Lu pour vous
copie du contrat de bail
Bangui, le 10 sept. 19
Le Tsunami autrement appelé ‘’La Voix des Sans Voix’’ cherche toujours à se frayer un chemin afin de convaincre certains profanes à croire qu’il est une presse en ligne, mais en trébuchant et en balbutiant dans la caverne profonde de l’ignorance la plus insolente d’un métier qui ne cesse de le rejeter, tel un corps étranger dans l’océan rejeté sur le rivage. Sans surprise, il vient une fois de plus d’accoucher une autre baliverne qui n’a pour géniteur qu’un certain repris de justice nommé Edouard YAMALE.
En effet, dans une publication daté du 1er septembre sous la signature de ce célébrissime YAMALE, il titre : ‘’CENTRAFRIQUE : LE PRESIDENT DE L’ASSEMBLEE NATIONALE, LAURENT NGON BABA TOUJOURS LOCATAIRE A LA CAISSE CAFE’’.
Ce titre est bien évocateur de l’âme malveillante de son auteur qui use de ses prérogatives indigestes de colporteur des fausses rumeurs et d’attaques personnelles à l’endroit de certaines hautes personnalités du pays. Ces élucubrations à l’endroit du Président de l’Assemblée Nationale, deuxième personnalité de l’Etat, sont dignes d’un déséquilibré mental enrobé d’une haine viscérale. Elles placent finalement sous projecteurs l’un des pères fondateurs et auteurs des rumeurs malveillantes, des fausses accusations et des attaques personnelles, gratuites et injustifiées contre la personne de Laurent NGON BABA.
A lire cette fameuse publication qui n’est autre qu’une manigance et attaque personnelle contre le Président de la seconde Institution pays, on se rend très vite à l’évidence que cela ne peut être que l’œuvre d’un thuriféraire des rues en mal d’audience pour une cause diabolique et à la solde du néant, mais voulant coûte que coûte ternir l’image des hautes personnalités de la République.
Sinon, comment comprendre qu’un patriote puisse colporter de fausses rumeurs et des accusations non fondées jusqu’à distiller des contre-vérités dans le seul but d’obtenir un endroit où il prendra pour son logis, fut-il un SDF?
Comment comprendre de tels individus sans moral qui insinuent l’immoralité qu’il attribue méchamment au Président de l’Assemblée Nationale, l’accusant d’être locataire d’une maison qu’il a quitté depuis plus de dix (10) mois, mais qui lui servirait de ‘’maison secondaire, de local d’orgies sexuelles ou de lieu des réunions secrètes ?
Véritable diffamation et insulte gratuites qui, sous d’autres cieux appelaient l’enclenchement de la machine judiciaire pour que l’auteur puisse remuer la crevasse de sa réelle motivation.
Cependant, c’est cette voie judiciaire qui sera suivie.
L’ignorance de sieur Edouard YAMALE l’amène depuis le fond de sa caverne à ne pas comprendre qu’en Centrafrique, s’il faut établir la liste des hommes intègres, Laurent NGON BABA y figurerait sans ambages. Et cette position s’explique bien par le fait que depuis son arrivée au perchoir de l’Assemblée Nationale dans une période tumultueuse et autour de laquelle gravitent plusieurs scandales, ses détracteurs et le célébrissime YAMALE ont remué et continuent de remuer terre et ciel pour voir son nom y apparaître mais malheureusement pour eux, il ne figure nulle part. Face à l’innocence de cet homme intègre, ils se recroquevillent sous l’enivrement de la jalousie et de la haine qui les oriente malheureusement dans sa vie privée où ils y fouinent leurs museaux à la recherche de l’introuvable.
Par cet article, nous tenons donc à préciser à Le Tsunami (La voix des Sans Voix) ce qui suit :
– Le Président de l’Assemblée Nationale Laurent NGON BABA n’est plus locataire à la Caisse Café comme monsieur Edouard YAMALE l’affirme, le contrat étant résilié depuis le 04 novembre 2018 (contrat résilié ci-dessous);
– Qu’il n’a plus rien à voir avec ce logement, propriété de la Caisse Café ;
Qu’il n’habite pas une maison de fonction mais occupe officiellement depuis novembre 2018 une autre maison dont il est locataire sur ses propres indemnités de fonctions.
Nous Invitons enfin le sieur Edouard YAMALE qui s’improvise journaliste d’investigation des vies privées des autorités à bien mener ses enquêtes, bien vérifier ses sources d’informations avant de sortir ses balivernes à la lecture des honnêtes citoyens, le métier de journaliste impose une ligne déontologique à respecter.
SOURCE : JOURNAL L’EXPANSION
Célestin YEKOUA