient de prouver aux yeux de ses compatriotes qu’il maîtrise le domaine des transports dont il est pétri fort longtemps.

Fondateur d’une usine, entrepreneur parmi les plus grands dans le domaine agro-industriel, ce « bâtisseur » doit sa réussite à son sens des responsabilités. Fin connaisseur de la scène politique centrafricaine, il a acquis son expertise grâce à sa proximité avec les différents régimes aux commandes du pays.

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