La sauvegarde des acquis républicains reste le seul issu de la stabilité du pays

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Bangui, le 12 avr. 22

Depuis son accession à la souveraineté internationale le 13 août 1960, la République centrafricaine s’est confrontée à des bons et mauvais moments. Comme on le dit toujours, on ne revient pas dans la vie par des mauvais souvenirs du passé. Mais c’est à travers des mauvais souvenirs qu’on corrige les erreurs de la vie et envisager l’avenir.

L’histoire de la RCA est ponctuée des tares militaro-politiques qui n’échappent à personne. Plusieurs régimes sont passés mais rien n’a été fait pour que les erreurs se corrigent et que le pays puisse se développer sur tous les plans pour le bonheur de ses filles et fils. A qui la faute ?

Le Président Faustin-Archange Touadéra à son arrivée à la tête du pays en 2016, a prêté officiellement le serment de ne défendre rien que l’intérêt de ses compatriotes. Cet engagement solennel sous les regards attentifs de ses compatriotes, s’est traduit dans les faits comme nous le constations actuellement. En bon croyant, il faut toujours matérialiser ses paroles par des actes positifs qui sont profitables à tout le monde.

Voilà que l’homme du 30 mars 2016 a eu à faire et continue de le faire grâce à la confiance que son peuple lui accorde. Dans une telle démarche de reconstruction nationale, le chemin est toujours semé d’embûches et autres batailles politiques de ses adversaires. « Le chien aboie, la caravane passe », c’est-à-dire que l’essentiel qui compte pour les Centrafricains est la stabilité et le développement de leur pays.

Après le succès du premier quinquennat, le numéro un Centrafricain entame le second tour qui vise à poursuivre les œuvres afin d’hisser le pays dans la logique de développement. Ceci dit, le Président Touadéra s’est entouré de toutes les mesures qui s’imposent pour que le pays ne retombe pas dans des mauvais cauchemardesques de son histoire.

La solution simple selon l  a formule du Président Touadéra, est l’addition et la multiplication qui est contraire à la politique politicienne. C’est ce qui se fait effectivement à travers la défense des acquis démocratiques. Un Etat fort est reconnu qu’à travers des Institutions fortes. Touadéra est en train de transmettre les germes de cette mentalité à tous les Centrafricains pour qu’ils se fassent dignes comme Boganda le souhaite, et que le pays soit respecté à l’échelle internationale.

@Hervé BINAH  

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