Bangui, le 14 mars 2022
Dès sa prise de pouvoir, le président Faustin Archange Touadéra conscient que son pays est dans le monde et a besoin des autres pour sa relance a ouvert les portes de son pays à tous les partenaires qui veulent investir en toute sincérité. C’est dans ce contexte que plusieurs pays qui ont fait leurs preuves en matière d’investissements hors de leurs frontières font le défilé dans le pays depuis le retour à l’ordre constitution où les bruits de botte ne se font plus entendre.
En politique, il faut toujours inscrire en lettre d’or son nom dans la gestion de la cité. C’est ce qui fait de nos jours la force du président Touadéra, une fierté de tous les Centrafricains car, ayant fait à moins de 6 ans ce que d’autres n’ont pas fait pendant dix ans.
Les faits parlent d’eux-mêmes et de leurs réalisations. Depuis l’avènement du dictateur centrafricain Jean-Bedel Bokassa, la ville de Bangui n’avait pas connu un éclat exemplaire. Ses œuvres qui voulaient dire leurs adieux, sont en train d’être renouvelées par le mathématicien de Boy-Rabe qui est dans une phase des grandes réalisations. Ce qui a donné le courage aux Saoudiens de venir donner un coup de plus avec la visite des travaux de la clôture de l’Université de Bangui, l’unique temple du savoir du pays qui était considéré comme un lieu de refuge des grands bandits mais qui progressivement devient le miroir de la sagesse avec des conditions de travail qui permettent aux étudiants de ne pas envier les universités du pays de l’Oncle Sam.
Dans un passé récent, lorsqu’on descendait de l’aéroport Bangui M’Poko, on ne pouvait pas imaginer d’être à la capitale d’un pays dans ce nouveau millénaire très exigent où tout se passe dans une grande vitesse avec des infrastructures à la hauteur des attentes du pays. Le président Touadéra un habitué du BEAU, n’a jamais loupé l’occasion lors de ses visites à l’étranger à tendre sa main aux investisseurs de venir partager le miel qui coule dans le pays mais en revanche que la coopération soit sur la base de gagnant/gagnant. D’ailleurs la visite des partenaires Saoudiens sur les travaux de la route qui mène à l’aéroport n’est qu’un signe promettant qui prouve la bonne marche de la diplomatie centrafricaine dont les œuvres témoignent de la bonne volonté du président Touadéra à faire entrer son pays dans le concert des grandes nations.
Dans son œuvre intitulée Les Bimanes, l’écrivain Camerounais Sévérin Cécile Abega affirmait que « l’homme naît homme que de lui-même », ce qui revient à dire que c’est par sa capacité et sa parole que l’homme est identifié. Le président Touadéra donne de nos jours sens à ses promesses électorales car, à chaque moment il a toujours fait allusion à son peuple avec des actes qui encouragent : « En politique, il faut choisir ses propres amis qui peuvent faire ta force. C’est une preuve de la politique du président Faustin Archange Touadéra qui opte pour une diplomatie agissante et dont les fruits sont devant nous. La ville de Bangui devient la coquette et non plus une ville poubelle des années avant son élection »
Les Centrafricains doivent maintenant comprendre que la démocratie par l’alternance politique n’est pas adaptée dans le contexte centrafricain. On peut voir ce qui se passe au Cameroun avec une longue période du président Paul Biya au pouvoir. La République centrafricaine avant l’année 60 était mieux placée que le Cameroun mais avec une panoplie des présidents, le pays accuse un grand retard par rapport à ce pays voisin à cause de sa stabilité politique du pouvoir. Pourquoi ne pas imiter ce qui est bon en donnant la chance à Touadéra de briguer un troisième mandat ? on sait tous que la constitution est élaborée pour servir une nation et non le contraire.
@Bienvenu ANDALLA